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Apre histoire d’amour entre un quadragénaire bourgeois et un jeune sans-papiers d’Europe de l’Est, doublée d’une étude fascinante des rapports de domination entre les hommes.
Robin Campillo a trouvé la fameuse "bonne distance" qui n’est pas un négoce entre l’éloignement ethnologique et la proximité hystérique - au profit du pire, le juste milieu -, mais une diagonale dansante et colérique où chaque point de vue dispute l’autre, le contrarie, le déteste autant qu’il l’aime.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Architecturalement impressionnant, visuellement élégant, "Eastern Boys" a l'indéniable mérite de fuir les héros empathiques et les discours préfabriqués pour sonder les corps, jouer avec la peur sans pour autant négliger d'interriger l'éthique du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Sur cette France des miséreux qui errent sans but dans les gares, sur l'homosexualité, la paternité, sur la solitude, aussi, et les liens qui se tissent, néanmoins, entre les êtres, Robin Campillo pose un regard aiguisé. Lyrique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L’ambiance est ultra-tendue, le mal est là, la menace du groupe contre l’individu terrifiante. Robin Campillo réussit à installer son long métrage dans un climat incorrect. Enfin un film déstabilisant !
La critique complète est disponible sur le site Elle
"Eastern Boys" met en scène des situations d'embarras et de malaises extrêmes où les personnages ne peuvent plus s'exprimer que par le biais de silences assourdissants, de jeux de regards déterminants. (...) "Eastern Boys" un film tout à fait unique et au-dessus du lot.
Tout en variation de rythme et de régime, la mise en scène de de Campillo réussit à embrasser dans un seul mouvement la complexité du monde et des affects (...). Thriller en mode mineur qui distille sa tension anxiogène par petits jets (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les premières images du film concentrent très habilement la tension qui suivra. "Eastern Boys", édifiant à bien des égards sur l'immigration moderne, évolue sur une crête romanesque qui ne perd jamais de vue son humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Au-delà de l'âpreté du contexte social, le cinéaste, par une mise en scène élégante appuyée sur une excellente distribution, capte les émotions fondatrices d'un lien.
Robin Campillo chausse une caméra quasiment documentaire pour capter le monde interlope des grandes gares parisiennes. Mais il change, avec sensibilité, de braquet pour nous entraîner dans le suspense d’une histoire où le cœur succède au corps, et où la morale finit par l’emporter sans faire sa fière.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Avec une rare maîtrise de l'espace, du temps et du son, le cinéaste impose son univers "sociopoétique" et fait entendre une voix qui, on l'espère, sera difficile à ignorer.
(...) le réalisateur Robin Campillo revient pour son second long métrage avec un thriller bluffant, aussi complexe qu'ambitieux. Pour l'instant, le meilleur film français de l'année.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Robin Campillo signe un film à géométrie variable où il est question de couple, de politique, d'espace. C'est de l'écrit, c'est de la fable, et l'incarnation à l'écran portera sans cesse l'empreinte de cette indécision ontologique.
Le réalisateur du film "Les Revenants" revient dix ans après son premier effort à la réalisation avec une oeuvre troublante et dérangeante, d’une belle acuité psychologique et esthétiquement probante. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ce que conte "Eastern Boys" est un drame de l’amour perverti par une certaine lâcheté, par le refuge derrière l’idée de dépendance mutuelle, par la sujétion au matérialisme. (...) L’approche ne manque pas d’acuité ni d’intuition.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Une fable étrange et stylisée qu’on aurait aimé aimer. Mais si certains de ces garçons ont une authenticité brute et si la mise en scène présente d’indéniables qualités plastiques, le film reste théorique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Trois lieux, tous superbement filmés (Jeanne Lapoirie signe les images), quatre mouvements de durées différentes, quatre rythmes aussi, quatre manières d'associer l'intime et le collectif, de les faire se frotter, se contrarier, se heurter. Réalisateur des "Revenants" en 2004, scénariste et monteur de Laurent Cantet, Robin Campillo fait preuve d'une belle maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'appel à l’imaginaire de la mise en scène en reste alors à un stade purement allusif et littéraire, comme la mauvaise conscience camouflée d’un morne réalisme qui n’ose plus dire son nom.
Les Inrockuptibles
Apre histoire d’amour entre un quadragénaire bourgeois et un jeune sans-papiers d’Europe de l’Est, doublée d’une étude fascinante des rapports de domination entre les hommes.
