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    Le Beau Monde
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    3,1
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    86 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 août 2014
    Un film pas trop mal mais qu'on oubliera bien vite. J'ai bien aimé la performance d'Ana Girardot mais après, l'histoire fait un peu "déjà vu" avec cette opposition de classes sociales,... Rien de nouveau donc et une fin ouverte qui laisse le spectateur face à sa frustration.
    Paul F.
    Paul F.

    9 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2014
    Excellent film, tout se joue sur les acteurs qui sont vraiment très bons. La fin sur une magnifique chanson de Françoise Hardy est tout simplement un petit bijou. 4,5 étoiles
    RENEE D.
    RENEE D.

    11 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2014
    Film très sensible, une histoire d'amour entre deux jeunes de milieu différent. Elle est d'abord heureuse, puis se rebelle contre son copain. On comprend les 2 caractères, leur motivation, ce qui les rapproche, ce qui les sépare, ; personne n'est coupable que cela ne marche pas entre eux. Dans chaque monde, des personnages attachants : les 2 mères en particulier. On est touché par ce film et triste qu'une différence de milieu hélas a toujours une influence sur un couple..
    fernand l
    fernand l

    222 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2014
    sensible et délicat. bonne idée d'avoir choisi Ana Girardot qui est parfaite pour ce rôle
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 août 2014
    Le Beau Monde s’ouvre progressivement sur la découverte par Alice, jeune prolétaire de Bayeux, d’un monde riche, raffiné et hautement cultivé. En en poussant la porte, elle en jouira des bénéfices : grâce à de précieux conseils, elle sera acceptée dans son école de mode. Car Alice aime bien la mode, mais n’en connait aucun code. Elle tissera ensuite une relation amoureuse avec Antoine, partie intégrante -malgré lui- de ce « Beau Monde ».C’est autour de ce lien amoureux que s’articulera le film, véritable argumentaire sur les inégalités sociales et culturelles. Bastien, qui a bénéficié de l’environnement culturel le plus stimulant possible, est toujours vif, bourré d’idées, de passions, de références. Alice, qui regarde la télé avec son petit frère pendant que sa mère fait le repassage, est un peu molle, voire creuse. Elle avoue ne pas penser tout le temps, ne pas connaître grand-chose sur l’Art.Sur le malaise d’Alice face à sa sensation de mollesse intellectuelle, le film est brillant. Car cette inégalité économique, qui s’est transformée en inégalité intellectuelle, s’infiltrera dans l’intimité la plus profonde de cette relation amoureuse, mais aussi dans les chances de succès des études d’Alice : sans bagage culturel important, sans stimulation intellectuelle constante, celle-ci aura peu de chances de réussir. Et, si elle y parvient, ce sera au prix d’efforts considérables pour emprunter les codes (et le réseau) de ce « Beau Monde ».Quoiqu’un peu trop bavard par endroits, le film se dévoile toutefois avec une sobriété agréable, tant sur le plan de l’écriture que de la réalisation. Pour sensibiliser le spectateur à son argumentaire, il plonge en immersion profonde dans les mondes qu’il souhaite opposer.Mais, dans l’ère du temps, la réalisatrice Julie Lopes Curval s’est focalisée sur une dichotomie nette entre une famille populaire acculturée mais sympa, filmée avec un regard attristé, et une famille dysfonctionnelle de très grands bourgeois plutôt désagréables. En jouant sur une opposition aussi franche, le message initial du film, qui consiste à affirmer que le lien entre inégalités économiques et inégalités culturelles crée des mondes étanches et irréconciliables, est considérablement affaibli : la petite bourgeoisie culturelle qui apprécie le cinéma d’auteur s’identifiera plus volontiers à Alice qu’à Antoine, soudée face à ce grand méchant, le vrai riche, l’Autre, le 1% des « We are the 99% », source de tous nos problèmes. Pas vraiment révolutionnaire, le film reste, sur cet aspect, un peu démago.
    Virginie Le Roux
    Virginie Le Roux

    6 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2017
    J ai aimé l idée de depart car j adore tricoter et me rejouissais à l idée d un scenario sur le thème imaginant l heroine creer des snoods des echarpes comme moi et puis ça s enlise et il n y a pas vraiment de fin. Cette histoire d amour est mignonne entre un photographe héritier et une créative, partagés entre deux milieux sociaux. Bon elle n est pas devenu st laurent et le film ne se termine pas sur une ascension fulgurante mais les personnages sont attendrissants . Il y a un placement de produit pour un ecrivain mediatique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 août 2014
    Excellent film jeune, frais et plein de tendresse. Difficile les débuts dans la vie, mais quand on a un don ou une passion... c'est motivant. Alice (Ana Girardot) est ce ceux là, et avec toute la fragilité liée à son origine modeste, elle monte très vite. Au passage, j'ai été bluffé par don rôle sobre et pourtant si intense ! J'aime le clin d’œil de Bayeux, son origine, bien qu'elle se destine à la broderie ! Vrai travail recherche sur ce thème (voir les actions du "tricot solidaire" de Fourmies). Remarquez la finesse des travaux de "petites-mains" - des échantillons sont proposés en décor notamment chez sa mère Christiane (Stéphane Bissot). Antoine (Bastien Bouillon) est lui aussi très prometteur...pardon pour les répétitions...(!) J'ajoute que Sergi Lopez ajoute une touche de finesse et je ne pourrai pas terminer sans citer le choix remarquable de la musique de Francoise Hardy, un régal !! **
    Claquéausol
    Claquéausol

