Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce huitième volet trouve l'équilibre entre grands sentiments et poursuites vertigineuses avec, en bonus, Charlize Theron en méchante glaciale...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
LCI
par Jérôme Vermelin
Prévisible, mais furieusement efficace.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par Michel Valentin
Dans ce nouveau volet, qui fait toujours la part belle à d'incroyables cascades, Vin Diesel se montre étonnamment humain.
Le Point
par Bastien Hauguel
POUR : Il est grand temps de reconsidérer Fast & Furious comme ce qu'il est : un délire visuel ultra divertissant, du grand cinéma d'action populaire. Jamais la saga n'a prétendu à autre chose. Et c'est tout ce qu'on aime.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Ce huitième opus se présente comme un croisement improbable mais indéniablement réussi entre "Mission: Impossible" et "Cars", dopé à la testostérone et saupoudré de second degré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Clément Mathieu
On l’a dit, c’est un plaisir coupable… mais pourquoi le bouder?
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Public
par La Rédaction
Malgré les 7 précédents opus et la disparition de Paul Walker, Fast and Furious vaut encore et toujours le coup. La dynamique de la franchise ne s’essouffle pas et mérite amplement notre déplacement.
La critique complète est disponible sur le site Public
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Du grand spectacle dans la lignée des épisodes précédents. Les fans seront peut-être surpris par la bande-son moins chargée en rap et RnB que d’habitude, mais le film est porté par Vin Diesel, plus musclé et monolithique (et donc sauvage) que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Ce segment majeur dans la saga est entièrement dévoué au divertissement bulldozer. Il promeut une action débridée, inventive et créative, totalement inédite à ce jour à l’écran. Les fans adoreront !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
par La Rédaction
Dans ce huitième opus de la franchise, F. Gary Gray a encore repoussé les limites des cascades invraisemblables.
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré des défauts évidents et une stupidité indiscutable, la saga possède un charme étonnant, et propose une nouvelle fois de grands moments de régression jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Ça ne va pas très loin, mais ça y va. Vin Diesel (Dom) joue comme une boîte de conserve, mais Dwayne Johnson (le chef) et Jason Statham (l'ennemi/ami) font très bien le boulot.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Les cascades sont luxueuses. L'esprit, sympathique. L'intrigue embrouillée à souhait. C'est du divertissement industriel, bourratif mais pas déplaisant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
L’inflation pyrotechnique se poursuit dans le huitième opus de la franchise, passée du statut de série B à celui de blockbuster XXL. Et pourtant : çà et là, affleure toujours une forme de grâce...
Ouest France
par Sylvestre Picard
Honnêtement, on s'ennuie un peu face à une intrigue paresseuse. Mais niveau action, on pousse les compteurs dans le rouge.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Clairement, il y a un rétrogradage à tous les niveaux. Pour autant, il y a toujours du grand spectacle et d'énormes moyens à l'écran (mais trop d'effets numériques, hélas !) avec, en prime, la meilleure méchante de la saga, incarnée par Charlize Theron (...).
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Cette misogynie à peine voilée ne vient pas de nulle part, elle a même toujours été présente (sur le terrain de l’actioner, elle remonte notamment aux films de Schwarzenegger), mais c’est la première fois qu’en comparant l’hybris féminin à une épidémie, un "Fast and Furious" puise son programme à la source de son imaginaire sexiste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Du pur délire visuel, qui ressortit davantage au jeu vidéo qu’au cinéma : c’est fastissime et furiousissime. Normal, on en est au 8 !
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le huitième volet de la saga tempère les scènes de cascades en voiture par des considérations morales assommantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
CONTRE : Partie d'une petite série B racoleuse, la franchise est devenue un mastodonte assumant sa bêtise et glorifiée pour cela. Le blockbuster n'en sort pas grandi.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télérama
par Nicolas Didier
Malgré quelques bonnes idées — les voitures-zombies, roulant sans conducteur—, les scènes d'action manquent de style. Quand F.Gary Gray évite les obstacles en tournant une course-poursuite sur une étendue d'eau gelée, JamesWan, lui, choisissait une forêt...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce huitième volet trouve l'équilibre entre grands sentiments et poursuites vertigineuses avec, en bonus, Charlize Theron en méchante glaciale...
