Avis sur La Femme du diplomate

Un film très bisounours sur une histoire d'adultère d'une grande platitude jouant sur un soi disant choc des cultures entre la france et les usa. Tout parait artificiel et pour tout dire en restant poli on s'en fout totalement.

Le titre en français (“La femme du diplomate”) est moins parlant que l'original : “5 to 7” qui indique bien que le film base son intrigue sur une relation amoureuse du type clandestine. Et en effet, Bryan, jeune aspirant écrivain, tombe sous le charme d'Arielle, élégante trentenaire (et accessoirement femme d’un diplomate à New York...) et va entretenir avec elle une amoureuse adultérine. C'est donc un drame romantique dans les beaux quartiers de la Grosse Pomme. Et, franchement, ce n'est pas désagréable, sans pour autant être renversant. La langueur amoureuse et les tourments de l'aspect immoral de cette relation avec une femme mariée, rendent la situation touchante puisqu'elle se place du côté de Bryan, qui même follement amoureux ne se fait pas à la désinvolture avec laquelle Arielle et son mari traitent la situation. L'ensemble est donc charmant, mais il pâtit, outre de l'aspect un peu conventionnel de la situation, d'une écriture bourrée de clichés sur les Français et la France. Je ne veux pas faire ma caricature de Français rouspéteur, mais franchement Victor Levin, réalisateur/scénariste de ce long-métrage, ne nous en épargne quasiment aucun ! D'abord, le personnage d'Arielle, stéréotype de la femme française élégante et raffinée, mais moralement ambiguë. Comme le couple qu'elle forme avec son mari qui évidemment sont adeptes du mariage libre... Ensuite, je passe le coup de la baguette et de la dégustation de vin, ainsi que sur le visionnage de l'incontournable film de la Nouvelle Vague pour comprendre les Français, pour passer aux clichés carrément plus insultants sur l'impolitesse, l'ingratitude (vis-à-vis des Américains!) et la lâcheté de la population française (là, le personnage déclare qu'on se serait rendu 3 fois pendant la 2nd Guerre Mondiale, rien de moins!). Bref, un condensé de tous les stéréotypes, clichés et autres préjugés que les Américains entretiennent dans leur imaginaire, sur une grosse heure quarante, c'est un peu lourd à digérer. Et encore, il nous a épargné le béret et l'accordéon ! Bref, si vous aimez les drames romantiques et que les sempiternels clichés des Américains sur notre pays ne vous font pas hurler, alors sûrement vous passerez un bon moment. Vous êtes prévenu.

Intérêt assez limité avec une histoire et des dialogues qui sonnent faux et creux pour une histoire d'adultère BC BG additionnée à une pseudo histoire d'ascension littéraire d'un jeune écrivain. On ne ressent aucune passion, beaucoup de dialogues desincarnes avec comme seul véritable atout le plaisir de revoir la très belle et envoûtante Berenice Marlohe, ex James Bond girl. Un film sensé jouer la différence entre les cultures américaines et françaises en particulier en matière de sexe et d'adultère mais bourré de clichés.

Brian est un personnage plus qu'exaspérant : idiot est l'épithète idoine. Voilà un jeune homme qui se voit offrir le plus beau destin qui soit : être publié et devenir un auteur en vue. Et ce petit monsieur finalement trop gâté ignore ce bonheur pour l'amour d'une Française certes jolie mais tellement parisienne qu'elle donne envie de se replonger profondément dans l'Amérique, ou de plonger dans l'Amérique profonde, loin, très loin de ces citadins de la haute chez qui la littérature a autant de souffle et de latitude qu'un poisson dans un bocal.
Un petit film sans intérêt, dégoulinant de clichés sur les uns et les autres, mièvre, bête et bien trop "frenchy" pour être autre chose que mauvais.

Ce qui est beau dans cette histoire ce sont les moments ou cette femme marié et le jeune écrivain sont ensemble. La séduction est douce,l 'évolution de leur histoire est sont tendres, leur amour est vraiment touchant et mis en avant par des dialogues fins, intelligents et porté par un duo très attachant. Il y à beaucoup d'émotions, de pudeur et de tendresse dans leur moment, et la manière dont il sont portés à l'écran.
Pour autant leurs personnages sont un peu "clichés", et les situations de rencontre entre famille, amant de la femme, maitresse du mari, enfants, est abusé et gênante.
Mais que la fin est belle, j'ai versé ma petite larme, c'est beau et romantique et en même temps si dur.
Inégal comme film mais aurait mérité mieux qu'une sortie en VOD direct.