    13 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 novembre 2020
    Jamais (ou rarement) je n'ai vu un film si plein de clichés. C'est plat, c'est niais, c'est bête... Pour vous donner une idée : ça met en scène l'histoire d'amour entre un fils de très bonne famille et une prolo. Le fils de bonne famille (dont le meilleur pote s'appelle Rodolphe< sans doute que Gonzague et Amaury étaient déjà pris) "initie" la prolo à l'Art (visiblement elle n'était pas capable de s'initier elle-même en lisant des livres... Et ça se voudrait un film progressiste et féministe. Lol). En même temps, il abandonne HEC car il veut faire de la photo (il crache sur sa mère "la grande bourgeoise superficielle blabla", mais accepte en toute quiétude qu'elle finance sa reconversion et que l'argent qu'elle lui donne chaque mois lui permette de louer un 80m2 dans Paris et de consacrer ses journées à son "art". Écœurant personnage au demeurant,dont on se doute qu'il finira exposé à Pompidou grâce aux contacts de Maman). La prolo, de son côté, a une mère blonde platine au chômage, un père qui fait les marchés, un ex qui s'appelle Kévin (évidemment, c'est bien connu: les pauvres ont tous des prénoms américains) et une meilleure copine prothésiste ongulaire (esthéticienne ou coiffeuse ça aurait fait trop, sans doute). Y a comme d'habitude une opposition entre la province et Paris (on peut s'éveiller culturellement qu'à Paris, c'est bien connu, les Parisiens sont tous des gens fins et cultivés, y a qu'à prendre le métro avec eux pour le comprendre). Y a plein de clichés genre : :" l'art c'est pas forcément beau", "je veux raconter sans forcément dire quelque chose" (authentique réplique dite dans le film , si si), "l'art est inutile mais en fait non", etc. Le fils de bonne famille offre des bouquins d'art contemporain à la prolo au bassin des Tuileries, elle écoute du PROUST en travaillant (genre...elle comprenait pas une phrase simple 2 mois avant et finalement elle passe direct de "télé loisirs" à "Du côté de chez Swann" lu par ce naze de Guillaume Gallienne... Au secours). J'ai pas encore vu la fin mais je parie que ça se terminera avec "Le tourbillon de la vie" de Jeanne Moreau, ou une chanson de Françoise Hardy... C'est sans force, sans énergie, et ça pue à la fois la guimauve et la naphtaline . Aucun véritable artiste ne pourrait se reconnaître dans ce ramassis de gens qui posent insupportablement, y a que les critiques de certains journaux complaisants qui ont aimé ce truc, mais personne n'est plus éloigné d'un artiste qu'un critique, tout le monde sait ça.
    Claire D
    Claire D

    4 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2020
    Très joli film, bien interprété. On se laisse porter par cette histoire d'ados qui se cherchent.. Plutôt réaliste et appaisant. J'ai bien aimé la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 août 2014
    Actrice que je ne connaissais pas, et qui jour très bien... belle histoire d'amour sur quelques années, deux mondes différents, une famille bourgeoise et une jeune fille de milieu ouvrier, le magnifique Sergi Lopez en prime ?? a voir pour passer un bon moment
    Marguerite2
    Marguerite2

    7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 septembre 2014
    Ce film est agréable à voir mais il manque de rythme, le sujet a déjà été traité et ce film n'apporte rien de nouveau néanmoins j'ai beaucoup aimé le jeu d'Ana Girardot et Sergi Lopez, un peu moins Bastien Bouillon que je ne trouve pas très juste. L'image est très bonne et la bande son également.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2014
    La finesse et la douceur sont encore de ce monde. La réalisatrice en distille énormément ici: dans le physique de l’actrice Ana Girardot qui est Alice, dans l’amour qu’elle vit avec Antoine et dans le scénario jamais répétitif, aérien, progressif. Ambitieux, le film ne parle pas seulement d’amour mais surtout du chemin qu’on doit parcourir pour devenir un adulte, de la construction d’une identité -non tout n’est pas écrit sur la petite carte- de la quête de soi quand on est une femme en France qu’on habite en Normandie, et qu’on vient d’un milieu populaire. Certes, on peut s’identifier à notre héroïne...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 21 août 2014
    un film qui ne parvient pas un seul instant à convaincre. Ana Girardot semble paumée du début à la fin et ne nous fait pas croire à sa passion de la broderie. Son petit ami est surexploité dans des scènes de lit et annone d'une façon peu agréable. Un film décevant qui manque de sensibilité alors qu'il y avait vraiment de quoi faire avec le sujet
    etoile_du_jaguar
    etoile_du_jaguar

    3 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 août 2014
    Un peu brouillon, certains aspects d'un thème souvent traité - la différence de milieux - sont joliment illustres au travers d'Ana Girardot, mais c'est le plus souvent brouillon et se termine en queue de poisson, il fallait une fin. Dommage.
    Mister_Ed
    Mister_Ed

    1 abonné 116 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 juillet 2022
    Film qui m’a beaucoup touché par sa délicatesse. L’ambiance générale fait vraiment penser à un film de Rohmer : les jeunes s’expriment très bien, le rythme est posé, les gens s’écoutent et ne s’interrompent pas, ils sont réfléchis, les bruits d’oiseaux et l’absence de bruits d’automobiles même à Paris. Les plans tournés en Normandie sont justes magnifiques, on aurait voulu en voir plus !
    Au début on pense assister à une histoire gentillette et convenue entre une jeune fille naïve tombant amoureux d’un riche intello, mais au fur et à mesure que le film avance, on est comme envouté par l’ambiance du film.
    Les acteurs sont d’une justesse incroyable. Bastien Bouillon a un phrasé très original et une belle gueule. Je suis surpris de connaître son existence que maintenant ! Sergi López est toujours incroyable de sincérité, on a envie d’être son ami. Aurélia Petit est parfaite en bourgeoise de gauche. Ana Girardot illumine par sa beauté.
    La fin m’a serré le cœur !
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