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S'il doute d'avoir l'énergie pour poursuivre sa biographie dans un autre film, c'est une œuvre de jeune homme plein de sagesse que le cinéaste offre avec ce délicieux moment de cinéma à la saveur de biscuit sablé trempé dans du thé Earl Grey.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
À y regarder de plus prés, ses thèmes de prédilections sont bien présents, mais traités sous un ton léger comme pour mieux faire front à la violence du réel. Un souffle de liberté, d'impertinence et d'insoumission parcourt "Queen and Country" et fait ressentir la rébellion sous le rire.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
John Boorman, qui avait raconté dans “Hope and Glory” son enfance pendant la guerre, poursuit avec le récit de son adolescence, dans un beau film plein d’humour et de mélancolie.
Avec une liberté de ton et une invention formelle constante, Boorman (...) signe une oeuvre qui, derrière sa cocasserie et son refus de l'esprit de sérieux, dessine un subtil autoportrait du cinéaste en jeune homme. Un délice.
Un récit tout en ruptures de ton, entre blagues de bidasses et disgressions romantiques, qui livre en filigrane un témoignage de première main sur le moment où se sont cristallisées toutes les obsessions de son auteur (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Commencé dans la veine de M.A.S.H., le film s'achève sous l'influence mélancolique de Tchekhov : le vétéran Boorman peut prendre sa retraite sans rougir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le vétéran John Boorman évoque son adolescence, des instants de vie qui sont d’authentiques hymnes à l’amitié et à la jeunesse, auxquels il confère une certaine universalité poignante...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Il y a dans ce maniérisme un peu de l’essoufflement qu’on trouvait dans le dernier Wes Anderson, The Grand Budapest hotel. Trop collés à l’univers fantasmé, les paysages, le mobilier, les personnages et leurs costumes sont empêtrés, figés par un geste qui se refuse trop à les bousculer et les fait sombrer dans la morbidité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
Une petite merveille.
20 Minutes
S'il doute d'avoir l'énergie pour poursuivre sa biographie dans un autre film, c'est une œuvre de jeune homme plein de sagesse que le cinéaste offre avec ce délicieux moment de cinéma à la saveur de biscuit sablé trempé dans du thé Earl Grey.
CinemaTeaser
Le nouveau John Boorman charme par sa sincérité et sa générosité.
Culturopoing.com
À y regarder de plus prés, ses thèmes de prédilections sont bien présents, mais traités sous un ton léger comme pour mieux faire front à la violence du réel. Un souffle de liberté, d'impertinence et d'insoumission parcourt "Queen and Country" et fait ressentir la rébellion sous le rire.
Franceinfo Culture
Chronique tendre, humoristique mais profonde. A 81 ans, John Boorman a retrouvé ses 18 ans
La Croix
À 81 ans, [John Boorman] dépeint ses 18 ans avec une palette de registres contrastés, pour un film tendre et émouvant.
La Voix du Nord
Quelle fraîcheur, quelle jeunesse, quelle insolence ! Quelle allégorie à la gloire du cinéma ! Quelle intro ! Quelle chute !
Le Dauphiné Libéré
John Boorman, qui avait raconté dans “Hope and Glory” son enfance pendant la guerre, poursuit avec le récit de son adolescence, dans un beau film plein d’humour et de mélancolie.
Le Monde
Un film superbe et vigoureux dans ce lyrisme impertinent de ce cinéma britannique que l'on n'avait plus l'habitude de voir.
Le Parisien
John Boorman a attendu dix-sept ans pour renouer avec sa propre histoire dans le très réussi "Queen and Country" (...).
Les Inrockuptibles
Avec "Queen and Country", le cinéaste anglais signe à 81 ans une belle suite à "Hope and Glory".
Positif
Avec une liberté de ton et une invention formelle constante, Boorman (...) signe une oeuvre qui, derrière sa cocasserie et son refus de l'esprit de sérieux, dessine un subtil autoportrait du cinéaste en jeune homme. Un délice.
Première
Un récit tout en ruptures de ton, entre blagues de bidasses et disgressions romantiques, qui livre en filigrane un témoignage de première main sur le moment où se sont cristallisées toutes les obsessions de son auteur (...).
Télérama
Commencé dans la veine de M.A.S.H., le film s'achève sous l'influence mélancolique de Tchekhov : le vétéran Boorman peut prendre sa retraite sans rougir.
Le Journal du Dimanche
Une fresque souvent drôle, ravivant l’atmosphère particulière de l’Angleterre de l’après-guerre.
Les Fiches du Cinéma
Le vétéran John Boorman revient avec une comédie légère et touchante. Un film comme une longue caresse.
Ouest France
Une critique un peu entendue de l'institution militaire, certes, mais une nostalgie bien vécue qui se partage entre humour et tendresse.
aVoir-aLire.com
Le vétéran John Boorman évoque son adolescence, des instants de vie qui sont d’authentiques hymnes à l’amitié et à la jeunesse, auxquels il confère une certaine universalité poignante...
Cahiers du Cinéma
Les quelques bons moments de satire militaire ne sauvent pas le film de son académisme et de sa désuétude.
Critikat.com
Il y a dans ce maniérisme un peu de l’essoufflement qu’on trouvait dans le dernier Wes Anderson, The Grand Budapest hotel. Trop collés à l’univers fantasmé, les paysages, le mobilier, les personnages et leurs costumes sont empêtrés, figés par un geste qui se refuse trop à les bousculer et les fait sombrer dans la morbidité.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.