Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La composition de Grégory Gadebois dans le nouveau film de François Dupeyron est une des plus extraordinaires que l'on ait vues depuis des années. (...) Oeuvre d'un cinéaste dont une des qualités premières, la singularité, est des plus rares dans la production française.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Elle
par Florence Ben Sadoun
Grégory Gadebois, aussi troublant dans ses moments de faille que dans ses accès de colère. Autour de lui gravitent des acteurs bouillonnant de la même énergie et qui réussissent à emporter le spectateur dans cette histoire fantastique qui ne l’est peut-être pas…
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
Dupeyron impose un univers très original, énigmatique et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le naturel des situations est (...) confronté à l'émouvant récit d'une rédemption tout autant qu'à une sorte de conte de fées vériste. Cette hybridation au dosage subtil fait toute la singularité du nouveau long-métrage de François Dupeyron.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Gadebois, idéal pour ce rôle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Pas parfait mais attachant par sa liberté de ton et de fond, "Mon âme par toi guérie" se révèle une fable sombre de notre ère de crise, un blues poisseux où pointe un peu de lumière - mais pas trop.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
L'acteur Grégory Gadebois, au-delà du sensationnel dans sa façon de jouer qu'il ne joue pas. (...) Un modèle de tendresse humaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
(...) une histoire forte et sensible qui se nourrit d'irrationnel et de fantastique pour transcender les contingences du réel. Ce guérisseur qui longtemps se refuse à lui-même a la présence massive de Gregory Gadebois. Formidable de tranquille assurance (...).
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Lyrisme, lumière hivernale, humanité servent ce film ultrasensible tourné avec les habitants de Fréjus et sur les motos qu’aime tant Grégory Gadebois (magistral de bout en bout et figure de plus en plus affirmée du cinéma français).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Pierre Murat
Massif, taiseux (Grégory Gadebois, sublime), Frédi ressemble aux héros tragiques des films noirs hollywoodiens — Robert Mitchum, John Garfield —, souhaitant vivre en paix, mais toujours rattrapés par le destin (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...) un film vibrant d’humanité, porté par le talent de Céline Sallette, Grégory Gadebois et Jean-Pierre Darroussin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Alors oui, le film mériterait d'être resserré ; oui, la bande-son est à la limite de l'agression, mais quelles superbes pépites d'humanité chez ces cabossés de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Eric Vernay
Parfois surlignées, (...) les étouffantes intentions réalistico-poétiques de Dupeyron sont heureusement oxygénées par un casting riche en bagout et en trognes (...).
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Avec cette fable moderne, Dupeyron ("La Chambre des officiers") procède par petites touches, entrelaçant réalisme et poésie.
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
" Mon âme par toi guérie " est d’une épaisseur et d’une pénibilité sans égale. Cela n’en fait pas un mauvais film, mais plutôt le témoignage d’une époque qui vibre au diapason du monde.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Dupeyron est passé du physique à la métaphysique et s’est donc confronté à un vieux problème : filmer l’invisible. Pour graviter dans ces hautes sphères, le moins que l’on puisse dire est qu’il manque d’oxygène.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Avec la lourdeur et la quête d’un symbolisme excessif qui caractérisent la majeure partie de son cinéma, François Dupeyron semble chercher une stylisation dans le seul but de se démarquer du tout-venant, sans vraiment se soucier de sa pleine cohérence et surtout de sa justification.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
La composition de Grégory Gadebois dans le nouveau film de François Dupeyron est une des plus extraordinaires que l'on ait vues depuis des années. (...) Oeuvre d'un cinéaste dont une des qualités premières, la singularité, est des plus rares dans la production française.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site Studio Ciné Live.
Elle
Grégory Gadebois, aussi troublant dans ses moments de faille que dans ses accès de colère. Autour de lui gravitent des acteurs bouillonnant de la même énergie et qui réussissent à emporter le spectateur dans cette histoire fantastique qui ne l’est peut-être pas…
Le Figaroscope
Dupeyron impose un univers très original, énigmatique et attachant.
Le Monde
Le naturel des situations est (...) confronté à l'émouvant récit d'une rédemption tout autant qu'à une sorte de conte de fées vériste. Cette hybridation au dosage subtil fait toute la singularité du nouveau long-métrage de François Dupeyron.
Le Parisien
Gadebois, idéal pour ce rôle.
Les Inrockuptibles
Pas parfait mais attachant par sa liberté de ton et de fond, "Mon âme par toi guérie" se révèle une fable sombre de notre ère de crise, un blues poisseux où pointe un peu de lumière - mais pas trop.
Libération
L'acteur Grégory Gadebois, au-delà du sensationnel dans sa façon de jouer qu'il ne joue pas. (...) Un modèle de tendresse humaine.
Ouest France
(...) une histoire forte et sensible qui se nourrit d'irrationnel et de fantastique pour transcender les contingences du réel. Ce guérisseur qui longtemps se refuse à lui-même a la présence massive de Gregory Gadebois. Formidable de tranquille assurance (...).
TéléCinéObs
Lyrisme, lumière hivernale, humanité servent ce film ultrasensible tourné avec les habitants de Fréjus et sur les motos qu’aime tant Grégory Gadebois (magistral de bout en bout et figure de plus en plus affirmée du cinéma français).
Télérama
Massif, taiseux (Grégory Gadebois, sublime), Frédi ressemble aux héros tragiques des films noirs hollywoodiens — Robert Mitchum, John Garfield —, souhaitant vivre en paix, mais toujours rattrapés par le destin (...).
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
(...) un film vibrant d’humanité, porté par le talent de Céline Sallette, Grégory Gadebois et Jean-Pierre Darroussin.
Le Journal du Dimanche
Alors oui, le film mériterait d'être resserré ; oui, la bande-son est à la limite de l'agression, mais quelles superbes pépites d'humanité chez ces cabossés de la vie.
Première
Parfois surlignées, (...) les étouffantes intentions réalistico-poétiques de Dupeyron sont heureusement oxygénées par un casting riche en bagout et en trognes (...).
Télé 7 Jours
Avec cette fable moderne, Dupeyron ("La Chambre des officiers") procède par petites touches, entrelaçant réalisme et poésie.
aVoir-aLire.com
" Mon âme par toi guérie " est d’une épaisseur et d’une pénibilité sans égale. Cela n’en fait pas un mauvais film, mais plutôt le témoignage d’une époque qui vibre au diapason du monde.
Cahiers du Cinéma
Dupeyron est passé du physique à la métaphysique et s’est donc confronté à un vieux problème : filmer l’invisible. Pour graviter dans ces hautes sphères, le moins que l’on puisse dire est qu’il manque d’oxygène.
Critikat.com
Avec la lourdeur et la quête d’un symbolisme excessif qui caractérisent la majeure partie de son cinéma, François Dupeyron semble chercher une stylisation dans le seul but de se démarquer du tout-venant, sans vraiment se soucier de sa pleine cohérence et surtout de sa justification.