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    Les Recettes du bonheur
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    Christophe L
    Christophe L

    7 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2014
    Lasse Hallström (Le chocolat, Une vie inachevée, Hatchi) récidive dans le film très (voir trop) romancé en adaptant le best-seller de Richard C. Moraisne. Beaucoup de légèreté, de simplicité plutôt agréable dans le ressentit mais aussi des facilités qu'on voit venir, que l'on connait (un film typiquement édulcoré à l'instar d'un livre du genre) et pendant qu'on y est, pourquoi ne pas retoucher quelques images pour un effet plus enchanteresse. Helen Mirren (Queen, Hitchcock), parfaite dans son rôle, donne le rythme à Manish Dayal et Om Puri (acteurs indiens). Coté français, si Charlotte Le Bon (espoir à suivre) n'apporte pas spécialement une touche originale, Michel Blanc dans ses quelques apparitions, fait mouche comme à son habitude. Au menu car la gastronomie intéresse les cinéastes en ce moment (Les saveurs du palais, Ratatouille, Le goût de la vie) : un sympathique mélange entre anglais, indiens et français...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 192 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Lasse Hallström créer ici, une recette étonnante en mêlant une Helen Mirren avec un Michel Blanc en passant par un Manish Dayal avec une Charlotte Le Bon. La sauce n’est pas parfaite, mais l’ensemble se déguste avec de bons sentiments. Les Recettes du Bonheur est une comédie prévisible qui pourra mettre l’eau à la bouche tout en offrant quelques gouttes amères quant à l’immigration. Enfin si cette production franco-américaine n’a rien de mémorable, il a l’avantage de nous faire découvrir de beaux paysages du Tarn-et-Garonne.
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    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2018
    "Les recettes du bonheur" est un formidable appel à la tolérance interculturelle et à l’entraide. Par des castings cosmopolites, le cinéma se fait fort indirectement (sans le vouloir ???) de prodiguer cet appel. Mais il y a d’autres domaines ou ces valeurs sont pour ainsi dire indispensables. Parmi eux, la cuisine. Certes on parle beaucoup de la cuisine française, mais aussi de bien d’autres nationalités. Et parfois, on se régale des plats revisités sous d’autres horizons culturels, avouez-le. Quant à transposer cet appel à l’écran, c’est une autre paire de manche : un certain nombre de films y sont parvenus avec brio, tandis que d’autres ont trop mis en avant les bons sentiments. Ici la solution est arrivée par le roman éponyme de Richard C. Morais, un bouquin à l’origine de ce long métrage dont la réalisation a été confiée à Lasse Hallström. Comme chacun sait, une adaptation n’est pas une transposition. Je ne connais pas personnellement l’œuvre littéraire mais ce que j’en sais, c’est que le héros évolue quelque part dans le Jura. Je me demande pourquoi le scénariste Steven Knight n’a pas gardé cette belle région comme cadre. Cela dit, je vous avouerai que je suis assez heureux que la région dans laquelle je vis ait été choisie en lieu et place du Jura, au risque de me mettre à dos les jurassiens. D’abord parce que le Tarn-et-Garonne n’a pas été souvent utilisé par le cinéma (mis à part à l’occasion de grands classiques tels que "Les tontons flingueurs" et "Le vieux fusil"), et ensuite (autant être honnête) par pur chauvinisme local. Mais si le département a été choisi, ce n’est certainement pas par hasard. En effet, la saveur et le bon goût des produits frais sont mis en avant. Or le Tarn-et-Garonne, au risque d’en surprendre plus d’un, n’est ni plus ni moins que le département leader en matière de vergers. Attention, je parle bien au niveau départemental, pas au niveau régional. La confusion est très facile. Tout cela pour dire que c’est une terre de terroir, une terre où aussi les fameux cèpes daignent pousser dès lors que les conditions climatiques sont réunies. Et quand on prend la peine de s’occuper des légumes comme il se doit, eh bien ça donne autre chose que ce qu’on peut trouver en grande surface. Là-dessus, je ne vous apprends rien, et c’est valable pour l’ensemble des régions. Si j’insiste sur le goût, c’est parce que "Les recettes du bonheur" démarre sous son signe. Le goût et la découverte des saveurs. La caméra s’attarde donc sur Hassan Kadam (Manish Dayal), un indien qui (pour reprendre les mots du synopsis) « a un don inné pour la cuisine », un don hérité de sa mère grâce à une éducation ciblée sur les saveurs. La vie en Inde est difficile, et exploiter ce don comme il l’entend semble impossible en raison d’une grande instabilité politique. Direction