Libération
Robin Campillo a trouvé la fameuse "bonne distance" qui n’est pas un négoce entre l’éloignement ethnologique et la proximité hystérique - au profit du pire, le juste milieu -, mais une diagonale dansante et colérique où chaque point de vue dispute l’autre, le contrarie, le déteste autant qu’il l’aime.
TéléCinéObs
Architecturalement impressionnant, visuellement élégant, "Eastern Boys" a l'indéniable mérite de fuir les héros empathiques et les discours préfabriqués pour sonder les corps, jouer avec la peur sans pour autant négliger d'interriger l'éthique du spectateur.
Télérama
Sur cette France des miséreux qui errent sans but dans les gares, sur l'homosexualité, la paternité, sur la solitude, aussi, et les liens qui se tissent, néanmoins, entre les êtres, Robin Campillo pose un regard aiguisé. Lyrique.
Elle
L’ambiance est ultra-tendue, le mal est là, la menace du groupe contre l’individu terrifiante. Robin Campillo réussit à installer son long métrage dans un climat incorrect. Enfin un film déstabilisant !
Le Journal du Dimanche
"Eastern Boys" met en scène des situations d'embarras et de malaises extrêmes où les personnages ne peuvent plus s'exprimer que par le biais de silences assourdissants, de jeux de regards déterminants. (...) "Eastern Boys" un film tout à fait unique et au-dessus du lot.
Le Monde
Tout en variation de rythme et de régime, la mise en scène de de Campillo réussit à embrasser dans un seul mouvement la complexité du monde et des affects (...). Thriller en mode mineur qui distille sa tension anxiogène par petits jets (...).
Le Parisien
Les premières images du film concentrent très habilement la tension qui suivra. "Eastern Boys", édifiant à bien des égards sur l'immigration moderne, évolue sur une crête romanesque qui ne perd jamais de vue son humanité.
Les Fiches du Cinéma
Au-delà de l'âpreté du contexte social, le cinéaste, par une mise en scène élégante appuyée sur une excellente distribution, capte les émotions fondatrices d'un lien.
Paris Match
Robin Campillo chausse une caméra quasiment documentaire pour capter le monde interlope des grandes gares parisiennes. Mais il change, avec sensibilité, de braquet pour nous entraîner dans le suspense d’une histoire où le cœur succède au corps, et où la morale finit par l’emporter sans faire sa fière.
Positif
"Eastern Boys", c'est à la fin un peu la résorption du domaine de la lutte au profit d'une solidarité inattendue. Liberté, égalité, fraternité.
Première
Avec une rare maîtrise de l'espace, du temps et du son, le cinéaste impose son univers "sociopoétique" et fait entendre une voix qui, on l'espère, sera difficile à ignorer.
Studio Ciné Live
POUR : Voir le site de Studio Ciné Live.
TF1 News
(...) le réalisateur Robin Campillo revient pour son second long métrage avec un thriller bluffant, aussi complexe qu'ambitieux. Pour l'instant, le meilleur film français de l'année.
Transfuge
Robin Campillo signe un film à géométrie variable où il est question de couple, de politique, d'espace. C'est de l'écrit, c'est de la fable, et l'incarnation à l'écran portera sans cesse l'empreinte de cette indécision ontologique.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur du film "Les Revenants" revient dix ans après son premier effort à la réalisation avec une oeuvre troublante et dérangeante, d’une belle acuité psychologique et esthétiquement probante. Une réussite.
Critikat.com
Ce que conte "Eastern Boys" est un drame de l’amour perverti par une certaine lâcheté, par le refuge derrière l’idée de dépendance mutuelle, par la sujétion au matérialisme. (...) L’approche ne manque pas d’acuité ni d’intuition.
L'Humanité
Une fable étrange et stylisée qu’on aurait aimé aimer. Mais si certains de ces garçons ont une authenticité brute et si la mise en scène présente d’indéniables qualités plastiques, le film reste théorique.
L'Obs
Trois lieux, tous superbement filmés (Jeanne Lapoirie signe les images), quatre mouvements de durées différentes, quatre rythmes aussi, quatre manières d'associer l'intime et le collectif, de les faire se frotter, se contrarier, se heurter. Réalisateur des "Revenants" en 2004, scénariste et monteur de Laurent Cantet, Robin Campillo fait preuve d'une belle maîtrise.
Cahiers du Cinéma
L'appel à l’imaginaire de la mise en scène en reste alors à un stade purement allusif et littéraire, comme la mauvaise conscience camouflée d’un morne réalisme qui n’ose plus dire son nom.
Studio Ciné Live
CONTRE : Voir le site de Studio Ciné Live.