Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
En bref : l’horreur se déroule hors de notre vue. Cela contribue à l’élégance d’un mélo implacable qui régénère le cinéma d’angoisse ibérique. Possible qu’il passe inaperçu, laminé par le bulldozer du scientologue acrobate. Pourtant c’est un des plus beaux films de l’année.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La narration est conduite avec une virtuosité qui la rend captivante, les personnages sont dessinés à la perfection et servis par des comédiens idéalement choisis. (...) Bref, "la Niña de fuego" s’impose comme la révélation majeure de cet été. Et même, peut-être, de l’année.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Une tragédie d’une épure formelle à double tranchant.
Culturopoing.com
par Marc Bousquet
"La Niña de Fuego" est avant tout un film de structures, une construction visant à mettre en exergue la dualité profonde de l’être humain, entre émotion et raison.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Marc Gadmer
Ce film espagnol brouille les pistes et multiplie les rebondissements dans une corrida des sentiments haute en couleur.
L'Express
par Thierry Chèze
Une mise en scène volontairement glacée et glaçante qui fait rejaillir, par contraste, de façon explosive la guerre des nerfs engendrée par cette succession de mensonges et de tromperies. Ce polar se révèle aussi déroutant qu'envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La dualité de l’être, ses parts d’ombres, sont au cœur de cette œuvre renversante qui – comme tous les grands films noirs – ne parle que d’amour, que de désir, que d’obsession, que d’imposture, que de déliquescence, que de souffrance.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film ambitieux, s’essayant à saisir l’âme espagnole partagée entre instinct et raison. C’est surtout, ici, l’instinct qui triomphe.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Carlos Vermut se révèle un excellent directeur d’acteurs. Non seulement il parvient à obtenir de chacun justesse et conviction, mais il joue à merveille de l’équilibre entre les personnages. C’est l’une des meilleures manières, cette semaine, d’échapper au soleil.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un festival de tromperies et de vengeances pour un polar aussi fascinant que déroutant.
TF1 News
par Romain Le Vern
L'incroyable Barbara Lennie illumine ce thriller mental sombre et très efficace qui a justement tapé dans l'œil de Pedro Almodovar.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Ce thriller joue comme un virtuose avec les ellipses, réussissant à faire évoluer de façon compréhensible ses trois personnages principaux dans une intrigue faite de ruptures et de sauts dans le temps… Aussi machiavélique que son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce deuxième long de Carlos Vermut, continuateur doué d’Almodóvar, brille avant tout par sa froideur, et son personnage principal, Bárbara, figure gothique qui est la fille magique du titre original, a quelque chose de glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Floreal Peleato
Certes, Carlos Vermut construit son puzzle avec assurance, mais la volonté de bien faire gâche parfois le film : qu'on se souvienne du prologue et de l'épilogue, symétriques et systématiques. Les dialogues parcimonieux et murmurés flottent dans des îles de silence filmées en tons presque désaturés.
Première
par Gérard Delorme
Une intrigue qui ne démarre vraiment que lorsque l’instinct prend le pas sur la raison. Le déséquilibre qui en découle entraîne une série d’absurdités. (...) Il faut lui concéder un certain degré de conviction, soutenu par un style affirmé et réfléchi, mais le spectateur doit aussi faire preuve de beaucoup d’indulgence.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Carlos Vermut propose un film atypique, où l'audace de la narration n'a d'égal que la violence des relations entre chaque personnage, dans une société où les règles s'écroulent sous la passion dès que cède la raison.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
par Samuel Douhaire
Alambiqué à l'excès, le récit tente d'imiter les tours de force narratifs d'Almodóvar. Emotion en moins, ennui en plus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Adrien Dénouette
(...) la frustration que laisse La Niña de Fuego découle justement de son incapacité à récolter les fruits de son travail de sape (...), et qu’à force de se dérober devant ses propres images, Vermut n’offre que la peau d’un film dénoyauté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
En bref : l’horreur se déroule hors de notre vue. Cela contribue à l’élégance d’un mélo implacable qui régénère le cinéma d’angoisse ibérique. Possible qu’il passe inaperçu, laminé par le bulldozer du scientologue acrobate. Pourtant c’est un des plus beaux films de l’année.
