Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une fresque enchanteresse sur les terres latino-américaines de la fin du XVIIIe. Un périple, une évasion, une hallucination.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
La dernière demie-heure, démente, atteint des sommets psychédéliques qui rappellent la fin d’Apocalypse Now, Dead Man ou Jauja. C’est dire où se situe aujourd’hui le cinéma de Lucrecia Martel.
Libération
par Marcos Uzal
[...] l’aventure du récit se double aussi d’une aventure des sens, que la mise en scène magistrale et constamment surprenante de Lucrecia Martel parvient à faire éprouver au spectateur, de la première à la dernière minute du film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La puissance du cinéma de Lucrecia Martel tient dans ce refus de donner au spectateur une interprétation facile, de son choix à contre-courant des modèles narratifs contemporains de laisser «naviguer» son récit entre différents états de compréhension.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Critikat.com
par Corentin Lê
Les va-et-vient du « poisson » Zama méritaient bien quelques indices, aussi imposant soient-ils, au sein de cette déroutante mise en scène de l’émasculation coloniale.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Son évocation d’une colonisation vouée à disparaître, ultime rempart corrompu d’une puissance espagnole sur le déclin, est traversée, comme toujours chez la cinéaste, par une étrangeté mystique et un malaise poisseux qui soulignent la critique d’un pouvoir blanc exsangue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un destin fort, où se mêlent la quête existentielle et le défi de l'aventure, dans un film qui impose sa vision intrigante et la beauté formelle de sa réalisation.
Le Figaro
par La Rédaction
D'après un roman d'Antonio Di Benedetto, la réalisatrice argentine signe un précis de décomposition où tous les repères de l'existence se perdent peu à peu, dans une mise en scène à l'étrangeté hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
[...] aussi surprenant qu’exigeant, délibérément ralenti, semé d’images de toute beauté. On est bercé par cette mise en scène sensorielle et grinçante, comme contaminé par la torpeur coloniale dans laquelle Zama l’hébété s’enlise et s’engourdit.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un grand film perturbé autour de la dépravation d’un fonctionnaire royal isolé en Amérique latine.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un fascinant voyage fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Autant dire que "Zama", ce n’est pas du ciné-roman, du ciné-message, du ciné réductible en quelques lignes de pitch mais du cinexpérience, cette chose de plus en plus rare que le cinéma ne fabrique hélas plus beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Lunn
Rythme lent, images surréalistes, beau travail sur le son, Lucrecia Martel livre un petit précis de décomposition, un voyage anti-spectaculaire au coeur des ténèbres et du système colonial.
Positif
par Yannick Lemarié
[...] Lucrecia Martel revient avec une adaptation du roman d'Antonio di Benedetto [...]. S'appuyant sur une bande-son remarquable, elle y décrit notamment le quotidien de Diego de Zama, un obscur corregidor du roi d'Espagne (...).
Télérama
par Samuel Douhaire
Le tempo lent jusqu’à l’engourdissement et, surtout, la bande-son aussi expressive que crispante ont de quoi rebuter. Mais dans la dernière demi-heure, Lucrecia Martel abandonne les intérieurs claustrophobiques pour conduire son héros dans une expédition dantesque à travers la jungle. Zama, dès lors, devient fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une sorte de délire baroco-primitif dont on ne retient rien de très mémorable.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Thomas Baurez
On a ici le prototype même du cinéma de Martel, et pourtant, nous voici avec une caricature qui se repait d’elle-même et n’a dès lors plus rien à offrir que des certitudes vaines.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Une fresque enchanteresse sur les terres latino-américaines de la fin du XVIIIe. Un périple, une évasion, une hallucination.
Cahiers du Cinéma
La dernière demie-heure, démente, atteint des sommets psychédéliques qui rappellent la fin d’Apocalypse Now, Dead Man ou Jauja. C’est dire où se situe aujourd’hui le cinéma de Lucrecia Martel.
Libération
[...] l’aventure du récit se double aussi d’une aventure des sens, que la mise en scène magistrale et constamment surprenante de Lucrecia Martel parvient à faire éprouver au spectateur, de la première à la dernière minute du film.
Paris Match
La puissance du cinéma de Lucrecia Martel tient dans ce refus de donner au spectateur une interprétation facile, de son choix à contre-courant des modèles narratifs contemporains de laisser «naviguer» son récit entre différents états de compréhension.
Critikat.com
Les va-et-vient du « poisson » Zama méritaient bien quelques indices, aussi imposant soient-ils, au sein de cette déroutante mise en scène de l’émasculation coloniale.
L'Obs
Son évocation d’une colonisation vouée à disparaître, ultime rempart corrompu d’une puissance espagnole sur le déclin, est traversée, comme toujours chez la cinéaste, par une étrangeté mystique et un malaise poisseux qui soulignent la critique d’un pouvoir blanc exsangue.
Le Dauphiné Libéré
Un destin fort, où se mêlent la quête existentielle et le défi de l'aventure, dans un film qui impose sa vision intrigante et la beauté formelle de sa réalisation.
Le Figaro
D'après un roman d'Antonio Di Benedetto, la réalisatrice argentine signe un précis de décomposition où tous les repères de l'existence se perdent peu à peu, dans une mise en scène à l'étrangeté hypnotique.
Le Journal du Dimanche
[...] aussi surprenant qu’exigeant, délibérément ralenti, semé d’images de toute beauté. On est bercé par cette mise en scène sensorielle et grinçante, comme contaminé par la torpeur coloniale dans laquelle Zama l’hébété s’enlise et s’engourdit.
Le Monde
Un grand film perturbé autour de la dépravation d’un fonctionnaire royal isolé en Amérique latine.
Les Fiches du Cinéma
Un fascinant voyage fantastique.
Les Inrockuptibles
Autant dire que "Zama", ce n’est pas du ciné-roman, du ciné-message, du ciné réductible en quelques lignes de pitch mais du cinexpérience, cette chose de plus en plus rare que le cinéma ne fabrique hélas plus beaucoup.
Ouest France
Rythme lent, images surréalistes, beau travail sur le son, Lucrecia Martel livre un petit précis de décomposition, un voyage anti-spectaculaire au coeur des ténèbres et du système colonial.
Positif
[...] Lucrecia Martel revient avec une adaptation du roman d'Antonio di Benedetto [...]. S'appuyant sur une bande-son remarquable, elle y décrit notamment le quotidien de Diego de Zama, un obscur corregidor du roi d'Espagne (...).
Télérama
Le tempo lent jusqu’à l’engourdissement et, surtout, la bande-son aussi expressive que crispante ont de quoi rebuter. Mais dans la dernière demi-heure, Lucrecia Martel abandonne les intérieurs claustrophobiques pour conduire son héros dans une expédition dantesque à travers la jungle. Zama, dès lors, devient fascinant.
L'Humanité
Une sorte de délire baroco-primitif dont on ne retient rien de très mémorable.
Première
On a ici le prototype même du cinéma de Martel, et pourtant, nous voici avec une caricature qui se repait d’elle-même et n’a dès lors plus rien à offrir que des certitudes vaines.