est prise sur l’Europe, où le périple de cette famille est loin d’être de tout repos. Vous l’aurez deviné par ce que j’ai dit un peu plus tôt, elle va finir par s’installer dans le sud-ouest de la France. Au cours de ce chemin de croix, Lasse Hallström a réussi à mettre en évidence la culture de ce pays du moyen orient avec beaucoup de poésie. Dans cette culture, cette remarquable sagesse qui force l’admiration, consistant à voir en tout événement un signe du destin. Comme le drame les poussant à quitter leur pays natal… et comme la défaillance de leur véhicule, considérée comme un non-hasard. Une sagesse parfaitement représentée par le père de famille, interprété avec beaucoup de sensibilité par Om Puri, encore une fois formidable dans ce rôle au caractère bien trempé après (longtemps après !) son très touchant rôle dans "La cité de la joie". Mais faire prospérer la cuisine indienne dans une localité de la France profonde n’est pas facile, et constitue un pari loin d’être gagné. D’une part parce que les locaux sont attachés à leur terroir et leurs traditions, d’autre part parce que cette famille s’installe à proximité immédiate d’un restaurant étoilé. Peu importe, le père de famille ne voit que des signes du destin de partout, et est plus déterminé que jamais à s’installer précisément là où ces signes se manifestent, tout en comptant avec beaucoup de naïveté sur l’esprit de solidarité et la curiosité de tous. Hélas, c’était sans compter sur la propriétaire du restaurant étoilé. Dans ses traits, Helen Mirren, que je n’attendais pas dans ce genre de rôle, campe une femme qui ne pense qu’à défendre la gastronomie française et rien que la gastronomie française, poursuivant sans relâche les étoiles. Hautaine, austère, elle a l’air sévère et n’en a pas que l’air ! En effet, elle agit de façon insidieuse en multipliant les coups bas, poussant le spectateur à la qualifier de garce. Elle rappelle Meryl Streep dans "Le diable s’habille en Prada". Oui, c’est le même genre de rôle par la psychologie et le comportement (bien que le milieu soit très différent), tant dans le paraître que dans les petites répliques assassines. Même si Helen Mirren a fait beaucoup d’efforts pour rendre son personnage antipathique au possible, elle n’arrive pas au niveau de Meryl Streep. Et si à cela on rajoute le fait que le film semble se dérouler selon un principe cousu de fil blanc, le spectateur peut être tenté de se désintéresser du film. Cependant le début est tout de même sauvé par le style Lasse Hallström qui fait parler sa maîtrise du feel good movie malgré quelques manquements, je pense notamment à l’acquisition de la propriété sur laquelle on passe rapidement dessus. Comme dit plus haut, il n’a pas son pareil pour saisir le meilleur de l’être humain, ici en se servant du regard bougrement expressif d’Om Puri, du sourire ravageur de Manish Dayan et de la fraîcheur ingénue de Charlotte Le Bon. Sans compter que par sons sens de l’esthétique, il a su saisir et mettre en valeur ce bel écrin qu’est Saint-Antonin-Noble-Val, blotti quelque part au beau milieu des causses, dont les quelques clichés photographiques restent durablement en mémoire. Tous les ingrédients sont là pour amener le spectateur à déguster un menu en apparence tout établi, un menu où les pigeons sont prêts à être truffés sauf qu’il n’est « pas facile de faire ce plat si on n’a pas de pigeons »… Mais un menu qui se révèlera unique par les valeurs selon lesquelles il a été conçu, ces mêmes valeurs pourtant mises en grave danger par les appels envoûtants des étoiles Michelin. Certes les bons sentiments sont présents et nombreux, mais ils ne sont jamais appuyés de trop, ce qui a l’avantage de les rendre communicatifs. En somme, qu’on le veuille ou non, on aura beaucoup de sympathie pour cette famille déracinée (voire même de l’empathie) au vu de ses propres valeurs, sa sagesse, ce mélange de détermination et d’humilité qui s’en dégage, et par cette capacité à tenir le cap envers et contre tout. En ce qui me concerne, le charisme d'Om Puri m’a de nouveau ébloui, car il rend son personnage tout à fait crédible. Limite si le spectateur ne vibre pas autant que lui. Il en ressort un film plaisant, qui nous met l’eau à la bouche avant d’attraper un vague sentiment de gâchis devant la nouvelle cuisine. Le récit est dans l’ensemble dynamique, aménagé de quelques moments propices au développement des personnages. La musique accompagne bien le tout, frisant même le génial tant elle amène parfois un vrai coup de punch. Un film frais, léger, plaisant : comme une bonne cuisine qui se respecte, en somme… Finalement, je trouve que le titre pour la version française ne pouvait pas mieux être choisi...
    Patricemarie
    Patricemarie

