Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
Une comédie douce-amère réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Critikat.com
par Fabien Reyre
La collaboration entre la douceur caressante du cinéaste et la plume acerbe et désenchantée de l’écrivain trouve ici une forme d’apogée, dont on se délecte à chaque scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
(...) une comédie dramatique réussie.
L'Obs
par François Forestier
Moments drôles, instants poignants, tout, dans le film, est doux-amer - et la carte Bleue ne suffit pas à régler l'addition.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Défendu à l'écran par deux magnifiques acteurs (Jim Broadbent et Lindsay Duncan), ce ping-pong tendre et cruel entre deux antihéros rattrapés par le temps apparaît aussi touchant que vrai.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Très écrit et dialogué, ce film, outre qu'il fait un tendre et piquant portrait de la capitale, remet en place, avec un petit pas de danse en prime, les dominos dispersés de la vie à deux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
“Un week-end à Paris”, où l'occasion douce-amère pour un couple de sexagénaires de faire un bilan à la fois personnel et conjugal, et d'éprouver la solidité de l'amour qui les unit. Délicieusement piquant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Cru, rebelle, drôle, émouvant et interprété par des acteurs "first class", ce film vous fera passer le plus british des week-ends à Paris.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Bauman
"Un week-end à Paris" échappe aux registres précédents de la provocation et de la comédie plan-plan (...).
TéléCinéObs
par François Forestier
C'est drôle, touchant, charmant : le réalisateur Roger Michell et l'écrivain et scénariste hanif Kureishi réussissent, pour leur troisième collaboration, une délicieuse comédie romantique. On sort de là avec le sourire aux lèvres, le coeur léger. Champagne !
Télérama
par Pierre Murat
L'illusion : telle est la solution — ne parlons pas de morale, ce serait un mot ronflant — de ce petit film brillant et cynique, écrit par le romancier Hanif Kureishi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Escapade parisienne au goût de poussière, le dernier long-métrage de Roger Michell trinque à la santé des amours révolus et éternels.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Ni une carte postale sucrée, ni drame fataliste, mais un curieux et touchant mélange, qui n'évite pas quelques longueurs verbeuses.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Elise Lépine
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Ouest France
par La Rédaction
Une balade légère, qui vaut surtout pour la prestation de Jim Broadbent et Lindsay Duncan.
Première
par Isabelle Danel
Les passages obligés sur les monuments parisiens et les conflits redondants finissent par lasser. Reste deux acteurs épatants (...).
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Monde
par Franck Nouchi
(...) le réalisateur britannique a le plus grand mal à échapper à l'effet carte postale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le scénario est signé Hanif Kureishi, le réalisateur de "Coup de foudre à Notting Hill" est aux manettes, Broadbent, Duncan & Co. sont d’excellents acteurs, mais "Un week-end à Paris" est globalement foireux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La rédaction
A quoi sert ce "Week-end à Paris" ? A pas grand-chose, si ce n’est à renforcer la vague de films qui proclament que "le troisième âge n’est pas une fin en soi", et que Paris est la plus belle ville du monde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Pittoresque consolateur, artifices boulevardiers (…) et démagogiques (…). Autant d’onctuosités qui rendent le film totalement inoffensif.
Le Figaroscope
Une comédie douce-amère réjouissante.
Critikat.com
La collaboration entre la douceur caressante du cinéaste et la plume acerbe et désenchantée de l’écrivain trouve ici une forme d’apogée, dont on se délecte à chaque scène.
L'Humanité
(...) une comédie dramatique réussie.
L'Obs
Moments drôles, instants poignants, tout, dans le film, est doux-amer - et la carte Bleue ne suffit pas à régler l'addition.
Le Journal du Dimanche
Défendu à l'écran par deux magnifiques acteurs (Jim Broadbent et Lindsay Duncan), ce ping-pong tendre et cruel entre deux antihéros rattrapés par le temps apparaît aussi touchant que vrai.
Le Parisien
Très écrit et dialogué, ce film, outre qu'il fait un tendre et piquant portrait de la capitale, remet en place, avec un petit pas de danse en prime, les dominos dispersés de la vie à deux.
Les Fiches du Cinéma
“Un week-end à Paris”, où l'occasion douce-amère pour un couple de sexagénaires de faire un bilan à la fois personnel et conjugal, et d'éprouver la solidité de l'amour qui les unit. Délicieusement piquant.
Paris Match
Cru, rebelle, drôle, émouvant et interprété par des acteurs "first class", ce film vous fera passer le plus british des week-ends à Paris.
Positif
"Un week-end à Paris" échappe aux registres précédents de la provocation et de la comédie plan-plan (...).
TéléCinéObs
C'est drôle, touchant, charmant : le réalisateur Roger Michell et l'écrivain et scénariste hanif Kureishi réussissent, pour leur troisième collaboration, une délicieuse comédie romantique. On sort de là avec le sourire aux lèvres, le coeur léger. Champagne !
Télérama
L'illusion : telle est la solution — ne parlons pas de morale, ce serait un mot ronflant — de ce petit film brillant et cynique, écrit par le romancier Hanif Kureishi.
aVoir-aLire.com
Escapade parisienne au goût de poussière, le dernier long-métrage de Roger Michell trinque à la santé des amours révolus et éternels.
Ecran Large
Ni une carte postale sucrée, ni drame fataliste, mais un curieux et touchant mélange, qui n'évite pas quelques longueurs verbeuses.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Ouest France
Une balade légère, qui vaut surtout pour la prestation de Jim Broadbent et Lindsay Duncan.
Première
Les passages obligés sur les monuments parisiens et les conflits redondants finissent par lasser. Reste deux acteurs épatants (...).
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Monde
(...) le réalisateur britannique a le plus grand mal à échapper à l'effet carte postale.
Les Inrockuptibles
Le scénario est signé Hanif Kureishi, le réalisateur de "Coup de foudre à Notting Hill" est aux manettes, Broadbent, Duncan & Co. sont d’excellents acteurs, mais "Un week-end à Paris" est globalement foireux.
Libération
A quoi sert ce "Week-end à Paris" ? A pas grand-chose, si ce n’est à renforcer la vague de films qui proclament que "le troisième âge n’est pas une fin en soi", et que Paris est la plus belle ville du monde.
Cahiers du Cinéma
Pittoresque consolateur, artifices boulevardiers (…) et démagogiques (…). Autant d’onctuosités qui rendent le film totalement inoffensif.