Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
[...] un portrait aussi somptueux qu'intelligent de celui qui fut la terreur des salons et le dégoût de toute l'Angleterre bien-pensante : Oscar Wilde.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Refusant les règles du biopic, Rupert Everett narre les dernières années d’Oscar Wilde, icône littéraire alors déchue. Non sans certains excès, ce récit mélancolique et lyrique séduit avant tout par le talent et la verve de son acteur-réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film poétique et émouvant.
Positif
par Baptiste Roux
Déjouant les pièges de l'embaumement du grand homme et de la reconstitution vitrifiée [...], le réalisateur-comédien livre avec une sincérité (non dénuée de quelques facilités) le portrait d'un roi déchu, personnage et narrateur du conte qui offre sa matrice narrative et son titre à la biographie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Superbe voyage dans le temps, The Happy Prince évoque aussi sans cesse l’horreur de l’humiliation. Ces adieux mélancoliques à la vie n’en font que plus forte impression.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Touchant et visuellement soigné.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Fidèle à Wilde, Rupert Everett l’est aussi à une reconstitution historique toute britannique, c’est-à-dire pleine d’ambiance dans les décors, les costumes et les lumières changeantes, selon que l’on se trouve à Londres, Naples ou Paris.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
Le film n'est pas toujours maîtrisé (les flash-back sont décousus), mais la conviction qui porte les images est puissante, et les faits sont bien restitués, notamment la fidélité de Robbie Ross, le premier boy de la vie de Wilde. Plus qu'un biopic, un manifeste contre l'homophobie et l'intolérance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Rupert Everett s’est indéniablement emparé de son sujet avec passion et respect. Pourtant, ces réelles qualités sont émoussées par un mélange d’afféteries et « d’arythmie » dans la construction dramatique du film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Après avoir triomphé en interprétant Oscar Wilde sur les planches londoniennes, Rupert Everett continue de s'identifier à l'écrivain et réalise lui-même un film d'une incontestable exigence artistique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si Rupert Everett ne se tire pas toujours des embûches qu'il a dressées sur son chemin, il triomphe quand il lui faut venir à bout de cette contradiction : The Happy Prince est le portrait d'un homme au talent exceptionnel privé de tous ses moyens de création.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si la mise en scène est d’un faible intérêt, le portrait de l’acteur en dandy victorien victime de l’intolérance de son époque et de et de ses propres démons confère au film une profondeur assez vertigineuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Sylvestre Picard
Le film diffuse une émotion et une mélancolie extrêmement touchantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Superbes couleurs, mise en scène théâtrale, parfois onirique, apparition de personnages truculents comme Beatrice Dalle en patronne de cabaret, The Happy Prince se soustrait aux contraintes du biopic en racontant les années de déchéance de Wilde, et non sa gloire à Londres. Ce qui le rend aussi agaçant qu’attachant. Well done, Rupert !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Critikat.com
par Laetitia Scherier
Partant sans doute d'une volonté de rendre hommage à l’une de ses idoles, le résultat se révèle davantage être un exercice narcissique entraîné par un scénario poussif à la structure sans originalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Nous avons eu du mal à nous passionner pour ce récit sans doute très documenté, mais qui, par la maladresse de son montage et l’autocentrage excessif d’un Rupert Everett grimaçant, a rendu l’expérience peu agréable.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La métamorphose physique est spectaculaire, mais le comédien cabotine dans ce drame esthétisant (des plans inspirés de toiles de Renoir), mais très théâtral et souvent complaisant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Si les entrelacs du récit donnent de l’épaisseur au film, l’interprétation outrée de Rupert Everett et le manque de finesse de l’ensemble ruinent le projet.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Libération
par Camille Nevers
"The Happy Prince" est une sorte de "Mort à Venise" loupé, plus pathétique encore, s’il se peut.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Rupert Everett était convaincu d’être un acteur capable d’incarner un grand auteur, et de pouvoir faire tenir un film sur sa seule interprétation. Il avait tort. Oscar Wilde méritait tellement mieux !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
[...] un portrait aussi somptueux qu'intelligent de celui qui fut la terreur des salons et le dégoût de toute l'Angleterre bien-pensante : Oscar Wilde.
