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Une énergie nimbée de mélancolie traverse ce film où l’on retrouve des thèmes chers à Mia Hansen-Love (...) La mise en scène, par son rythme, ses couleurs, s’enrichit (...) à l’image de la musique garage, mélange de rythmes froids et de voix à la chaleur enivrante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le film n'est pas seulement un geste tendre et lucide de reconnaissance sororale, c'est aussi le portrait doux-amer d'une génération victime du solipsisme que l'Histoire lui a laissé en héritage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mia Hansen-Løve (...) embrasse les destinées récentes de la pop culture par le prisme de la fresque générationnelle avec un indémêlable souci de grâce et d’application.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette manière de raconter une époque (...), un courant musical (la French Touch) et une génération (...) à travers une déroute, voilà qui donne toute sa singularité au quatrième film de Mia Hansen-Løve.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Tendre et mélancolique, ce film en demi-teinte est à recommander aux passionnés de musique, parce que c'est le premier du genre et que beaucoup s'y retrouveront par petites touches.
Mia Hansen-Løve signe un film dédié aux années techno, par le récit des désillusions de son frère, DJ. Entre l'intime et l'époque, l'imbrication est tantôt lumineuse, tantôt laborieuse.
Les pics d'intensité émotionnelle restent tristement banals. Eden Ordinaire. Qui donne peut-être à la French Touch toute sa résonance, au-délà de l'aspect générationnel: c'est la musique de tout un chacun.
Sur sa promesse à embrasser la mythologie contemporaine de la French Touch, Eden a beaucoup été fantasmé. Les lumières rallumées à la fin du film, c’est précisément le manque de fantasme, d’imaginaire et d’évasion qui stigmatise la déception du film.
Après les luttes des 70’s et l’anarchie Punk des 80’s, que reste-t-il à dépeindre ? Une décennie blanche et lessivée, répond le film, post-politique et sans histoire : une odyssée de la neutralité. En cela, "Eden" ose le banal et force le respect, pour le meilleur et pour le pire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
À force de modestie dramaturgique (...) la fresque générationnelle s'étiole, rebondissant de personnages passifs en regrets murmurés. Jamais on ne s'attache ni ne se sent concerné.
Tout est toujours trop propret ou à une hauteur trop humaine pour parvenir aux cimes d’émotions et de bad trips connus par ces anciens pontes de la French Touch.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Pendant plus de deux heures, une horizontalité et une inertie déprimantes, alternance plate de teufs ratés et de réveils difficiles, de traits de coke dans les chiottes et d’émissions sur Radio FG, au fil desquels se déploie toute l’impuissance narrative du naturalisme générationnel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
Plus "Eden" avance, plus il s’approfondit, se précise, prend de l’ampleur. Si les personnages sont en descente, le film est en montée constante.
Metro
(...) "Eden" éclaire par sa sensibilité toute une génération de rêveurs. (...) Une traque épuisante qui nous ceuille à l'usure, K.-O et émus.
CNews
On se passionne en outre pour la reconstitution de l'émergence de la musique électro française, de ses balbutiements à l'explosion de la French Touch.
L'Obs
Délicat et juste, "Eden" n’est pas le film d’une génération mais le portrait intime d’une jeunesse qui ne sait pas comment faire pour avancer.
La Croix
Une énergie nimbée de mélancolie traverse ce film où l’on retrouve des thèmes chers à Mia Hansen-Love (...) La mise en scène, par son rythme, ses couleurs, s’enrichit (...) à l’image de la musique garage, mélange de rythmes froids et de voix à la chaleur enivrante.
La Voix du Nord
"Eden" est un film assez fascinant.
Le Monde
Le film n'est pas seulement un geste tendre et lucide de reconnaissance sororale, c'est aussi le portrait doux-amer d'une génération victime du solipsisme que l'Histoire lui a laissé en héritage.
Libération
Mia Hansen-Løve (...) embrasse les destinées récentes de la pop culture par le prisme de la fresque générationnelle avec un indémêlable souci de grâce et d’application.
Télérama
Cette manière de raconter une époque (...), un courant musical (la French Touch) et une génération (...) à travers une déroute, voilà qui donne toute sa singularité au quatrième film de Mia Hansen-Løve.
20 Minutes
On se laisse emporter par l'énergie d'un ensemble auquel il ne manque qu'un petit supplément d'âme pour nous faire totalement vibrer.
Franceinfo Culture
Tendre et mélancolique, ce film en demi-teinte est à recommander aux passionnés de musique, parce que c'est le premier du genre et que beaucoup s'y retrouveront par petites touches.
Le Dauphiné Libéré
Des personnages un peu creux, mais une évocation très juste d’un moment et d’une génération.
Les Fiches du Cinéma
Mia Hansen-Løve signe un film dédié aux années techno, par le récit des désillusions de son frère, DJ. Entre l'intime et l'époque, l'imbrication est tantôt lumineuse, tantôt laborieuse.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
Une revigorante plongée dans la French Touch des années 90, un poil longuette mais quand même stimulante.
Transfuge
Les pics d'intensité émotionnelle restent tristement banals. Eden Ordinaire. Qui donne peut-être à la French Touch toute sa résonance, au-délà de l'aspect générationnel: c'est la musique de tout un chacun.
Cahiers du Cinéma
Sur sa promesse à embrasser la mythologie contemporaine de la French Touch, Eden a beaucoup été fantasmé. Les lumières rallumées à la fin du film, c’est précisément le manque de fantasme, d’imaginaire et d’évasion qui stigmatise la déception du film.
Critikat.com
Après les luttes des 70’s et l’anarchie Punk des 80’s, que reste-t-il à dépeindre ? Une décennie blanche et lessivée, répond le film, post-politique et sans histoire : une odyssée de la neutralité. En cela, "Eden" ose le banal et force le respect, pour le meilleur et pour le pire.
Le Parisien
(...) Le portrait intimiste que (la réalisatrice) livre de ce garçon assez fade manque vraiment d'aspérités.
Ouest France
Plat et insipide le plus souvent.
Positif
À force de modestie dramaturgique (...) la fresque générationnelle s'étiole, rebondissant de personnages passifs en regrets murmurés. Jamais on ne s'attache ni ne se sent concerné.
Première
"Eden" ne parvient à restituer que le laborieux biopic d'un garçon à l'épaisseur romanesque quasi nulle.
Voici
A voir surtout pour la BO...
aVoir-aLire.com
Tout est toujours trop propret ou à une hauteur trop humaine pour parvenir aux cimes d’émotions et de bad trips connus par ces anciens pontes de la French Touch.
Chronic'art.com
Pendant plus de deux heures, une horizontalité et une inertie déprimantes, alternance plate de teufs ratés et de réveils difficiles, de traits de coke dans les chiottes et d’émissions sur Radio FG, au fil desquels se déploie toute l’impuissance narrative du naturalisme générationnel.