Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
Pierre Niney, sidérant dans le rôle du couturier, et Guillaume Gallienne, parfait d'autorité charismatique dans celui du compagnon.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Le film se regarde comme on feuillette les pages d'un magazine people riche en photographies. Avec une part de voyeurisme coupable. Sans s'attarder.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Il (le réalisateur) a beau ne pas faire l'impasse sur la déchéance du couturier, il manque une pointe d'émotion. Qui n'empêche pourtant pas le film de rester fluide et élégant comme un vêtement de Saint Laurent.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Le film repose essentiellement sur la double présence de Niney et de Gallienne (Bergé), qui font revivre de façon touchante la relation très complémentaire entre le génie et le roc. Notons que Pierre Bergé, qui a souhaité le film, n'est pas allé contre certains voiles levés. Le film y gagne en force et en sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Mehdi Omais
Bien plus qu'un bon film sur la mode, on tient là une poignante histoire d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Christophe Narbonne
De cette histoire d'amour fou qui tourne au mariage de raison, Lespert aurait pu tirer une oeuvre fiévreuse et inoubliable. C'est juste sincère et divertissant.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marie-Elisabeth Rouchy
Il y a, dans son long-métrage, un côté petite madeleine, tantôt nature et tantôt pimentée au LSD – ces petits buvards qui circulaient dans les soirées des seventies. Un parfum d’enfance.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Jalil Lespert est visiblement inspiré par son sujet, soignant sa reconstitution et servi par des acteurs qui rendent un vibrant hommage à une personnalité complexe, révolutionnaire de l’univers de la haute-couture et de la mode.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Sabine Gignoux
Le film vaut surtout pour la prestation de deux acteurs remarquables de la Comédie-Française. (...) Ceux qui s'intéressent à la mode risquent cependant de rester sur leur faim (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Franck Nouchi
"Yves Saint Laurent" ne parvient malheureusement pas à en rendre compte [d'une révolution artistique et sociologique], se contentant de ramener la vie du couturier à une simple histoire, un album que l'on feuillette. Le film [...] ne suggère en définitive pas grand-chose. Reste Pierre Niney. Plus qu'il ne le joue, il est Saint Laurent. Epoustouflant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sur le contenu, la première partie est véritablement captivante par son côté mécanique de précision. La seconde, en revanche, en dépit d’une ou deux scènes très réussies, perd en intensité. Comme si on passait un peu du fil rouge au fil blanc.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Jalil Lespert revisite la vie de Saint Laurent à travers l'évocation flamboyante de cinquante ans de création et de passion, mais aussi de tourments et d'excès. Du bel ouvrage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le côté sage, scolaire du film, sa modestie aussi en un sens, risque de surprendre les spectateurs, et on sent du côté du cinéaste et dans la performance mimétique bluffante de l’acteur Pierre Niney pour le rôle-titre une inclination particulière pour le Saint Laurent introverti, précautionneux, le «séminariste» encore enfermé dans sa coquille.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Les zones d'ombre — les addictions multiples d'Yves Saint Laurent — sont effleurées, mais assez pour entretenir le trouble. (...) cette honnête introduction à une histoire complexe et unique attise la fascination.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jean-Claude Arrougé
Les deux comédiens Pierre Niney et Guillaume Gallienne sont absolument remarquables. C’est avec une totale sincérité qu’ils incarnent ces deux grands hommes que sont Yves Saint Laurent et Pierre Bergé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Si cette exploration psychologique du grand couturier possède incontestablement un mérite informatif, elle laisse rapidement place à l'expression d'un narrateur dictatorial, quasi-narcissique, qui compromet largement la présence du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
En l'état, "Yves Saint Laurent" est un produit de son temps, calibré, soigné, un bel objet d'une totale insignifiance. L'élégance formelle et les performances d’acteurs sauvent partiellement ce film superficiel.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
C’est ainsi que la relation entre Bergé et Saint Laurent se voit résumée par le premier en cette phrase consensuelle : “Ma seule faute fut d’avoir trop voulu le protéger.” Un désir de protection légitime pour un amant. Moins pour un cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film raconte l’histoire d’un homme très doué dans son domaine, mais un peu dépressif sur les bords. Ça arrive aussi dans d’autres corps de métier, chez les électriciens ou les chocolatiers, on n’en fait pas des films pour autant.
Positif
par Nicolas Bauche
La loi du genre (...) limite le film à un pantomime : l'imitation bluffe, étourdit, mais une copie reste une copie. Ce portrait en pied manque cruellement d'épaisseur et de point de vue (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
Pierre Niney, sidérant dans le rôle du couturier, et Guillaume Gallienne, parfait d'autorité charismatique dans celui du compagnon.
