Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Gala
par Jean-Christian Hay
Inspirée d’une histoire vraie et qui se poursuit encore devant la justice, "L’homme qu’on aimait trop" est passionnant. (...) On pourrait reprocher au film de ne pas prendre parti, mais Téchiné se contente d’exposer les faits, rien que les faits.
La critique complète est disponible sur le site Gala
TF1 News
par Olivier Corriez
Passionnant de bout en bout, le film peut compter sur des acteurs au top : Catherine Deneuve, Guillaume Canet et surtout Adèle Haenel, impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Elle
par Florence Ben Sadoun
(...) le nouveau film d'André Téchiné sur l'affaire Le Roux/Agnelet a la finesse de redessiner la trame de l'histoire d'amour qui précède le drame.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Franck Nouchi
Entre deux scènes assez classiques, Téchiné se laisse parfois aller à une écriture plus personnelle (...). Peut-être a-t-il choisi cette fois de s'effacer derrière ses deux actrices. On aurait mauvaise grâce de le lui reprocher.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
C'est un fait divers qui continue à défrayer la chronique (...). Le film d'André Téchiné bénéficie d'un casting prestigieux (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Si, à l’issue de ce film à la beauté secrète, on n’aura pas résolu le mystère qui unit ces deux amants maudits (...), on s’en sera du moins approché, au risque de s’y brûler.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Bien jouée, à défaut d'être passionnante, cette plongée dans les arcanes de cette célèbre affaire judiciaire piquera la curiosité de ceux qui l'ont suivie.
Voici
par Lola Sciamma
Téchiné tire un beau portrait de femme perdue par amour, en utilisant le feuilleton judiciaire comme toile de fond.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Cette ambivalence troublante se perd malheureusement au fil du film, notamment dans une malheureuse reconstitution du procès de Maurice Agnelet, « bégayant » de façon très banale la première moitié du film et les ressorts d’une histoire déjà étalée dans les journaux.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Tout est d’une précision folle mais malheureusement, engoncé voire figé dans un cinéma un poil vieillot et des dialogues trop écrits.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Catherine Deneuve est une fois de plus époustouflante de vérité dans un rôle parfaitement à sa mesure.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
À Nice, au milieu des années 1970, Agnès Le Roux, dont la mère possède le casino du Palais de la Méditerranée, vit une liaison amoureuse avec l’avocat de sa mère, Maurice Agnelet. Sa disparition déclenche une affaire judiciaire qu’André Téchiné raconte méticuleusement, mais sans grande originalité.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
(...) le film de Téchiné assume sa mise en scène classique, un brin décevante.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Si Canet (...) incarne assez bien la transparence trouble, il y a quelques soucis de rythme, un peu défaillant. A force de ne pas vouloir trancher, de laisser le spectateur face au mystère des personnages et de leurs mobiles, Téchiné en vient souvent aussi à se contenter d'illustrer.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Téchiné tire le portrait d'une femme avide d'amour, joliment porté par Adèle Haenel. Mais il rate le contexte (la guerre des casinos) et ne fait qu'effleurer les autres personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Guy Konopknicki
Choisissant de privilégier le roman familial, André Téchiné signe un formidable film d'acteur. Mais l'affrontement psychologique rend le récit criminel indéchiffrable.
Metro
par Marilyne Letertre
Ce fait divers et ce combat, André Téchiné les transpose dans un drame familial et passionnel, inégal mais solidement incarné par Catherine Deneuve et Guillaume Canet.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Vincent Thabourey
Les faits se suivent, sans heurts, mollement, dans un confort de réalisation qui laisse pantois. Aucun trouble, ni aucune angoisse ne ponctuent le récit (...) L'ensemble reste poli, à peine mis en danger par le jeu sensible d'Adèle Haenel. Tout comme l'affaire qu'il décrit, ce film restera à jamais une énigme.
