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En transformant un paysage de désolation en vrai terrain de jeu comme en catalyseur d’amitié, David Gordon Green retrouve enfin, grâce à cette yellow brick road des forêts texanes, la voie de son inspiration qu’on avait craint envolée.
Le jeune cinéaste a amorcé cette année un inespéré retour aux sources (...) où son cinéma renoue avec un souffle que l’on lui croyait perdu. "Prince of Texas" rassemble les fils épars de son œuvre en un très gracieux écheveau de rêveries pastorales et de comédie douce-amère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Dans un registre rural et intimiste qui lui convient mieux que la comédie grasse ("Votre Majesté"), David Gordon Green retrouve la forme avec ce film juste et drôle sur deux personnages en quête d'eux-mêmes.
Outre l'idée originale du scénario, le duo fonctionne comme il se doit, et le road movie charrie son lot de belles images. (...) Malheureusement (...), les effets de style incessants et la bande son envahissante finissent par donner à ce film de plein air des allures de huis clos à ciel ouvert, étouffant son beau duo de départ.
Cette romance existentielle distille un charme cotonneux, mais n’évite pas les clichés du ciné indépendant US, avec ses héros bizarroïdes, ses paysages somptueux, sa petite musique mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Démonstratif, "Prince of Texas" se perd en une narration trop linéaire dont les nombreuses digressions ne font qu’alourdir un rythme qui peine déjà à accélérer.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charme tranquille et fable s’oublient donc vite avec ce "Prince of Texas" qui semble coincé dans un autre temps, coincé entre deux choix cinématographiques impossibles à fusionner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
En transformant un paysage de désolation en vrai terrain de jeu comme en catalyseur d’amitié, David Gordon Green retrouve enfin, grâce à cette yellow brick road des forêts texanes, la voie de son inspiration qu’on avait craint envolée.
Le Monde
Un petit miracle.
Les Inrockuptibles
Un touchant buddy-movie en forme de ballade folk.
CinemaTeaser
L'histoire poétique, envoûtante et franchement étrange d'une renaissance en pleine nature.
Libération
Le jeune cinéaste a amorcé cette année un inespéré retour aux sources (...) où son cinéma renoue avec un souffle que l’on lui croyait perdu. "Prince of Texas" rassemble les fils épars de son œuvre en un très gracieux écheveau de rêveries pastorales et de comédie douce-amère.
Positif
De bon ton, le minimalisme de David Gordon Green fonctionne, comme son nom l'indique a minima ; on a l'impression qu'il s'en contente.
Première
Dans un registre rural et intimiste qui lui convient mieux que la comédie grasse ("Votre Majesté"), David Gordon Green retrouve la forme avec ce film juste et drôle sur deux personnages en quête d'eux-mêmes.
Télérama
Dialogues rares, mais ciselés. Rythme contemplatif, qui permet au réalisateur de s'autoriser des pauses, des digressions (...)
Les Fiches du Cinéma
Deux losers, des riens qui en disent long, des plans léchés : le nouveau David Gordon Green plaira ou ennuiera, mais ne surprendra personne.
Paris Match
Le spleen-movie de l'automne, film délicat à voir et à écouter. (...) Il manque juste un je-ne-sais-quoi pour nous toucher durablement.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
Outre l'idée originale du scénario, le duo fonctionne comme il se doit, et le road movie charrie son lot de belles images. (...) Malheureusement (...), les effets de style incessants et la bande son envahissante finissent par donner à ce film de plein air des allures de huis clos à ciel ouvert, étouffant son beau duo de départ.
TéléCinéObs
Cette romance existentielle distille un charme cotonneux, mais n’évite pas les clichés du ciné indépendant US, avec ses héros bizarroïdes, ses paysages somptueux, sa petite musique mélancolique.
aVoir-aLire.com
Démonstratif, "Prince of Texas" se perd en une narration trop linéaire dont les nombreuses digressions ne font qu’alourdir un rythme qui peine déjà à accélérer.
Critikat.com
Charme tranquille et fable s’oublient donc vite avec ce "Prince of Texas" qui semble coincé dans un autre temps, coincé entre deux choix cinématographiques impossibles à fusionner.
Le Journal du Dimanche
Leurs errances et le rythme contemplatif de la fable nous laissent un peu sur le bord du chemin.
TF1 News
Le seul problème, c'est qu'à aucun moment, David Gordon Green se surpasse ou même surprend.