Note moyenne
3,5
38 titres de presse
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Le Point
Après "Gravity" en 2013 et "Interstellar" en 2014, "Seul sur Mars" complète ainsi une fusée à trois étages destinée à redorer le blason de l'aventure spatiale. Ces blockbusters ont en commun une haute idée du divertissement (...).
Voici
Une formidable aventure (...) Le tout saupoudré d'un humour qui déchire.
CNews
L’humour et l’optimisme sans faille du personnage principal accouchent d’un récit divertissant et passionnant qui réussit à distiller aux moments propices le suspense autant que l’émotion.
CinemaTeaser
Le film a un atout majeur et irréfutable : Matt Damon.
Elle
Matt Damon nous émeut, nous fait rire et nous fait vibrer avec ses remarques rafraîchissantes très « MacGyver ».
Filmsactu
Ne cherchez pas une profondeur métaphysique au nouveau Ridley Scott. Matt Damon fait, avant tout, pousser des patates sur Mars, mais il le fait bien. Avec génie même. Et en 3D.
L'Ecran Fantastique
"Seul sur Mars" reste un grand film d'aventure spatiale, qui vient s'ajouter aux autres fleurons de la "hard science", cette branche ultra-réaliste de la SF, que nous livrèrent récemment Alfonso Cuaron ("Gravity") et Christopher Nolan ("Interstellar").
L'Express
Un zeste d'héroïsme, une pincée d'humour, une dose d'adrénaline et une bonne rasade de cosmos : un cocktail énergisant signé Ridley Scott.
Le Dauphiné Libéré
C’est Robinson dans l’espace, revu avec toute la technologie moderne et le savoir-faire de Ridley Scott.
Le Journal du Dimanche
Même si la bande-annonce appuie sur le drame, c’est bien un film de survie mixé à la comédie que signe Ridley Scott. Un pari osé complètement réussi.
Le Monde
Trente-six ans après "Alien", Ridley Scott met en scène un autre naufrage spatial avec, cette fois, un optimisme euphorisant.
Le Parisien
Matt Damon incarne un formidable Robinson Crusoé sur Mars, impeccable dans le rôle de cet astronaute malin et débrouillard, pivot d'une histoire passionnante et crédible. Du coup, "Seul sur Mars" devient une magistrale leçon de survie et d'optimisme, une très belle aventure humaine.
Les Fiches du Cinéma
Un “survival” solaire et drôle, en forme d'hommage au pouvoir de la science.
Les Inrockuptibles
On ne mégote pas avec la vie de Matt Damon, car le sauver lui, c’est sauver l’Amérique. Aucune star depuis James Stewart n’a à ce point incarné le bien, face la plus souriante d’un pays qui n’a cessé depuis trois siècles de réécrire sa propre mythologie à l’encre de l’optimisme
Mad Movies
Une fois accepté le fait qu'on aura pas droit à un survival solitaire, c'est très fun et visuellement splendide.
Marianne
"Seul sur Mars" est un film d'aventures fort réussi, souvent drôle, sans pathos et fort heureusement dépourvu de l'emphase mystique et de la prétention mythologique qui gâchaient les dernières réalisations de Ridley Scott.
Ouest France
Deux heures et jamais d'ennui, chapeau.
Paris Match
[POUR] Avec un vrai sens de la tradition hollywoodienne et quelque chose d'une campagne de recrutement pour la Nasa, "Seul sur Mars" est une épopée au ton résolument optimiste, doublée d'un grand spectacle.
Première
Logiquement, le résultat est spectaculaire et intimiste. Matt Damon fait un Robinson Crusoé idéal, qui survit en bonne part grâce à son sens de l’humour et est amené à arbitrer (de très loin) des conflits pratiques autant qu’éthiques, impliquant une galerie de personnages complexes.
Public
Le réalisateur de "Prometheus" et du mythique "Blade Runner" nous captive avec cette histoire de survie hors norme. C'est visuellement éblouissant et humainement passionnant grâce à un Matt Damon étonnant.
