Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
L'interprétation de Macon Blair est pour beaucoup dans la réussite du film, tant il sait incarner cette ombre s'éveillant peu à peu à la lumière, retrouvant son humanité à mesure qu'il marche vers un destin de plus en plus sombre, dans une sorte de clair-obscur psychologique.
Le Monde
par Isabelle Regnier
[...] les petits shoots sadiques, à la limites du gore, [que Jeremy Saulnier] distille, sont si bien calibrés qu'ils propulsent le spectateur dans un état proche du ravissement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Gilles Esposito
Auteur complet cumulant les fonctions de réalisateur, de scénariste et de directeur photo, [...] Jeremy Saulnier est incontestablement un homme à suivre.
Ouest France
par La Rédaction
Ce portrait de société donne froid dans le dos.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film âpre se révèle intense dès les premières images (...).
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"Blue Ruin" progresse dans un mélange de fixité robotique et de balourdise dont on ne connaît pas vraiment d’équivalent dans le cinéma indépendant américain récent.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Plus qu'il n'éraille le Second amendement, Saulnier tire le portrait d'une société coincée entre sa propre légende et la réalité du présent.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Benoît Smith
"Blue Ruin" prend son sens dans un postulat très simple et très salutaire, d’une évidence que le cinéma, notamment hollywoodien, oublie souvent : même en Amérique, au pays du Deuxième Amendement et dans un genre où la violence est un accessoire commun, il n’est pas si facile de tuer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un thriller atypique nourri au sirop de la rue, maîtrisé de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Toma Clarac
Un voyage sanglant et sans retour dans des paysages à la lisière du fantastique, décor idéal pour un thriller tendu comme un arc, mais qui s'autorise aussi quelques interludes semi-gores et burlesques bien sentis.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Express
par Christophe Carrière
Un bijou de film noir.
La Voix du Nord
par La Rédaction
Film puissant, chauffé à blanc par une mise en scène sans compromis.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Regard désabusé et flottant sur une Amérique en déroute. Une vraie révélation.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys et Bruno Icher
"Blue Ruin" a pas mal voyagé dans divers festivals, récoltant une jolie moisson de prix et une belle réputation critique. Largement de quoi identifier Saulnier comme un cinéaste à suivre dans le microcosme du cinéma (...). C’est tout le mal qu’on lui souhaite.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
"Blue Ruin" porte la patte du jeune cinéma indépendant US qui, de Jeff Nichols ("Take Shelter") à Evan Glodell ("Bellflower"), tente d'écrire son histoire loin des machines à cash d'Hollywood. (...) Jeremy Saulnier, qui a en partie financé son film avec l'aide des internautes, mérite qu'on se penche sur son talent prometteur.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Ariane Allard
Porté par un acteur singulier, galvanisé par un sens rare du récit, irisé par une réalisation solide et soignée: "Blue Ruin" séduit en deux temps. Jeremy Saulnier possède un regard, mais encore un ton. En clair, il a réussi son pari.
Première
par Hendy Bicaise
Ce jeune cinéaste a de la suite dans les idées, et c'est tant mieux car l'après- "Blue Ruin" est déjà très attendu.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Sud Ouest
par Sophie Avon
De la Virginie au Kentucky, "Blue Ruin" suit le parcours mortifère d'un homme qui à lui seul pourrait bien incarner l'âme d'un pays. C'est un vagabond. Il suffit de quelques plans pour le comprendre, et l'ouverture est d'ailleurs géniale.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
TF1 News
par Romain Le Vern
Une réussite qui, incidemment, en rappelle une autre : "Blood Simple" (1984). (...) Très prometteur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
En l’état, on est dans un pur thriller, sec et laconique, où chaque coup de feu tiré résonne du poids de la vie qu’il ôte et entretient la spirale absurde de la vengeance.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Découvert à la Quinzaine des réalisateurs 2013, ce film de vengeance, à la violence teintée d'humour très noir, séduira les fans des premiers films des frères Coen. On y retrouve le même genre d'antihéros poissard et maladroit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
A la fois tétanisant dans ses moments de pure violence et drôle dans ses dérapages volontaires, l’ensemble est porté par une excellente réalisation qui devrait faire de Jeremy Saulnier l’un des plus beaux espoirs de cette année.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Tourné avec peu de moyens et doté de peu de dialogues, "Blue Ruin" capte immédiatement l’attention par son atmosphère intrigante. Sans jamais devenir une œuvre didactique, le récit, avec ses révélations inattendues, est, d’une certaine manière, un plaidoyer contre la violence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film sur l’auto-justice, qui cultive un peu trop la violence et le côté poisseux, mais au climat oppressant et qui révèle un acteur puissant.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Outre la peinture au vitriol d’une Amérique armée jusqu’aux dents, le film captive par le caractère irrémédiable, voire absurde, de la situation dans laquelle se trouve cet antihéros ordinaire et attachant.
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Julien Marest
“Blue Ruin” surprend par ses qualités de mise en scène mais, grevé par un scénario somme toute conventionnel, ne parvient pas à dépasser sa condition de film de genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Brutal, imprévisible, ce film vendetta ajoute au genre une pincée d'étrangeté magnifiée par un visuel soigné. Dommage que la dernière partie du film soit moins imaginative.
