Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir : Critique presse
Shokuzai - Celles qui voulaient se souvenir
Note moyenne
4,3
19 titres de presse
Cahiers du Cinéma
L'Humanité
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
Transfuge
TéléCinéObs
20 Minutes
Chronic'art.com
Critikat.com
L'Express
L'Obs
La Croix
Les Inrockuptibles
Positif
Studio Ciné Live
Télérama
Metro
Première
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
En empruntant la forme feuilletonnesque, Kurosawa revisite les premiers essais de la J-Horror, dont "Shokuzai" pourrait constituer l’anthologie.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un drame prenant, où Kurosawa assimile ses personnages aux fantômes qui hantaient naguère son cinéma. Une réussite plastique et dramatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
"Shokuzai" est un choc cinématographique, un film-monstre, un film-monde, où s'affirme (...) la toute-puissance d'un désir de détruire autrui pour simplement être.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le premier des deux volets de "Shokuzai" trouve Kyoshi Kurosawa à son meilleur. Polar glaçant, drame retors et satire sociale : l'auteur tente - et réussit - tout.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Gilles Esposito
(...) [Kurosawa] atteint ici une sorte d'épure sidérante qui donne peut être le meilleur de ses films tous supports confondus, et sans doute un archi-favori pour le titre de chef-d'oeuvre de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Transfuge
par Damien Aubel
Allégé de ses tentations maniéristes, tout au plaisir contagieux de ramifier son histoire en un quinté d'épisodes, Kurosawa réalise un chef-d'oeuvre vénéneux.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
A la fois thriller et tragédie intime, découpé en cinq portraits bruissants et tragiques, un feuilleton haletant et subjuguant (...) mis en scène avec une distance glaçante par un cinéaste inégal mais qui trouve ici un enjeu narratif à la hauteur de son talent.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
Ne vous laissez pas intimider par la durée de ces films: le plaisir est au rendez-vous d’un récit haletant et brillamment mis en scène présenté à la Mostra de Venise et au Festival Deauville Asie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Chronic'art.com
par Nicolas Truffinet
C’est dans sa dimension feuilletonesque que ce double film impressionne le plus. Lorsqu’il se frotte à des univers qui, sans être tout à fait nouveaux pour Kurosawa, n’avaient sans doute jamais été associés de la sorte, produisant un résultat d’une ampleur et d’une densité assez extraordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Vincent Aven
Kurosawa semble confirmer la nouvelle orientation de son style narratif : un style patient, à l’écoute du temps, initié avec "Tokyo Sonata", et qui ne manque d’opposer son public à celui des films terribles, absurdes et hypnotiques des années 1990.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Découvert à Venise, "Shokuzai" s'apparente à un thriller empli de mystères (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
(...) l'esthétique demeure toujours épurée avec des teintes désaturées et une distance envers les personnages, magnifiquement interprétés, qui situe davantage le récit dans le mystère que dans l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Amélie Dubois
L’impact de ce double opus du cinéaste japonais (...) se mesure véritablement après coup, quand, sorti de l’étrange état d’hypnose provoqué par la projection, des images, des visages vous hantent littéralement.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Lame de rasoir affinée, la mise en scène elliptique et la prestation des acteurs créent un suspense qui, pendant quatre heures et demi, a capté toute notre attention.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
[Les] faiblesses tardives ne font pas oublier l'ampleur peu commune d'une histoire à la fois terrifiante et bouleversante.
Metro
par Marilyne Letertre
S'amusant à varier les genres dans chaque chapitre, le réalisateur tient le spectateur en haleine jusqu'au bout... ou presque. Le dernier pan de cette quête vengeresse et morbide est un poil bavard et tiré par les cheveux.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Gérard Delorme
Une version courte aurait pu être aisément montée en se concentrant sur les deux personnages les plus intéressants.
Cahiers du Cinéma
En empruntant la forme feuilletonnesque, Kurosawa revisite les premiers essais de la J-Horror, dont "Shokuzai" pourrait constituer l’anthologie.
L'Humanité
Un drame prenant, où Kurosawa assimile ses personnages aux fantômes qui hantaient naguère son cinéma. Une réussite plastique et dramatique.
Le Monde
"Shokuzai" est un choc cinématographique, un film-monstre, un film-monde, où s'affirme (...) la toute-puissance d'un désir de détruire autrui pour simplement être.
Les Fiches du Cinéma
Le premier des deux volets de "Shokuzai" trouve Kyoshi Kurosawa à son meilleur. Polar glaçant, drame retors et satire sociale : l'auteur tente - et réussit - tout.
Mad Movies
(...) [Kurosawa] atteint ici une sorte d'épure sidérante qui donne peut être le meilleur de ses films tous supports confondus, et sans doute un archi-favori pour le titre de chef-d'oeuvre de l'année.
Transfuge
Allégé de ses tentations maniéristes, tout au plaisir contagieux de ramifier son histoire en un quinté d'épisodes, Kurosawa réalise un chef-d'oeuvre vénéneux.
TéléCinéObs
A la fois thriller et tragédie intime, découpé en cinq portraits bruissants et tragiques, un feuilleton haletant et subjuguant (...) mis en scène avec une distance glaçante par un cinéaste inégal mais qui trouve ici un enjeu narratif à la hauteur de son talent.
20 Minutes
Ne vous laissez pas intimider par la durée de ces films: le plaisir est au rendez-vous d’un récit haletant et brillamment mis en scène présenté à la Mostra de Venise et au Festival Deauville Asie.
Chronic'art.com
C’est dans sa dimension feuilletonesque que ce double film impressionne le plus. Lorsqu’il se frotte à des univers qui, sans être tout à fait nouveaux pour Kurosawa, n’avaient sans doute jamais été associés de la sorte, produisant un résultat d’une ampleur et d’une densité assez extraordinaire.
Critikat.com
Kurosawa semble confirmer la nouvelle orientation de son style narratif : un style patient, à l’écoute du temps, initié avec "Tokyo Sonata", et qui ne manque d’opposer son public à celui des films terribles, absurdes et hypnotiques des années 1990.
L'Express
Voir le site de L'Express
L'Obs
Découvert à Venise, "Shokuzai" s'apparente à un thriller empli de mystères (...).
La Croix
(...) l'esthétique demeure toujours épurée avec des teintes désaturées et une distance envers les personnages, magnifiquement interprétés, qui situe davantage le récit dans le mystère que dans l'émotion.
Les Inrockuptibles
L’impact de ce double opus du cinéaste japonais (...) se mesure véritablement après coup, quand, sorti de l’étrange état d’hypnose provoqué par la projection, des images, des visages vous hantent littéralement.
Positif
Lame de rasoir affinée, la mise en scène elliptique et la prestation des acteurs créent un suspense qui, pendant quatre heures et demi, a capté toute notre attention.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
[Les] faiblesses tardives ne font pas oublier l'ampleur peu commune d'une histoire à la fois terrifiante et bouleversante.
Metro
S'amusant à varier les genres dans chaque chapitre, le réalisateur tient le spectateur en haleine jusqu'au bout... ou presque. Le dernier pan de cette quête vengeresse et morbide est un poil bavard et tiré par les cheveux.
Première
Une version courte aurait pu être aisément montée en se concentrant sur les deux personnages les plus intéressants.