Une histoire d'adultère dans un premier temps légère, amusante, décalée et inattendue, car ce n'est pas tous les jours qu'on peut croiser un couple aussi ouvert avec un mari qui invite l'amant de sa femme à dîner, avant d'être ensuite plus sérieuse dans la pure tradition des films romantiques. J'ai surtout aimé la première partie par rapport à l'originalité de la situation, toute cette légèreté et surtout l'alchimie qu'il y a entre Anton Yelchin et la magnifique Bérénice Marlohe, je crois que c'est ce dernier point qui fait toute la différence dans ce film qui est très agréable à suivre et qui n'est pas si prévisible que ça.

Un film complétement insipide et tiré par les cheveux, c'est du niveau d'un téléfilm à l’eau de rose sur M6.
(en même temps le réalisateur est un illustre inconnu qui n'a tourné que des épisodes de série télé).
Il n'y a que la plastique de Bérénice Marlohe a retenir l'attention, mais j'attends plus d'un film.
Et pire, c'est encore un film pro-tabac, sans doute complétement subventionné par le lobby des cigarettes.
Le film commence d'ailleurs par la rencontre des deux futurs amants autour d'une cigarette.
Et disent ceci :
Lui : "- Nous sommes exilés, nous les fumeurs"
Elle : "- Je ne fais absolument pas confiance aux non-fumeurs"
"- Ils sont trop satisfaits d'eux-même"
"- Exactement"
(en v.o. c'est même prononcé en français

Et bien quand comme moi on est au courant des ravages du tabac et que l'industrie du tabac est une organisation criminelle, on se prend dès le départ de ce film un gros mollard craché par le réalisateur !

La première règle d'un film d'amour est que les acteurs principaux doivent avoir une chimie à l'écran. La deuxième règle est que vous devez témoigner de la sympathie pour eux pour vous impliquer et vous soucier d'eux. J'ai peur qu'aucun de ces deux facteurs n'existait. Il n'y a aucun moyen pour qu'une femme belle élégante et sophistiquée montre un intérêt pour un garçon d'apparence moyenne sans imagination. Ce n'est pas que l'âge compte, ni même l'apparence mais le scénario n'a tout simplement pas apporté de profondeur ou la personnalité au rôle principal masculin et il n'y a donc rien de plus que le superficiel à considérer. Le jeu des acteurs est en bois, le scénario est irréalisable guindé et contre nature. En outre li existe un stéréotype français qui est observable dans de nombreux films qui est inapproprié, inexact et contraignant. Même la musique composée de quelques notes se répétant était bon marché. Je suis une personne très sensible, les femmes de ma vie ont toujours dit cela et je pleure quand je vois une mouche estropiée et pourtant rien dans ce film ne m'a fait ressentir de lien avec quoi que ce soit à l'écran. La Femme du diplomate est un film conçu pour une génération rapide et peu profonde...

Franchement, un film assez mauvais ... On a toujours l'impression qu'il y a une manipulation tellement c'est peu réaliste dans les sentiments et émotions et surtout ces gens si gentils avec lui jusqu'à en faire un grand auteur. Tout parait complètement manigancé ! Une histoire qui se transforme en littérature.

Et la lettre de cette femme pour dire non, très enflammée sur l'amour ... alors que l'on ne ressent pas cet amour durant tout le film. De 5 à 7 ... amour ? plutôt sex friend dans ce cas là.

Enfin, le jeune acteur ? Franchement, bof, bof ... Pourquoi 24 ans ? Quel était l'intérêt ?

film vraiment léger ....amateur d'histoire à l'eau de rose vous serez comblé sinon tracez votre route, ce film n'a rien à envier à certains téléfilm

Digne d'un bon téléfilm d'après-midi. La réalisation et les acteurs en plus peut-être... Cela dit, il s'agit d'une belle réalisation au scénario simple, qu'on peut, sans grande stupeur, qualifier "à l'eau de rose". C'est beau et c'est sympathique... pour les amateurs du genre, à voir.

Un film bavard et ennuyeux dans lequel il ne se passe rien d'imprévisible. La présence de la trés belle Bérénice Marlohe à la voix rocailleuse ne sauve pas cette insipide production à l'eau de rose difficile à suivre jusqu'au bout sans somnoler.

Très beau film, bien joué, plein de bons sentiments.
De bons seconds rôles (Glen Close, Lambert Wilson,...).
Et une belle BO.
À voir...

Serie originale, captivante et les acteurs sont extraordinaires. Je recommandecette serie réaliste et ou on nes ennuie pas.