    40 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    Encore un ratatouille-movie, film où on se passionne pour l'art culinaire. Il y a les scènes types où on retrouve toutes les saveurs magiques dans un plat simple, ici l'omelette, le cuistot surdoué devient un chef grâce à ses saveurs d'enfance retrouvées.
    Malgré tout, la recette fonctionne bien avec du curry, des acteurs stéréotypés, dont un "Galabru indien", on est rassasiés par les images. durant 2 heures.
    Le problème pour moi, c'est que ce film américain vante la variété des saveurs de la cuisine indienne, en la mettant à égalité avec la gastronomie française, ce qui évidemment est d'un goût douteux.
    Stéphane A
    Stéphane A

    9 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 novembre 2014
    Horrible mievrerie ou les clichés font la course avec les invraisemblances. On se demande parfois si le film se passe au present ou dans les années 30, bref, rien de bien neuf pour lui depuis "le chocolat".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 décembre 2014
    Très bonne comédie culinaire, plaisante à regarder. L'intrigue est bien construite, on ne s'ennuie pas et on a même de la peine pour le héro à certains moments. De plus les mauvais personnages ne sont pas toujours ceux à qui l'on pense, si tenté qu'il y en ait ... A recommander
    hollowz
    hollowz

    3 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mai 2015
    Une caricature de clichés qui ridiculise français et indiens.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 septembre 2014
    Bourré de clichés sur les indiens et les français (dont assez peu sont joués par des français finalement).
    Que de mièvrerie.
    On se doute de la fin dès le début et quand ça arrive... ils poussent le bouchon et le happy-end encore plus loin. Difficile de faire plus cucul.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    Bon, d'abord sortir un film avec un titre pareil, il fallait oser. Je vois bien que le film lorgne lorgne vers le conte de noël à l'Américaine, avec mélange de bons sentiments et messages de tolérance (quel mot affreux quand on y pense: on devrait accepter mais personne ne devrait se sentir flatté de tolérer) à la clef et après tout pourquoi pas, le cinéma américain regorge de ce genre de puddings consensuels ni scandaleux ni honteux, mais sans surprise, figé ici dans un décor de carte postale, avec des péripéties au ras des pâquerettes, une vision de la France façon Clochemerle (1934 quand même) et des acteurs français réduits à des caricatures (pauvre Michel Blanc réduit à s'empiffrer, Clément Sibony dans un rôle indéfendable, et que dire des 3 plans sur Vincent Elbaz) manifestement tous tentés de jouer aux côtés de "la Mirren", actrice dont il faudrait peut-être reconsidérer l'aura, tant la carrière, du moins ces dix dernières années (de navets indistribuables en produits sans âme) et la variété de jeu m'ont toujours paru très en dessous de la réputation d'immense actrice (en gros même si elle est plus jeune, ce n'est ni Maggie Smith, ni Judi Dench, ni même Vanessa Redgrave ou Glenn Close). Comme ce genre de projet déborde de prise de risques, on a confié l'emballage à Lasse Hallstrom, cinéaste gentil, qui fait des films gentils, même quand ces