Studio Ciné Live
"Seul sur Mars" manque de cette émotion et de ce mystère qui le propulserait au rang de grand film. Mais il reste le meilleur Scott depuis longtemps.
Sud Ouest
L’une de forces du récit est là, dans la façon dont l’astronaute se concentre sur la tâche et laisse au spectateur – ainsi qu’aux ingénieurs de la Nasa, une fois qu’ils ont compris qu’il était toujours vivant – le soin de s’inquiéter pour lui.
Cahiers du Cinéma
Ce drôle de blockbuster, qui a le charme d’une série B anonyme des années 50, surprend par ce ton étrangement badin. (…) Cette déflation spectaculaire certes sympathique ne suffit pas à renouveler un genre tristement asservi à la culture geek galopante.
Critikat.com
"Seul sur Mars" renoue avec une vigueur et une conviction qui semblaient avoir déserté un Ridley Scott en pilotage automatique depuis Black Hawk Down.
Ecran Large
Le metteur en scène nous offre son film le plus divertissant et accessible de longue date, mais aussi le plus anodin.
Franceinfo Culture
Très abouti dans la forme, détaillé sur le plan scientifique, le film manque cruellement de substance et poursuit jusqu'à une fin sans surprise un cheminement pépère dénué de suspense.
GQ
"Seul sur Mars" invente en quelque sorte le survival du dimanche, un trip domestique indolent bien loin de l’abattement bourrin du blockbuster de base.
L'Humanité
C’est quasiment une première pour un cinéaste tel que Ridley Scott, accoutumé à des scénarios plus tordus. Il se tire assez bien de l’exercice en l’émaillant de touches humoristiques, mais ne révolutionne pas le genre.
Télé 2 semaines
Si un petit supplément d’âme et d’empathie aurait été salutaire pour en faire un grand Ridley Scott, ce film reste malgré tout… un grand spectacle.
Télé 7 Jours
Cette fois, Ridley Scott aborde la conquête de l'espace avec une ironie et un humour inattendus. Animé par un optimisme sans faille, son Robinson Crusoé affronte à la cool des problèmes a priori insurmontables. Mais cette légèreté a son revers : sans tension ni danger, les émotions peinent à exister.
Télérama
Seul compte le voyage dans l'espace, le "trip" visuel. Et il faut reconnaître qu'en matière de spectacle rien ne manque au cahier des charges : ni les décors grandioses, ni la 3D, ni l'humour noir et l'autodérision d'un Matt Damon plus charmeur que jamais.
VSD
Aventure spatiale dont l’ambition technique contraste avec un scénario désuet.
aVoir-aLire.com
Le nouveau film de Ridley Scott impressionne par son rendu visuel soigné mais ne réussit pas à surprendre et à insuffler suffisamment d’émotions. Un divertissement à destination du grand public qui reste donc classique.
La Voix du Nord
D’une intrigue – dont il n’est, hélas, pas permis de douter de l’issue – tirée d’un roman d’Andy Weir, Ridley Scott tire un film dépourvu d’éclat et de tension, ne brillant ni par son scénario, ni par sa mise en scène, ni par sa technologie, ni par son casting.
Positif
Ne craignant jamais pour la survie du héros ni pour sa raison, le spectateur a tôt fait de considérer que la mayonnaise ne prend pas.
TF1 News
Mélangez "Seul au monde", "Gravity" et "Interstellar" et vous obtenez "Seul sur Mars", prévisible chewing-gum de l'oeil où Ridley Scott se repose sur son savoir-faire.
L'Obs
Tiré du roman à peine écrit d'Andy Weir, sorte de SF pour les nuls, l'interminable film de Ridley Scott, qui ne décolle jamais, serait drôle au second degré s'il n'était grotesque au premier.
Paris Match
[CONTRE] Un comble, cette histoire de naufragé solitaire arrive à être trop verbeuse. Heureusement qu’il y a un peu d’humour. Comparé à "Interstellar", "Seul sur Mars" est en retard de plusieurs années-lumière…