Eka et Natia, Chronique d'une jeunesse georgienne : Critique presse
Eka et Natia, Chronique d'une jeunesse georgienne
Note moyenne
3,4
11 titres de presse
Libération
Positif
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Paris Match
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par Gérard Lefort
Une image somptueuse, signée Oleg Mutu, et surtout deux merveilles d’actrices débutantes recrutées à Tbilissi : Lika Babluani (Eta) et Mariam Bokeria (Natia). Leur grâce est d’être belles et rebelles, comme si de rien n’était.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
On admire la précision de la mise en scène, le sens du rythme, la sûreté de la composition, le réalisme des détails, la justesse des situations (...) Un bémol cependant : il est dommage que (...) le film quitte le ton de la chronique pour celui du drame policier.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
La coréalisatrice géorgienne Nana Ekvtimishvili, qui signe ici un premier long éblouissant, a puisé dans ses propres souvenirs pour nourrir cette formidable chronique au scénario aussi ténu que sa mise en scène est brillante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Estelle Charles
Avec finesse et radicalité, "Eka et Natia" retrace la violence, littérale et figurée, d’une société géorgienne en perdition. Profond et touchant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Mathieu Macheret
Il serait dommage de passer à côté de ce premier long métrage géorgien, inabouti mais prometteur.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film se déroule un peu trop sagement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Dans une Géorgie malade, le destin d'Eka et Natia va se dévoiler, au fil d'une mise en scène judicieuse -à défaut d'être étonnante- qui révèle le talent des deux actrices.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Si le scénario est très scolaire et donc assez prévisible, le charme des deux interprètes et la qualité de la mise en scène (...) emportent vite l’adhésion, d’autant que l’on ne souvient pas avoir vu un film georgien aussi baigné de lumière.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Damien Leblanc
En narrant le parcours de leurs héroïnes sur un rythme monocorde, les cinéastes rendent étrangement froide cette lutte contre la domination masculine et le déterminisme familial. Le salut vient alors des quelques séquences de fête qui proposent une atmosphère plus vibrante et font apprécier à sa juste valeur la photographie d’Oleg Mutu
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette chronique fourmille de détails vrais, apportés par la scénariste Nana Ekvtimishvili (coréalisatrice avec Simon Gros), qui s'inspire de ses propres souvenirs. Mais la minutie de l'observation finit par limiter le registre du film : juste, sensible, et pourtant un peu trop appliqué pour donner au destin des deux héroïnes une véritable ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
Une image somptueuse, signée Oleg Mutu, et surtout deux merveilles d’actrices débutantes recrutées à Tbilissi : Lika Babluani (Eta) et Mariam Bokeria (Natia). Leur grâce est d’être belles et rebelles, comme si de rien n’était.
Positif
On admire la précision de la mise en scène, le sens du rythme, la sûreté de la composition, le réalisme des détails, la justesse des situations (...) Un bémol cependant : il est dommage que (...) le film quitte le ton de la chronique pour celui du drame policier.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
La coréalisatrice géorgienne Nana Ekvtimishvili, qui signe ici un premier long éblouissant, a puisé dans ses propres souvenirs pour nourrir cette formidable chronique au scénario aussi ténu que sa mise en scène est brillante.
aVoir-aLire.com
Avec finesse et radicalité, "Eka et Natia" retrace la violence, littérale et figurée, d’une société géorgienne en perdition. Profond et touchant.
Cahiers du Cinéma
Il serait dommage de passer à côté de ce premier long métrage géorgien, inabouti mais prometteur.
Le Monde
Le film se déroule un peu trop sagement.
Les Fiches du Cinéma
Dans une Géorgie malade, le destin d'Eka et Natia va se dévoiler, au fil d'une mise en scène judicieuse -à défaut d'être étonnante- qui révèle le talent des deux actrices.
Paris Match
Si le scénario est très scolaire et donc assez prévisible, le charme des deux interprètes et la qualité de la mise en scène (...) emportent vite l’adhésion, d’autant que l’on ne souvient pas avoir vu un film georgien aussi baigné de lumière.
Première
En narrant le parcours de leurs héroïnes sur un rythme monocorde, les cinéastes rendent étrangement froide cette lutte contre la domination masculine et le déterminisme familial. Le salut vient alors des quelques séquences de fête qui proposent une atmosphère plus vibrante et font apprécier à sa juste valeur la photographie d’Oleg Mutu
Télérama
Cette chronique fourmille de détails vrais, apportés par la scénariste Nana Ekvtimishvili (coréalisatrice avec Simon Gros), qui s'inspire de ses propres souvenirs. Mais la minutie de l'observation finit par limiter le registre du film : juste, sensible, et pourtant un peu trop appliqué pour donner au destin des deux héroïnes une véritable ampleur.