Avis : Dumbo - Page 8

Un grand classique signé Walt Disney. Le film est en même temps drôle, triste, touchant, émouvant, mignon, bref le genre des films d'animations de Disney. Dans ce film d'animation, on retrouve aussi la magie de Disney, et on voit que le film a été réalisé pour nous transmettre un message. Le message que Disney voulait nous transmettre, est qu'un jeune éléphant sous le nom de Dumbo est rejeté par tous les autres éléphants, et subit des moqueries à cause de ses grandes oreilles. Mais plus le film avance, plus Dumbo deviendra un éléphant exceptionnel. On a aussi le droit à des musiques vraiment très belles (comme dans tous les Disney, excepté dans quelques uns), et émotionnelles qui vont vraiment bien avec le film. Car avec Disney, il y a toujours des histoires racontées avec de la musique. spoiler: Dumbo est un petit éléphanteau, qui en plus d'avoir été livré en retard à sa maman, Madame Jumbo, à de grandes oreilles. Cette petite caractéristique lui vaut les moqueries des autres éléphants. Un jour alors que le cirque a qui il appartient s'est arrêté dans une ville, une bande de jeunes garçons visitent les animaux et finissent pas apercevoir le petit Dumbo. Ni une, ni deux, ils ne se font pas prier pour se moquer de lui et de ses oreilles. Madame Jumbo, folle de rage a tôt fait d'attraper le plus moqueur d'entre eux, le vilain Skinny et de lui donner la fessée de sa trompe. Malheureusement, son comportement lui vaut de se retrouver enfermer à part des autres animaux. Dumbo se retrouve alors tout seul. Heureusement, une petite souris, du nom de Timothée, lui vient en aide. Elle lui propose tout simplement de lui apprendre à voler avec ses grandes oreilles, ainsi les autres animaux ne se moqueront plus de lui. Une grande aventure commence alors pour le jeune éléphanteau. En chemin, il croise des corbeaux, qui gracieusement lui donne quelques conseils. Puis sous les directives de leur chef, et surtout grâce à une plume magique, Dumbo parvient à prendre son envol du haut d'une falaise. Il retourne alors au cirque où il devient vite la star du chapiteau et parvient à faire libérer sa maman. Commence alors pour eux une nouvelle vie sous les feux des projecteurs.
En conclusion, ''Dumbo'' est un grand classique que vous devez au moins voir une fois dans votre vie, seul petit bémol du film, il est beaucoup trop court. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.

Un Walt Disney marquant et attachant. Je veux dire par là que certaines scènes m’ont marqué même si sa va faire 10 ans que je n’ai pas vu ce dessin animé. La scène du début avec les cigognes qui apporte les bébés au zoo, la mère de l’éléphant aussi m’avait marqué mais je sais plus pourquoi. Bref les dessins sont particuliers et moins biens faits que dans Bambi alors que Dumbo est sortit 5 ans après. Sinon la scène du cirque aussi m’a marqué avec les clowns qui ont l’air méchants bref franchement je m’en souviens plus du tout. Je suppose que c’était encore un happy end mais bref c’est normal. Ces dessins animés resteront dans l’histoire du cinéma, les enfants de nos jours devraient commencer par regarder ces vieux chefs-d’œuvre. Sinon rien de bien crédible mais sa ne jouera pas sur la note car c’est normal pour un dessin animé, scénario bien trouvé et synopsis original. A montrer aux enfants.

Techniquement, ce n'est pas le plus impressionnant de la production Disney, loin de là. Après l'énorme Fantasia, Tonton Walt avait peut-être besoin de lever le pied et de revenir à quelque chose de plus simple et essentiel. Exceptée l'excellente séquence des éléphants roses, digne de Fantasia, on est pas là pour en prendre plein les mirettes... En revanche, le film, qui s'adresse en priorité aux plus petits, est sur le fond extrêmement réussi. L'histoire est simple mais très efficace avec ce qu'il faut de poésie, d'humour et de séquences lacrymales, avec des personnages attachants et une bonne musique. La mise en scène est dynamique et la morale n'est pas trop appuyée. Un grand Disney.

Incontournable.

Un classique des studios Disney avec des scènes touchantes, une morale toujours aussi bonne pour les enfants, des chansons faciles à retenir, une histoire attendrissante, une animation très bonne, une image propre, un scénario idéal pour mettre en avant les différences, la famille et les amis, une faible quantité de dialogue pour renforcer le côté émotionnel et le personnage de Dumbo est très attachant et suscite rapidement de l'empathie.

Un grand classique touchant et fabuleux des studios Disney avec des scènes touchantes, une morale toujours aussi bonne pour les enfants, des chansons faciles à retenir, une histoire attendrissante, une animation très bonne et un éléphant très attachant.

Dumbo est pour moi l'un des plus grands film Disney de tous les temps c un film que je trouve tellement touchant et nostalgique !

Ce film nous mntre que même si on est différent, on est tous pareil a l'intérieur... a méditer aussi

évidemment l'œuvre toute entière. Son image, emplie de charme et de tendresse, résume à elle-seule la teneur du long-métrage. Ce petit éléphanteau, handicapé par des oreilles trop longues, subit, en effet, un univers totalement hostile, au seul motif de sa différence. Le capital sympathie du personnage est, dès la première image, immense et s'accroît tout au long du film. Dumbo appartient d'ailleurs à la pure pantomime. Il ne dit pas un seul mot et ne transmet ses émotions que par ses seuls gestes et postures. Touchant, naïf et terriblement attachant, l'éléphanteau semble touché par la grâce tant il parvient à émouvoir le spectateur. La relation de Dumbo avec sa maman, parfaitement retranscrite, comporte une charge émotionnelle intense.