L'Obs
La narration est conduite avec une virtuosité qui la rend captivante, les personnages sont dessinés à la perfection et servis par des comédiens idéalement choisis. (...) Bref, "la Niña de fuego" s’impose comme la révélation majeure de cet été. Et même, peut-être, de l’année.
CinemaTeaser
Une tragédie d’une épure formelle à double tranchant.
Culturopoing.com
"La Niña de Fuego" est avant tout un film de structures, une construction visant à mettre en exergue la dualité profonde de l’être humain, entre émotion et raison.
Femme Actuelle
Ce film espagnol brouille les pistes et multiplie les rebondissements dans une corrida des sentiments haute en couleur.
L'Express
Une mise en scène volontairement glacée et glaçante qui fait rejaillir, par contraste, de façon explosive la guerre des nerfs engendrée par cette succession de mensonges et de tromperies. Ce polar se révèle aussi déroutant qu'envoûtant.
La Voix du Nord
La dualité de l’être, ses parts d’ombres, sont au cœur de cette œuvre renversante qui – comme tous les grands films noirs – ne parle que d’amour, que de désir, que d’obsession, que d’imposture, que de déliquescence, que de souffrance.
Le Dauphiné Libéré
Un film ambitieux, s’essayant à saisir l’âme espagnole partagée entre instinct et raison. C’est surtout, ici, l’instinct qui triomphe.
Le Monde
Carlos Vermut se révèle un excellent directeur d’acteurs. Non seulement il parvient à obtenir de chacun justesse et conviction, mais il joue à merveille de l’équilibre entre les personnages. C’est l’une des meilleures manières, cette semaine, d’échapper au soleil.
Studio Ciné Live
Un festival de tromperies et de vengeances pour un polar aussi fascinant que déroutant.
TF1 News
L'incroyable Barbara Lennie illumine ce thriller mental sombre et très efficace qui a justement tapé dans l'œil de Pedro Almodovar.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller joue comme un virtuose avec les ellipses, réussissant à faire évoluer de façon compréhensible ses trois personnages principaux dans une intrigue faite de ruptures et de sauts dans le temps… Aussi machiavélique que son héroïne.
Les Inrockuptibles
Ce deuxième long de Carlos Vermut, continuateur doué d’Almodóvar, brille avant tout par sa froideur, et son personnage principal, Bárbara, figure gothique qui est la fille magique du titre original, a quelque chose de glaçant.
Positif
Certes, Carlos Vermut construit son puzzle avec assurance, mais la volonté de bien faire gâche parfois le film : qu'on se souvienne du prologue et de l'épilogue, symétriques et systématiques. Les dialogues parcimonieux et murmurés flottent dans des îles de silence filmées en tons presque désaturés.
Première
Une intrigue qui ne démarre vraiment que lorsque l’instinct prend le pas sur la raison. Le déséquilibre qui en découle entraîne une série d’absurdités. (...) Il faut lui concéder un certain degré de conviction, soutenu par un style affirmé et réfléchi, mais le spectateur doit aussi faire preuve de beaucoup d’indulgence.
aVoir-aLire.com
Carlos Vermut propose un film atypique, où l'audace de la narration n'a d'égal que la violence des relations entre chaque personnage, dans une société où les règles s'écroulent sous la passion dès que cède la raison.
Télérama
Alambiqué à l'excès, le récit tente d'imiter les tours de force narratifs d'Almodóvar. Emotion en moins, ennui en plus.
Critikat.com
(...) la frustration que laisse La Niña de Fuego découle justement de son incapacité à récolter les fruits de son travail de sape (...), et qu’à force de se dérober devant ses propres images, Vermut n’offre que la peau d’un film dénoyauté.