LCI
Prévisible, mais furieusement efficace.
Le Parisien
Dans ce nouveau volet, qui fait toujours la part belle à d'incroyables cascades, Vin Diesel se montre étonnamment humain.
Le Point
POUR : Il est grand temps de reconsidérer Fast & Furious comme ce qu'il est : un délire visuel ultra divertissant, du grand cinéma d'action populaire. Jamais la saga n'a prétendu à autre chose. Et c'est tout ce qu'on aime.
Les Inrockuptibles
Ce huitième opus se présente comme un croisement improbable mais indéniablement réussi entre "Mission: Impossible" et "Cars", dopé à la testostérone et saupoudré de second degré.
Paris Match
On l’a dit, c’est un plaisir coupable… mais pourquoi le bouder?
Public
Malgré les 7 précédents opus et la disparition de Paul Walker, Fast and Furious vaut encore et toujours le coup. La dynamique de la franchise ne s’essouffle pas et mérite amplement notre déplacement.
Télé 2 semaines
Du grand spectacle dans la lignée des épisodes précédents. Les fans seront peut-être surpris par la bande-son moins chargée en rap et RnB que d’habitude, mais le film est porté par Vin Diesel, plus musclé et monolithique (et donc sauvage) que jamais.
aVoir-aLire.com
Ce segment majeur dans la saga est entièrement dévoué au divertissement bulldozer. Il promeut une action débridée, inventive et créative, totalement inédite à ce jour à l’écran. Les fans adoreront !
Closer
Dans ce huitième opus de la franchise, F. Gary Gray a encore repoussé les limites des cascades invraisemblables.
Ecran Large
Malgré des défauts évidents et une stupidité indiscutable, la saga possède un charme étonnant, et propose une nouvelle fois de grands moments de régression jubilatoire.
L'Express
Ça ne va pas très loin, mais ça y va. Vin Diesel (Dom) joue comme une boîte de conserve, mais Dwayne Johnson (le chef) et Jason Statham (l'ennemi/ami) font très bien le boulot.
Le Figaro
Les cascades sont luxueuses. L'esprit, sympathique. L'intrigue embrouillée à souhait. C'est du divertissement industriel, bourratif mais pas déplaisant.
Les Fiches du Cinéma
L’inflation pyrotechnique se poursuit dans le huitième opus de la franchise, passée du statut de série B à celui de blockbuster XXL. Et pourtant : çà et là, affleure toujours une forme de grâce...
Ouest France
Honnêtement, on s'ennuie un peu face à une intrigue paresseuse. Mais niveau action, on pousse les compteurs dans le rouge.
Télé 7 Jours
Clairement, il y a un rétrogradage à tous les niveaux. Pour autant, il y a toujours du grand spectacle et d'énormes moyens à l'écran (mais trop d'effets numériques, hélas !) avec, en prime, la meilleure méchante de la saga, incarnée par Charlize Theron (...).
Critikat.com
Cette misogynie à peine voilée ne vient pas de nulle part, elle a même toujours été présente (sur le terrain de l’actioner, elle remonte notamment aux films de Schwarzenegger), mais c’est la première fois qu’en comparant l’hybris féminin à une épidémie, un "Fast and Furious" puise son programme à la source de son imaginaire sexiste.
Le Dauphiné Libéré
Du pur délire visuel, qui ressortit davantage au jeu vidéo qu’au cinéma : c’est fastissime et furiousissime. Normal, on en est au 8 !
Le Monde
Le huitième volet de la saga tempère les scènes de cascades en voiture par des considérations morales assommantes.
Le Point
CONTRE : Partie d'une petite série B racoleuse, la franchise est devenue un mastodonte assumant sa bêtise et glorifiée pour cela. Le blockbuster n'en sort pas grandi.
Télérama
Malgré quelques bonnes idées — les voitures-zombies, roulant sans conducteur—, les scènes d'action manquent de style. Quand F.Gary Gray évite les obstacles en tournant une course-poursuite sur une étendue d'eau gelée, JamesWan, lui, choisissait une forêt...