sujets ne le sont pas et qui nous refait ici plus ou moins le même coup que dans Chocolat. Charlotte le Bon apporte un peu de fraîcheur dans ce film apprêté qui, j'ai menti, réserve tout de même une surprise de taille au générique : le crédit au scénario de Steven Knight, auteur des formidables Peaky Blinders et cinéaste audacieux de Locke. Qu'il ait pu commettre un scénario aussi mièvre et ripoliné et palpitant qu'un mix de Master Chef et de Plus belle la vie Laisse pantois. J'ai lu ici ou là que la nourriture est bien filmée. Mouais, elle me paraissait plus appétissante et sensuelle dans Les Saveurs du Palais de Christian Vincent ou un peu plus loin en arrière quand Stéphane Audran nous régalait avec le Festin De Babette.
    On a beau avoir envie et besoin de messages positifs, de sentiments réconfortants, de films optimistes, on peut les faire autrement qu'avec des gros sabots et des grosses ficelles. A moins évidemment, que le triomphe public réservé en 2014 à un téléfilm comme Mais qu'est ce que j'ai fait au bon dieu, et à un navet inter-sidéral et dopé à l'hélium comme Lucy, ne change la donne et ne devienne désormais la norme. Dans ce cas, on pourra toujours aller au ciné comme au supermarché pour consommer des produits trop riches, trop sucrés, trop gras, des produits de masse, du cinéma cholestérol...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 décembre 2014
    L'histoire des "Recettes du bonheur" semble parfois banale et convenue. Cependant la photographie, mise en scène et musique sont tellement bien soignées qu'on se laisse très facilement emporter dans ces voyages culinaires.
    circusstar
    circusstar

    115 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 septembre 2014
    Très beau film, acteurs impeccables. Très jolie comédie romantique à la fois drôle et émouvant avec un superbe décor. Une des recettes du bonheur est d'avoir de temps en temps des films qui rendent heureux et celui ci en est un.
    MadMax-68
    MadMax-68

    8 abonnés 418 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2015
    C'est plein de bon sentiments (un peu trop parfois), original même si le rythme est inégal et comprends des lenteurs (2h, ça fait beaucoup) et Charlotte Le Bon pas toujours crédible dans son propre doublage(?). Un conte stylisé, simplement fait pour rêver, à défaut de vraiment nous transporter.

    A table donc...
    defleppard
    defleppard

    316 abonnés 3 249 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 novembre 2014
    La cuisine Française vue par les Américains. Cucul la praline, dialogues simplistes. Michel Blanc avec un second rôle de potiche, merci le chèque de dreamworks. 1 étoile et demie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 septembre 2014
    Film très fort et très beau. Quoi qu'un peu cliché et prévisible. Un vrai bon moment, pleins de sentiments.
    Claude DL
    Claude DL

    78 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2021
    Ce film qui a un côté bisounours déplaira sans doute à certains. Pour ma part, j’aime les valeurs véhiculées : famille, partage, tolérance à l’égard de l’étranger et, de manière générale, positivité. Et les acteurs sont bons. Par les temps qui courent…
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