Première
par Isabelle Danel
Téchiné rate les à-côtés (le faste d’un monde en perdition) et, malgré l’énergie de Deneuve, ne parvient pas à faire exister cette femme d’affaires flouée doublée d’une mère éplorée. Mais il réussit le portrait d’une jeune femme des années 70.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Une semi-réussite.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
A hésiter entre divers points de vue - l'affaire, Agnès, le deuil impossible de Renée -, cette oeuvre au noir, plus que fréquentable, manque de peu la dimension qu'elle aurait pu atteindre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
S’il est fidèle aux écrits de Renée Le Roux, Téchiné préfère distiller une tension dramatique nous permettant d’interpréter à notre guise certains propos (...) On pourra malgré tout préférer le Téchiné qui se lance dans des projets plus risqués et novateurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) le sentiment d’un film morcelé, sans souffle ni réel point de vue, frisant dangereusement l’académisme télévisuel par moments.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
"L'homme qu'on aimait trop" déçoit. Les décors opulents et l'affiche de prestige ne peuvent effacer le manque d'intensité de cette œuvre qui frise parfois le grotesque (...). Au final, le spectateur se sent peu concerné par le récit, qui ne sublime en rien le retentissant réel dont il se nourrit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Clément Ghys
Trop ancré dans un réel, par définition emmêlé, "l’Homme qu’on aimait trop" se perd dans les ellipses et dans une description, malheureusement trop rapide et classique, de l’esthétique artificielle de la Côte d’Azur. (...) Mais ce qui frappe, ici encore, c’est la force du regard que le cinéaste porte à ses comédiens (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Guillaume Canet, maladroitement grimé, frôle le ridicule. Appelée à la barre, Deneuve n'évoque plus Darrieux, mais la Gaby Morlay du célèbre mélo Le Voile bleu. Même les mouvements de caméra se figent. Comme si Téchiné se fichait de l'intrigue, dès lors qu'Agnès Le Roux était morte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Gala
Inspirée d’une histoire vraie et qui se poursuit encore devant la justice, "L’homme qu’on aimait trop" est passionnant. (...) On pourrait reprocher au film de ne pas prendre parti, mais Téchiné se contente d’exposer les faits, rien que les faits.
TF1 News
Passionnant de bout en bout, le film peut compter sur des acteurs au top : Catherine Deneuve, Guillaume Canet et surtout Adèle Haenel, impressionnante.
Elle
(...) le nouveau film d'André Téchiné sur l'affaire Le Roux/Agnelet a la finesse de redessiner la trame de l'histoire d'amour qui précède le drame.
Le Monde
Entre deux scènes assez classiques, Téchiné se laisse parfois aller à une écriture plus personnelle (...). Peut-être a-t-il choisi cette fois de s'effacer derrière ses deux actrices. On aurait mauvaise grâce de le lui reprocher.
Le Parisien
C'est un fait divers qui continue à défrayer la chronique (...). Le film d'André Téchiné bénéficie d'un casting prestigieux (...).
Les Inrockuptibles
Si, à l’issue de ce film à la beauté secrète, on n’aura pas résolu le mystère qui unit ces deux amants maudits (...), on s’en sera du moins approché, au risque de s’y brûler.
Télé 7 Jours
Bien jouée, à défaut d'être passionnante, cette plongée dans les arcanes de cette célèbre affaire judiciaire piquera la curiosité de ceux qui l'ont suivie.
Voici
Téchiné tire un beau portrait de femme perdue par amour, en utilisant le feuilleton judiciaire comme toile de fond.
Cahiers du Cinéma
Cette ambivalence troublante se perd malheureusement au fil du film, notamment dans une malheureuse reconstitution du procès de Maurice Agnelet, « bégayant » de façon très banale la première moitié du film et les ressorts d’une histoire déjà étalée dans les journaux.
CinemaTeaser
Tout est d’une précision folle mais malheureusement, engoncé voire figé dans un cinéma un poil vieillot et des dialogues trop écrits.