Malgrè cela, un des disney que j'ai le moins aimé surtout destiné aux plus jeunes. Quelques incohérences et erreurs (le nombre d'éléphants de la pyramide change) et trop de bons sentiments à mon goût!

Certains films, même pour enfants, sont des pavés culturels à eux seuls. Dumbo en fait partie. Incontournable.

Quatrième « Classique d’animation » des studios Disney après Blanche-Neige et les Sept Nains, Pinocchio et Fantasia, Dumbo incarne à la fois le film de la dernière chance après les échecs successifs et financiers des deux précédentes productions, mais également l’un de ses films les plus poétiques et bouleversants.
Pour la troisième fois, Disney reste dans le registre de la littérature enfantine en adaptant l’histoire d’Helen Aberson, Dumbo, publiée en 1939. L’idée est suggérée à Walt Disney par l’un de ses dessinateurs, mais le scénario original étant trop bref, ses collaborateurs décident de développer une histoire plus longue, qui serait adaptée en un long-métrage. Même si le créateur de Walt Disney a, pendant quelques temps, privilégié l’idée d’un court-métrage de trente minutes, il est rapidement convaincu par le projet de deux de ses plus brillants scénaristes et opte pour la proposition d’une adaptation plus longue. En janvier-février 1940, Dumbo peut enfin commencer à voir le jour dans les studios Disney.
L’histoire, à la fois poétique et bouleversante, reprend des éléments du Vilain Petit Canard mais change la nature du personnage principal. En effet, elle présente le parcours juché d’embûches d’un éléphanteau doté de larges oreilles, de son arrivée des cieux pour rejoindre sa mère jusqu’à l’acceptation de sa différence pour en faire une force. Véritable leçon de tolérance et de confiance en soi, ce long-métrage ne dure guère plus d’une heure, ce qui en fait le deuxième plus court des studios, principalement pour des raisons budgétaires. La production du film est également l’une des plus brèves connues à ce jour, avec une durée d’environ un an et demi (en comparaison, Blanche-Neige et les Sept Nais avait nécessité trois ans de travail). Enfin, grâce aux économies réalisées dans l’animation, le budget final parvient à ne pas dépasser la barre du million de dollars.
Le 23 octobre 1941, la première projection de Dumbo a lieu à New-York. Malgré un aspect narratif plus simple que ses prédécesseurs, Dumbo réussit l’exploit d’offrir une histoire émouvante avec des coûts réduits. Bien que muet du début à la fin, cet éléphanteau moqué mais attendrissant profite d’une somptueuse animation et ne peut laisser personne insensible.
Néanmoins, la séquence des éléphants à rose, dont on peut comparer le surréalisme à la première scène musicale de Fantasia, peut laisser assez dubitatif quant à sa pertinence et son intérêt dans un long-métrage jusque-là plutôt réaliste. Mais ses doutes ne peuvent, à eux seuls, altérer la qualité globale de l’œuvre, dont la musique présente l’un des principaux atouts et se voit récompensée par l’Oscar de la meilleure musique de film en 1942.

Alors voilà ce qu'est un super et bon dessin animé. Tout est si parfait, les plan, les dessins, la musique.
Ce Disney n'est pas spécialement drôle, mais la moral est là, les larmes coulent, du pur bonheur.
Une certaine ressemblance au "Bossu de Notre Dame" sur la différence et l'acceptation dans un monde cruel.
Franchement un super bon moment.
Mais du moins il y a un moment très chiant (quand Dumbo a bus du vin) mais techniquement super pour l'époque mais plus pour maintenant, dommage.
A découvrir ce classique de Disney absolument.

Grand Classique Disney, un film impérissable. Une grande force émotionnelle mais sans jamais tomber dans la mièvrerie.

« Avec des oreilles pareilles, il n’y a qu’une mère pour l’aimer »
Dumbo, objet de toutes les nasardes de la part des éléphantes mégères , est raillé cruellement par des galopins. Sa maman leur donne la fessée en retour. Timothée, souriceau roué, exhorte l’éléphanteau de voler à l’aide de ses oreilles gargantuesques.

Il est, en effet, houspillé par tout un chacun à cause de sa différence dû à sa disproportion auriculaire donc il permet une identification immédiate pour peu qu’on souffre d’une tare physique, ce qui est le cas d’à peu près tout le monde.

Timothée devient son ami sans a priori ; il est une sorte de Jiminy Cricket. Il intensifie la méchanceté des pies-grièches et l’impudence des sacripants.

La scène de la berceuse Mon petit est déchirante de par le fait que la mère ne peut l’atteindre avec sa trompe et la mine pleurarde du petit éléphant.

La séquence La parade des éléphants roses sorte de délire psychédélique et surréaliste est un hommage direct à Salvador Dalí. Représentant une soulographie, les couleurs criardes, le rythme itératif et le tintamarre qui va crescendo contribuent au capharnaüm autant visuel que sonore.

Je préfère ne rien dire car les murs ont des oreilles. Les éléphants aussi si je ne me trompe pas...