Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Filmsactu
par La Rédaction
Des vannes au kilomètre, des séquences d’action extrêmement généreuses (même si pas toujours très propres) et des moments iconiques qu’on ne risque pas d’oublier : Hobbs and Shaw, c’est un peu le meilleur des blockbusters de ces dix dernières années enrobé dans un bel emballage qui sent bon le cinéma d'action 90’s.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Ici tout est permis et cela en devient moins régressif qu’étrangement paradisiaque et licencieux, assumé proprement, majestueusement, sans le masque hypocrite et trop commode de la série B surproduite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par François Rieux
Un blockbuster percutant et très divertissant.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par François Rieux
Hobbs & Shaw est un divertissement total, jouissif et übercool, un peu comme ce gamin dans les années 80 qui s’éclatait seul dans sa chambre avec ses G.I. Joe.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
par Simon Riaux
Quelques saillies méchamment cool, une poignée de plans iconiques et une flamboyante Vanessa Kirby ne suffisent pas à faire oublier des dialogues et une mise en scène étonnamment peu inspirés. Un épisode en demi-teinte, réservé aux fans hardcore de la saga.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le spectacle est au rendez-vous, mené à un rythme d’enfer, même si la mise en scène demeure impersonnelle. Au final, un excellent pop-corn movie, pour se rafraîchir après la plage.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Delphine De Freitas
Le duo, jouissif, vient redynamiser la franchise de bolides avec sa meilleur arme : l'humour. Quitte à frôler l'overdose de testostérone.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Figaro
par Robin Cannone
Trop long ? Sans doute. Énervant ? Assurément. Est-ce du cinéma ? On peut en douter. Il y a toutefois une forme de plaisir régressif à se perdre dans l’absurdité de cette production hollywoodienne totalement décérébrée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce blockbuster dégaine avec enthousiasme muscles huilés, combats, fusillades, cascades, courses-poursuites et explosions.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Une surenchère totale, jamais subtile, perfectible sur de nombreux points, mais qui apporte un bon contre-point à qui chercherait moins de bagnoles et plus de torgnoles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
David Leich livre au final un film efficace, distrayant, qui séduira les amateurs du genre et rendra sourds les thuriféraires d'Ingmar Bergman.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Yoann Casals
Malgré ces nombreux défauts, Fast & Furious : Hobbs & Shaw remplit son contrat de comédie d'action musclée tout en se démarquant de la franchise dont il s'inspire.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Ce n’est qu’en embrassant sa crétinerie régressive et son entreprise de déréalisation que ce nouveau volet parvient à fasciner - quand il ne sidère pas.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Léo Soesanto
Les deux modèles, l’ultrasouple Statham et le massif Johnson, se complètent bien dans la vanne et le style, équilibrant la testostérone avec un clin d’œil permanent sans l’assécher.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Clément Mathieu
Les plus solides atouts de ce divertissement estival aussi sympathique que vite oublié sont toutefois à trouver dans sa distribution.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Nicolas Didier
Vannes bas du front et cascades ahurissantes — une dépanneuse contre un hélicoptère de combat —, par un réalisateur plus que rompu à l’exercice…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Loin du caractère organique des scènes d’action de Mission : Impossible et plus encore de leur inventivité, loin de la virtuosité de Michael Bay, Hobbs & Shaw, comme en humour, choisit le passage en force, bruyamment et sans grand style.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Eric Libiot
C'est fatigant. Et agaçant car avec un peu plus de boulot sur le scénario, le film serait largement présentable (qu'on pense à "Die Hard" par exemple). Mais non, la production s'en tient au strict minimum.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les spectateurs adeptes de vitesse, d'explosions et de combats y trouveront leur compte. Pour les autres, sérieux s’abstenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
« Hobbs & Shaw » est ultra-bas de plafond, mais aussi bien marrant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un spin-off, qui exploite la franchise “Fast and Furious”, et qui, en attendant le numéro 9, prévu pour l’an prochain, apporte sa dose annuelle d’effets spéciaux, de corps body-buildés, et d’action explosive. Sans surprise.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le cynisme du projet est palpable. Notamment dans la désinvolture des scènes « psychologiques ». Pour le reste, il faut sans doute aimer les gigantesques cartoons que sont devenus ces films hollywoodiens infantiles construits sur les mêmes mécanismes déclinés à l’infini.
Mad Movies
par François Cau
Dans ses pires moments, autrement dit à chaque instant, "Hobbs & Shaw" marque la dégénérescence terminale du cinéma méta second degré coup de coude dans les côtés clin d'oeil-clin d'oeil.
