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PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
322 abonnés
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4,5
Publiée le 5 août 2016
Le Monde ne suffit pas est l'un des opus les plus marquants de la saga, et pour cause. Un casting consécration, bien à l'image de Bond, et de ce que la franchise nous propose depuis ses débuts. L'ère "Brosnaniènne" dans toute sa splendeur, où chaque nouvel opus sera plus attractif encore que son prédécesseur. Une chose est sûre, l'acteur y aura consacré de son talent et de son énergie pour nous en mettre plein les mirettes et nous émerveiller d'un spectacle explosif. On retrouve ici la Bond Girl la plus sensuelle de l'histoire de la saga: Sophie Marceau, femme fatale venimeuse par excellence. Le genre de femme auprès desquelles l'agent double 0 y laisse trop souvent des plumes, au péril de sa vie. Entre un jeu de charme diabolique, et un ennemi redoutable, immunisé contre la douleur, mieux vaut garder la tête sur les épaules et redoubler d'ingéniosité. Mais c'est à travers un périlleux cheminement d'embûches qu'il déjouera un autre plan machiavélique. Aidé accessoirement par la ravissante Denise Richards, à toute allure dans un réseau de pipeline à pétrole. L'action est au rendez-vous d'un divertissement de premier choix, sans aucun temps mort, et avec la bonne dose d'humour british qui colle parfaitement au personnage. 19ème chassé croisé mémorable pour ce phénomène intergénérationnel. 4,5/5
Après l’archétypal mais exemplaire Demain ne meurt Jamais, les producteurs choisirent Michael Apted pour réaliser le dix-neuvième opus de la saga, Le Monde ne suffit pas, avec deux changements importants et non négligeables dans la franchise.
Tout d’abord, c’est le dernier James Bond qui utilise Desmond Llewellyn, véritable âme de la franchise dans le rôle de Q. Sa dernière scène est d’ailleurs fabuleuse, avec sans doute l’acteur avec qui il avait la meilleure alchimie, Pierce Brosnan. Ce dernier continue d’interpréter Bond avec un tel aplomb et talent qu’il est largement éligible comme meilleur Bond de l’histoire de nos jours. Le deuxième changement, c’est la première fois qu’on voit une James Bond Girl comme Némésis principale de notre héros. En effet, Sophie Marceau (d’une fadeur horrifiante) est la première lead villain féminine de la saga, aidé de l’excellent Robert Carlyle dans ce film. La première heure du film donne raison aux choix des producteurs, tant elle est excellente, avec un pré-générique fantastique de 14 minutes, le plus long de la franchise. Malheureusement, c’est dans la deuxième heure, avec cette intrigue bien trop compliquée et finalement assez inintéressante pour pas grand-chose, Denise Richards est une James Bond Girl médiocre et le film manque clairement de seconds rôles intéressants. La chanson-titre est d’ailleurs un véritable manqué, après une période excellente point de vue musical, depuis A View to a Kill et ce générique génial de Duran Duran.
Le Monde ne suffit pas souffre d’un trop plein gênant pour la vraie qualité du film, mais il est impensable de le compter comme un mauvais film tant il y a des éléments intéressants dans ce métrage. Un bon cru, mais clairement moins bon que le précédent.
Un assez bonbon ! Enfin,je veux dire un assez bon James Bond ! Pierce Brosnan joue juste, tout comme Sophie Marceau dans son rôle (mais chut, je n'en dirai pas plus). Le scénario et le suspens sont solides, et les "méchants" ont de la gueule, comme on dit... En parlant de méchant, Robert Carlyle est méconnaissable en Renard ! Je n'ai réalisé que c'était lui qu'au générique de fin, et pourtant, cet acteur est reconnaissable ! Lorsqu'il a des cheveux...
Un James Bond haletant. Un gros film d'action toujours porté par le charismatique Pierce Brosnan. Robert Carlyle est bluffant en méchant qui ne ressent rien et Sophie Marceau est excellente (et impitoyable) en James Bond Girl. Sans oublier un Robbie Coltrane hilarant. Seul bémol.. Le jeu moisi de Denise Richard qui, certes, à un beau physique mais clairement pas un grand talent d'actrice.
Un pré-générique sur la Tamise qui annonce du lourd mais qui ne sera jamais confirmé par la suite. Pierce Brosnan en mode protection rapprochée pour ce qui s’avère être son Bond le moins délectable, tant la recette ne prend dans « Demain Ne Suffit Pas ». De Sophie Marceau, qui spoiler: tourne sa veste son l’effet du syndrome de Stockholm , à Denise Richards, le casting féminin est un vrai plaisir pour les yeux. Et c’est le seul car niveau crédibilité, on n’est loin du compte, la palme revenant haut la main à l’actrice américaine dans le rôle d’une scientifique (Docteur... ah oui pardon) en physique nucléaire (ben voyons). Même le bad guy Robert Carlyle fait preuve d’un excès qui n’avantage nullement son personnage. A noter que c’est dans cet épisode que l’incontournable Desmond Llewelyn - Q - tire sa révérence.
