Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
L'Express
par Julien Welter
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un conte froid et nu qui, malgré sa dureté (...), est une sorte de parenthèse enchantée dans un cinéma contemporain à la trivialité parfois abrutissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
Adaptant une nouvelle de Friedrich Gorenstein, Eva Neymann dépeint la cruauté et les grâces de l'humanité vue à hauteur d'enfant avec un noir et blanc superbe, qui donne à la tristesse de cette histoire les contours adoucis d'un conte.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Fort d’une photographie saisissante, ce long-métrage ukrainien évoque ces chansons réalistes aux notes qui crissent sous les godillots comme les flocons de neige d’une éternelle misère.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Isabelle Danel
Les images en noir et blanc d’un monde enseveli sous la neige, dévasté par la famine et où règne le chacun pour soi sont joliment composées. Parfois trop. Mais lorsqu’il reste à hauteur d’enfant, ce premier long d’une documentariste ukrainienne, adapté d’un livre de Friedrich Gorenstein, distille une émotion entêtante et déchirante.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Le visage lumineux du jeune comédien, son rêve d’une maison habitée par un vieillard et une petite ville où il ferait bon vivre, la peinture d’un environnement glacial font de cet hommage aux grands maîtres russes un beau film sans pathos, qui ne juge ni ne condamne.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce très beau film ukrainien suit les traces de Tarkovski et de Bela Tarr en s’imposant comme une œuvre forte, exigeante et visuellement épatante. Hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Là où Fritz Lang, dans Moonfleet, emboîtait le pas de l’enfant sans se départir de sa propre fermeté, Neymann semble hésiter entre l’affrontement franc avec l’âpreté du monde et le refuge dans la fable porteuse de simplicité rassurante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
La beauté des paysages efface parfois les images de la misère, mais jamais le sentiment d'indifférence!
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Arnaud Schwartz
"La Maison à la tourelle" baigne dans une atmosphère singulière, au risque de céder parfois à un formalisme un peu trop appuyé. (...) Fable (...) puissante et cruelle, [n’] offre pas moins une réflexion étonnante sur ce que l’époque fait de ceux qui la subissent (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Malgré un beau Noir & Blanc, des cadrages tirés au cordeau, le film ne trouve pas son sujet, la réalisatrice ne sachant pas ce qu'il lui importait de filmer.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Cette œuvre, qui ressuscite la mythique Union soviétique et son cinéma poétique en noir et blanc (d’Eisenstein à Sokourov), est sans doute un peu trop impeccablement rétro, un chouïa académique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Eva Neymann drape son illustration de ce récit d’un formalisme marqué, à l’évidence, par l’héritage de Kira Mouratova, dont elle fut l’élève, et dont elle a notamment retenu un sens certain de la chorégraphie des corps et de la caméra (...) On peut toutefois trouver quelque chose d’un rien scolaire à la facture de ce moiré noir et neige.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
L'esthétisme est grandiose, presque cauchemardesque. Cette perfection des images freine l'émotion, qui surgit néanmoins à plusieurs reprises, grâce à cet enfant au visage doux et triste que rien ne semble devoir abattre...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Vincent Thabourey
En dépit [d'une] élégante mise en scène, la tragédie manque de souffle, le décor reste un décor que le vent de la fiction ne parvient pas à faire vibrer.
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
Un conte froid et nu qui, malgré sa dureté (...), est une sorte de parenthèse enchantée dans un cinéma contemporain à la trivialité parfois abrutissante.
Le Monde
Adaptant une nouvelle de Friedrich Gorenstein, Eva Neymann dépeint la cruauté et les grâces de l'humanité vue à hauteur d'enfant avec un noir et blanc superbe, qui donne à la tristesse de cette histoire les contours adoucis d'un conte.
Paris Match
Fort d’une photographie saisissante, ce long-métrage ukrainien évoque ces chansons réalistes aux notes qui crissent sous les godillots comme les flocons de neige d’une éternelle misère.
Première
Les images en noir et blanc d’un monde enseveli sous la neige, dévasté par la famine et où règne le chacun pour soi sont joliment composées. Parfois trop. Mais lorsqu’il reste à hauteur d’enfant, ce premier long d’une documentariste ukrainienne, adapté d’un livre de Friedrich Gorenstein, distille une émotion entêtante et déchirante.
TéléCinéObs
Le visage lumineux du jeune comédien, son rêve d’une maison habitée par un vieillard et une petite ville où il ferait bon vivre, la peinture d’un environnement glacial font de cet hommage aux grands maîtres russes un beau film sans pathos, qui ne juge ni ne condamne.
aVoir-aLire.com
Ce très beau film ukrainien suit les traces de Tarkovski et de Bela Tarr en s’imposant comme une œuvre forte, exigeante et visuellement épatante. Hypnotique.
Critikat.com
Là où Fritz Lang, dans Moonfleet, emboîtait le pas de l’enfant sans se départir de sa propre fermeté, Neymann semble hésiter entre l’affrontement franc avec l’âpreté du monde et le refuge dans la fable porteuse de simplicité rassurante.
Elle
La beauté des paysages efface parfois les images de la misère, mais jamais le sentiment d'indifférence!
La Croix
"La Maison à la tourelle" baigne dans une atmosphère singulière, au risque de céder parfois à un formalisme un peu trop appuyé. (...) Fable (...) puissante et cruelle, [n’] offre pas moins une réflexion étonnante sur ce que l’époque fait de ceux qui la subissent (...).
Les Fiches du Cinéma
Malgré un beau Noir & Blanc, des cadrages tirés au cordeau, le film ne trouve pas son sujet, la réalisatrice ne sachant pas ce qu'il lui importait de filmer.
Les Inrockuptibles
Cette œuvre, qui ressuscite la mythique Union soviétique et son cinéma poétique en noir et blanc (d’Eisenstein à Sokourov), est sans doute un peu trop impeccablement rétro, un chouïa académique.
Libération
Eva Neymann drape son illustration de ce récit d’un formalisme marqué, à l’évidence, par l’héritage de Kira Mouratova, dont elle fut l’élève, et dont elle a notamment retenu un sens certain de la chorégraphie des corps et de la caméra (...) On peut toutefois trouver quelque chose d’un rien scolaire à la facture de ce moiré noir et neige.
Télérama
L'esthétisme est grandiose, presque cauchemardesque. Cette perfection des images freine l'émotion, qui surgit néanmoins à plusieurs reprises, grâce à cet enfant au visage doux et triste que rien ne semble devoir abattre...
Positif
En dépit [d'une] élégante mise en scène, la tragédie manque de souffle, le décor reste un décor que le vent de la fiction ne parvient pas à faire vibrer.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.