L'Ecran Fantastique
L'interprétation de Macon Blair est pour beaucoup dans la réussite du film, tant il sait incarner cette ombre s'éveillant peu à peu à la lumière, retrouvant son humanité à mesure qu'il marche vers un destin de plus en plus sombre, dans une sorte de clair-obscur psychologique.
Le Monde
[...] les petits shoots sadiques, à la limites du gore, [que Jeremy Saulnier] distille, sont si bien calibrés qu'ils propulsent le spectateur dans un état proche du ravissement.
Mad Movies
Auteur complet cumulant les fonctions de réalisateur, de scénariste et de directeur photo, [...] Jeremy Saulnier est incontestablement un homme à suivre.
Ouest France
Ce portrait de société donne froid dans le dos.
20 Minutes
Ce film âpre se révèle intense dès les premières images (...).
Cahiers du Cinéma
"Blue Ruin" progresse dans un mélange de fixité robotique et de balourdise dont on ne connaît pas vraiment d’équivalent dans le cinéma indépendant américain récent.
Chronic'art.com
Plus qu'il n'éraille le Second amendement, Saulnier tire le portrait d'une société coincée entre sa propre légende et la réalité du présent.
Critikat.com
"Blue Ruin" prend son sens dans un postulat très simple et très salutaire, d’une évidence que le cinéma, notamment hollywoodien, oublie souvent : même en Amérique, au pays du Deuxième Amendement et dans un genre où la violence est un accessoire commun, il n’est pas si facile de tuer.
Franceinfo Culture
Un thriller atypique nourri au sirop de la rue, maîtrisé de bout en bout.
GQ
Un voyage sanglant et sans retour dans des paysages à la lisière du fantastique, décor idéal pour un thriller tendu comme un arc, mais qui s'autorise aussi quelques interludes semi-gores et burlesques bien sentis.
L'Express
Un bijou de film noir.
La Voix du Nord
Film puissant, chauffé à blanc par une mise en scène sans compromis.
Les Inrockuptibles
Regard désabusé et flottant sur une Amérique en déroute. Une vraie révélation.
Libération
"Blue Ruin" a pas mal voyagé dans divers festivals, récoltant une jolie moisson de prix et une belle réputation critique. Largement de quoi identifier Saulnier comme un cinéaste à suivre dans le microcosme du cinéma (...). C’est tout le mal qu’on lui souhaite.
Metro
"Blue Ruin" porte la patte du jeune cinéma indépendant US qui, de Jeff Nichols ("Take Shelter") à Evan Glodell ("Bellflower"), tente d'écrire son histoire loin des machines à cash d'Hollywood. (...) Jeremy Saulnier, qui a en partie financé son film avec l'aide des internautes, mérite qu'on se penche sur son talent prometteur.
Positif
Porté par un acteur singulier, galvanisé par un sens rare du récit, irisé par une réalisation solide et soignée: "Blue Ruin" séduit en deux temps. Jeremy Saulnier possède un regard, mais encore un ton. En clair, il a réussi son pari.
Première
Ce jeune cinéaste a de la suite dans les idées, et c'est tant mieux car l'après- "Blue Ruin" est déjà très attendu.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
De la Virginie au Kentucky, "Blue Ruin" suit le parcours mortifère d'un homme qui à lui seul pourrait bien incarner l'âme d'un pays. C'est un vagabond. Il suffit de quelques plans pour le comprendre, et l'ouverture est d'ailleurs géniale.
TF1 News
Une réussite qui, incidemment, en rappelle une autre : "Blood Simple" (1984). (...) Très prometteur.
TéléCinéObs
En l’état, on est dans un pur thriller, sec et laconique, où chaque coup de feu tiré résonne du poids de la vie qu’il ôte et entretient la spirale absurde de la vengeance.
Télérama
Découvert à la Quinzaine des réalisateurs 2013, ce film de vengeance, à la violence teintée d'humour très noir, séduira les fans des premiers films des frères Coen. On y retrouve le même genre d'antihéros poissard et maladroit.
aVoir-aLire.com
A la fois tétanisant dans ses moments de pure violence et drôle dans ses dérapages volontaires, l’ensemble est porté par une excellente réalisation qui devrait faire de Jeremy Saulnier l’un des plus beaux espoirs de cette année.
La Croix
Tourné avec peu de moyens et doté de peu de dialogues, "Blue Ruin" capte immédiatement l’attention par son atmosphère intrigante. Sans jamais devenir une œuvre didactique, le récit, avec ses révélations inattendues, est, d’une certaine manière, un plaidoyer contre la violence.
Le Dauphiné Libéré
Un film sur l’auto-justice, qui cultive un peu trop la violence et le côté poisseux, mais au climat oppressant et qui révèle un acteur puissant.
Le Journal du Dimanche
Outre la peinture au vitriol d’une Amérique armée jusqu’aux dents, le film captive par le caractère irrémédiable, voire absurde, de la situation dans laquelle se trouve cet antihéros ordinaire et attachant.
Les Fiches du Cinéma
“Blue Ruin” surprend par ses qualités de mise en scène mais, grevé par un scénario somme toute conventionnel, ne parvient pas à dépasser sa condition de film de genre.
Paris Match
Brutal, imprévisible, ce film vendetta ajoute au genre une pincée d'étrangeté magnifiée par un visuel soigné. Dommage que la dernière partie du film soit moins imaginative.