Un James Bond assez classique avec Brosnan qui s'installe dans ce rôle où il est moyennement convaincant mais cela pourrait être pire. Marceau est plutôt une bonne surprise c'est un rôle à sa mesure, le tout est comme d'ordinaire assez itinérant et rocambolesque. Rien de très innovant mais pas le pire du genre.
Dix-neuvième. Voilà dix-neuf fois que James Bond sauve le monde. Dans Le Monde Ne Suffit Pas, l'agent 007 doit empêcher un terroriste mondial de faire exploser une bombe au plutonium et ainsi détruire la planète, ce qui n'est pas commun dans la franchise. Pour l'aider dans sa tâche, la sulfureuse Denise Richards et Robbie Coltrane (Rubeus Hagrid). Face à lui, le diabolique Robert Carlyle et Sophie Marceau, dans un rôle de peste. Un James Bond relativement correct qui, s'il oublie à nouveau d'éviter les gaffes, reste pour une fois assez attrayant.
Toujours regardable, mais au bout du compte j'attendais un peu plus que ça, car le film remplit son contrat ni plus ni moins mais ne marque absolument pas.
C'est une devise familiale découverte dans "Aux services secrets de sa majesté" qui donne son titre à ce nouvel opus de la saga riche en beaucoup de points. Toujours plus américanisé que jamais James Bond repart dans une aventure plus terre à terre avec cette histoire de vengeance visant particulièrement M qui nous fait découvrir que notre héros risquerait sa vie afin de la sauver. Sophie Marceau nous propose un personnage torturé à divers degrés qui donne une touche d'originalité dans la série. Gravitent autour d'elle de sales "gueules" avec en tête un Robert Carlyle méconnaissable et plus méchants que jamais. L'atout charme est aussi le point faible de ce film, une Denise Richards plus pulpeuse que jamais qui joue les Barbies intelligentes auquelles on ne croit malheureusement jamais. A noter une séquence d'ouverture très longue parmi les plus dynamiques et plus impressionnantes de la série. Un film d'action excellent avec un retour au british par certains décors et ambiances écossais. Un Bond à l'américaine qui tente de renouer enfin avec son ambiance d'antan... Brosnan, plus James Bond que jamais et pour longtemps!
Le monde ne suffit pas, qu'on pourraît traduire par "L'action ne suffit pas", en effet on se perd, on divague un peu. La présence de Marceau n'arrange pas les choses. Dommage.
Dans cette dix neuvième aventure de l'agent secret 007, Bond doit protéger Elektra King, la fille d'un magnat du pétrole assassiné dans les locaux des services secrets britanniques. Le principal suspect de ce meurtre n'est autre que Renard, un célébre anarchiste. Après deux bons épisodes, ce Bond là décoit énormément. Le scénario, pas franchement intéressant, n'en est pas la principale cause puisque ca n'a jamais été le point fort de la saga. Ce sont surtout les trop nombreuses scènes d'action qui fatiguent et qui semblent déjà vu (poursuite en bateau et en ski...) ainsi qu'un jeu d'acteur assez moyen pour les seconds rôles (notamment Denise Richards dont on peut se demander l'utilité dans ce film hormis de montrer sa belle plastique...). Bref, ce Bond là n'a pas trop de saveur...Décevant
Pas terrible. Scénario assez tordu et un peu confus. Quelques scènes d’action sympa tout de même (la course poursuite en bateau du début entre autre). Bref, Vite vu et vite oublié.
Un bon Bond. Le scénario est solide, et le choix de Sophie Marceau comme Chef des "méchants" est bien vu; Elle a un vrai rôle qui lui permet de donner une certaine épaisseur au personnage. Il y a encore les gadjets, les courses poursuites: la super course en bateau du début, et la poursuite à ski avec les ULM , sont de grands morceaux de Bond, du cinéma d'action. Les dialogues sont plein d'humour, avec des réparties pleines de finesse. L'arrivée de la Bond Girl vers la fin nous émène la sensualité habituelle. Un très bon cru, avec tous les ingrédients nécessaires, mais aussi avec du fonds dans le scénario.
Le monde ne suffit pas est un Bond un peu faiblard par rapport aux autres Brosnan, ce qui sauve le film ce sont les scènes daction vraiment impressionnantes mais au delà de ça il ne reste pas grand chose. Le scénario est super convenu, les rebondissement ne sont pas passionnants et le casting est plus que médiocre. En témoigne les deux Bond girls vraiment mauvaises, Sophie Marceau et Denise Richards ne sont visiblement pas à leur place. On retiendra la très bonne scène douverture avec le bateau et quelques passages sympathique. Heureusement quil reste le charisme de Brosnan.