Filmsactu
Des vannes au kilomètre, des séquences d’action extrêmement généreuses (même si pas toujours très propres) et des moments iconiques qu’on ne risque pas d’oublier : Hobbs and Shaw, c’est un peu le meilleur des blockbusters de ces dix dernières années enrobé dans un bel emballage qui sent bon le cinéma d'action 90’s.
Les Inrockuptibles
Ici tout est permis et cela en devient moins régressif qu’étrangement paradisiaque et licencieux, assumé proprement, majestueusement, sans le masque hypocrite et trop commode de la série B surproduite.
Ouest France
Un blockbuster percutant et très divertissant.
Première
Hobbs & Shaw est un divertissement total, jouissif et übercool, un peu comme ce gamin dans les années 80 qui s’éclatait seul dans sa chambre avec ses G.I. Joe.
Ecran Large
Quelques saillies méchamment cool, une poignée de plans iconiques et une flamboyante Vanessa Kirby ne suffisent pas à faire oublier des dialogues et une mise en scène étonnamment peu inspirés. Un épisode en demi-teinte, réservé aux fans hardcore de la saga.
Franceinfo Culture
Le spectacle est au rendez-vous, mené à un rythme d’enfer, même si la mise en scène demeure impersonnelle. Au final, un excellent pop-corn movie, pour se rafraîchir après la plage.
LCI
Le duo, jouissif, vient redynamiser la franchise de bolides avec sa meilleur arme : l'humour. Quitte à frôler l'overdose de testostérone.
Le Figaro
Trop long ? Sans doute. Énervant ? Assurément. Est-ce du cinéma ? On peut en douter. Il y a toutefois une forme de plaisir régressif à se perdre dans l’absurdité de cette production hollywoodienne totalement décérébrée.
Le Journal du Dimanche
Ce blockbuster dégaine avec enthousiasme muscles huilés, combats, fusillades, cascades, courses-poursuites et explosions.
Le Journal du Geek
Une surenchère totale, jamais subtile, perfectible sur de nombreux points, mais qui apporte un bon contre-point à qui chercherait moins de bagnoles et plus de torgnoles.
Le Parisien
David Leich livre au final un film efficace, distrayant, qui séduira les amateurs du genre et rendra sourds les thuriféraires d'Ingmar Bergman.
Le Point
Malgré ces nombreux défauts, Fast & Furious : Hobbs & Shaw remplit son contrat de comédie d'action musclée tout en se démarquant de la franchise dont il s'inspire.
Les Fiches du Cinéma
Ce n’est qu’en embrassant sa crétinerie régressive et son entreprise de déréalisation que ce nouveau volet parvient à fasciner - quand il ne sidère pas.
Libération
Les deux modèles, l’ultrasouple Statham et le massif Johnson, se complètent bien dans la vanne et le style, équilibrant la testostérone avec un clin d’œil permanent sans l’assécher.
Paris Match
Les plus solides atouts de ce divertissement estival aussi sympathique que vite oublié sont toutefois à trouver dans sa distribution.
Télérama
Vannes bas du front et cascades ahurissantes — une dépanneuse contre un hélicoptère de combat —, par un réalisateur plus que rompu à l’exercice…
CinemaTeaser
Loin du caractère organique des scènes d’action de Mission : Impossible et plus encore de leur inventivité, loin de la virtuosité de Michael Bay, Hobbs & Shaw, comme en humour, choisit le passage en force, bruyamment et sans grand style.
L'Express
C'est fatigant. Et agaçant car avec un peu plus de boulot sur le scénario, le film serait largement présentable (qu'on pense à "Die Hard" par exemple). Mais non, la production s'en tient au strict minimum.
L'Humanité
Les spectateurs adeptes de vitesse, d'explosions et de combats y trouveront leur compte. Pour les autres, sérieux s’abstenir.
L'Obs
« Hobbs & Shaw » est ultra-bas de plafond, mais aussi bien marrant.
Le Dauphiné Libéré
Un spin-off, qui exploite la franchise “Fast and Furious”, et qui, en attendant le numéro 9, prévu pour l’an prochain, apporte sa dose annuelle d’effets spéciaux, de corps body-buildés, et d’action explosive. Sans surprise.
Le Monde
Le cynisme du projet est palpable. Notamment dans la désinvolture des scènes « psychologiques ». Pour le reste, il faut sans doute aimer les gigantesques cartoons que sont devenus ces films hollywoodiens infantiles construits sur les mêmes mécanismes déclinés à l’infini.
Mad Movies
Dans ses pires moments, autrement dit à chaque instant, "Hobbs & Shaw" marque la dégénérescence terminale du cinéma méta second degré coup de coude dans les côtés clin d'oeil-clin d'oeil.