Les Fiches du Cinéma
Refusant les règles du biopic, Rupert Everett narre les dernières années d’Oscar Wilde, icône littéraire alors déchue. Non sans certains excès, ce récit mélancolique et lyrique séduit avant tout par le talent et la verve de son acteur-réalisateur.
Ouest France
Un film poétique et émouvant.
Positif
Déjouant les pièges de l'embaumement du grand homme et de la reconstitution vitrifiée [...], le réalisateur-comédien livre avec une sincérité (non dénuée de quelques facilités) le portrait d'un roi déchu, personnage et narrateur du conte qui offre sa matrice narrative et son titre à la biographie.
Télérama
Superbe voyage dans le temps, The Happy Prince évoque aussi sans cesse l’horreur de l’humiliation. Ces adieux mélancoliques à la vie n’en font que plus forte impression.
Voici
Touchant et visuellement soigné.
Franceinfo Culture
Fidèle à Wilde, Rupert Everett l’est aussi à une reconstitution historique toute britannique, c’est-à-dire pleine d’ambiance dans les décors, les costumes et les lumières changeantes, selon que l’on se trouve à Londres, Naples ou Paris.
L'Obs
Le film n'est pas toujours maîtrisé (les flash-back sont décousus), mais la conviction qui porte les images est puissante, et les faits sont bien restitués, notamment la fidélité de Robbie Ross, le premier boy de la vie de Wilde. Plus qu'un biopic, un manifeste contre l'homophobie et l'intolérance.
La Croix
Rupert Everett s’est indéniablement emparé de son sujet avec passion et respect. Pourtant, ces réelles qualités sont émoussées par un mélange d’afféteries et « d’arythmie » dans la construction dramatique du film.
Le Figaro
Après avoir triomphé en interprétant Oscar Wilde sur les planches londoniennes, Rupert Everett continue de s'identifier à l'écrivain et réalise lui-même un film d'une incontestable exigence artistique.
Le Monde
Si Rupert Everett ne se tire pas toujours des embûches qu'il a dressées sur son chemin, il triomphe quand il lui faut venir à bout de cette contradiction : The Happy Prince est le portrait d'un homme au talent exceptionnel privé de tous ses moyens de création.
Les Inrockuptibles
Si la mise en scène est d’un faible intérêt, le portrait de l’acteur en dandy victorien victime de l’intolérance de son époque et de et de ses propres démons confère au film une profondeur assez vertigineuse.
Première
Le film diffuse une émotion et une mélancolie extrêmement touchantes.
Rolling Stone
Superbes couleurs, mise en scène théâtrale, parfois onirique, apparition de personnages truculents comme Beatrice Dalle en patronne de cabaret, The Happy Prince se soustrait aux contraintes du biopic en racontant les années de déchéance de Wilde, et non sa gloire à Londres. Ce qui le rend aussi agaçant qu’attachant. Well done, Rupert !
Critikat.com
Partant sans doute d'une volonté de rendre hommage à l’une de ses idoles, le résultat se révèle davantage être un exercice narcissique entraîné par un scénario poussif à la structure sans originalité.
La Voix du Nord
Nous avons eu du mal à nous passionner pour ce récit sans doute très documenté, mais qui, par la maladresse de son montage et l’autocentrage excessif d’un Rupert Everett grimaçant, a rendu l’expérience peu agréable.
Le Journal du Dimanche
La métamorphose physique est spectaculaire, mais le comédien cabotine dans ce drame esthétisant (des plans inspirés de toiles de Renoir), mais très théâtral et souvent complaisant.
Sud Ouest
Si les entrelacs du récit donnent de l’épaisseur au film, l’interprétation outrée de Rupert Everett et le manque de finesse de l’ensemble ruinent le projet.
Libération
"The Happy Prince" est une sorte de "Mort à Venise" loupé, plus pathétique encore, s’il se peut.
aVoir-aLire.com
Rupert Everett était convaincu d’être un acteur capable d’incarner un grand auteur, et de pouvoir faire tenir un film sur sa seule interprétation. Il avait tort. Oscar Wilde méritait tellement mieux !