Le Figaroscope
Le film se regarde comme on feuillette les pages d'un magazine people riche en photographies. Avec une part de voyeurisme coupable. Sans s'attarder.
Le Journal du Dimanche
Il (le réalisateur) a beau ne pas faire l'impasse sur la déchéance du couturier, il manque une pointe d'émotion. Qui n'empêche pourtant pas le film de rester fluide et élégant comme un vêtement de Saint Laurent.
Le Point
Le film repose essentiellement sur la double présence de Niney et de Gallienne (Bergé), qui font revivre de façon touchante la relation très complémentaire entre le génie et le roc. Notons que Pierre Bergé, qui a souhaité le film, n'est pas allé contre certains voiles levés. Le film y gagne en force et en sincérité.
Metro
Bien plus qu'un bon film sur la mode, on tient là une poignante histoire d'amour.
Première
De cette histoire d'amour fou qui tourne au mariage de raison, Lespert aurait pu tirer une oeuvre fiévreuse et inoubliable. C'est juste sincère et divertissant.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Il y a, dans son long-métrage, un côté petite madeleine, tantôt nature et tantôt pimentée au LSD – ces petits buvards qui circulaient dans les soirées des seventies. Un parfum d’enfance.
Franceinfo Culture
Jalil Lespert est visiblement inspiré par son sujet, soignant sa reconstitution et servi par des acteurs qui rendent un vibrant hommage à une personnalité complexe, révolutionnaire de l’univers de la haute-couture et de la mode.
La Croix
Le film vaut surtout pour la prestation de deux acteurs remarquables de la Comédie-Française. (...) Ceux qui s'intéressent à la mode risquent cependant de rester sur leur faim (...).
Le Monde
"Yves Saint Laurent" ne parvient malheureusement pas à en rendre compte [d'une révolution artistique et sociologique], se contentant de ramener la vie du couturier à une simple histoire, un album que l'on feuillette. Le film [...] ne suggère en définitive pas grand-chose. Reste Pierre Niney. Plus qu'il ne le joue, il est Saint Laurent. Epoustouflant.
Le Parisien
Sur le contenu, la première partie est véritablement captivante par son côté mécanique de précision. La seconde, en revanche, en dépit d’une ou deux scènes très réussies, perd en intensité. Comme si on passait un peu du fil rouge au fil blanc.
Les Fiches du Cinéma
Jalil Lespert revisite la vie de Saint Laurent à travers l'évocation flamboyante de cinquante ans de création et de passion, mais aussi de tourments et d'excès. Du bel ouvrage.
Libération
Le côté sage, scolaire du film, sa modestie aussi en un sens, risque de surprendre les spectateurs, et on sent du côté du cinéaste et dans la performance mimétique bluffante de l’acteur Pierre Niney pour le rôle-titre une inclination particulière pour le Saint Laurent introverti, précautionneux, le «séminariste» encore enfermé dans sa coquille.
Télérama
Les zones d'ombre — les addictions multiples d'Yves Saint Laurent — sont effleurées, mais assez pour entretenir le trouble. (...) cette honnête introduction à une histoire complexe et unique attise la fascination.
aVoir-aLire.com
Les deux comédiens Pierre Niney et Guillaume Gallienne sont absolument remarquables. C’est avec une totale sincérité qu’ils incarnent ces deux grands hommes que sont Yves Saint Laurent et Pierre Bergé.
Critikat.com
Si cette exploration psychologique du grand couturier possède incontestablement un mérite informatif, elle laisse rapidement place à l'expression d'un narrateur dictatorial, quasi-narcissique, qui compromet largement la présence du cinéaste.
Ecran Large
En l'état, "Yves Saint Laurent" est un produit de son temps, calibré, soigné, un bel objet d'une totale insignifiance. L'élégance formelle et les performances d’acteurs sauvent partiellement ce film superficiel.
L'Express
Voir le site L'Express
Les Inrockuptibles
C’est ainsi que la relation entre Bergé et Saint Laurent se voit résumée par le premier en cette phrase consensuelle : “Ma seule faute fut d’avoir trop voulu le protéger.” Un désir de protection légitime pour un amant. Moins pour un cinéaste.
Cahiers du Cinéma
Le film raconte l’histoire d’un homme très doué dans son domaine, mais un peu dépressif sur les bords. Ça arrive aussi dans d’autres corps de métier, chez les électriciens ou les chocolatiers, on n’en fait pas des films pour autant.
Positif
La loi du genre (...) limite le film à un pantomime : l'imitation bluffe, étourdit, mais une copie reste une copie. Ce portrait en pied manque cruellement d'épaisseur et de point de vue (...).