Franceinfo Culture
Catherine Deneuve est une fois de plus époustouflante de vérité dans un rôle parfaitement à sa mesure.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Dauphiné Libéré
À Nice, au milieu des années 1970, Agnès Le Roux, dont la mère possède le casino du Palais de la Méditerranée, vit une liaison amoureuse avec l’avocat de sa mère, Maurice Agnelet. Sa disparition déclenche une affaire judiciaire qu’André Téchiné raconte méticuleusement, mais sans grande originalité.
Le Journal du Dimanche
(...) le film de Téchiné assume sa mise en scène classique, un brin décevante.
Le Point
Si Canet (...) incarne assez bien la transparence trouble, il y a quelques soucis de rythme, un peu défaillant. A force de ne pas vouloir trancher, de laisser le spectateur face au mystère des personnages et de leurs mobiles, Téchiné en vient souvent aussi à se contenter d'illustrer.
Les Fiches du Cinéma
Téchiné tire le portrait d'une femme avide d'amour, joliment porté par Adèle Haenel. Mais il rate le contexte (la guerre des casinos) et ne fait qu'effleurer les autres personnages.
Marianne
Choisissant de privilégier le roman familial, André Téchiné signe un formidable film d'acteur. Mais l'affrontement psychologique rend le récit criminel indéchiffrable.
Metro
Ce fait divers et ce combat, André Téchiné les transpose dans un drame familial et passionnel, inégal mais solidement incarné par Catherine Deneuve et Guillaume Canet.
Positif
Les faits se suivent, sans heurts, mollement, dans un confort de réalisation qui laisse pantois. Aucun trouble, ni aucune angoisse ne ponctuent le récit (...) L'ensemble reste poli, à peine mis en danger par le jeu sensible d'Adèle Haenel. Tout comme l'affaire qu'il décrit, ce film restera à jamais une énigme.
Première
Téchiné rate les à-côtés (le faste d’un monde en perdition) et, malgré l’énergie de Deneuve, ne parvient pas à faire exister cette femme d’affaires flouée doublée d’une mère éplorée. Mais il réussit le portrait d’une jeune femme des années 70.
Studio Ciné Live
Une semi-réussite.
TéléCinéObs
A hésiter entre divers points de vue - l'affaire, Agnès, le deuil impossible de Renée -, cette oeuvre au noir, plus que fréquentable, manque de peu la dimension qu'elle aurait pu atteindre.
aVoir-aLire.com
S’il est fidèle aux écrits de Renée Le Roux, Téchiné préfère distiller une tension dramatique nous permettant d’interpréter à notre guise certains propos (...) On pourra malgré tout préférer le Téchiné qui se lance dans des projets plus risqués et novateurs.
Critikat.com
(...) le sentiment d’un film morcelé, sans souffle ni réel point de vue, frisant dangereusement l’académisme télévisuel par moments.
La Croix
"L'homme qu'on aimait trop" déçoit. Les décors opulents et l'affiche de prestige ne peuvent effacer le manque d'intensité de cette œuvre qui frise parfois le grotesque (...). Au final, le spectateur se sent peu concerné par le récit, qui ne sublime en rien le retentissant réel dont il se nourrit.
Libération
Trop ancré dans un réel, par définition emmêlé, "l’Homme qu’on aimait trop" se perd dans les ellipses et dans une description, malheureusement trop rapide et classique, de l’esthétique artificielle de la Côte d’Azur. (...) Mais ce qui frappe, ici encore, c’est la force du regard que le cinéaste porte à ses comédiens (...).
Télérama
Guillaume Canet, maladroitement grimé, frôle le ridicule. Appelée à la barre, Deneuve n'évoque plus Darrieux, mais la Gaby Morlay du célèbre mélo Le Voile bleu. Même les mouvements de caméra se figent. Comme si Téchiné se fichait de l'intrigue, dès lors qu'Agnès Le Roux était morte.
La Voix du Nord
Un film répulsif qui sent le moisi (...).