Avis : Mourir peut attendre - Page 5

Et voilà, après l’excellent Casino Royale, nous assistons, film après film, à la démolition de notre bon vieux James… Mission accomplie avec ce navet sidérant. Que dire de plus ? Vivement le prochain avec une poursuite en Renault Zoé et la scène ultime contre un méchant producteur de colza OGM pas bio…?
Bon, consolation tout de même, le prochain « Mission Impossible » arrive bientôt sur les écrans pour ceux qui cherchent un bon divertissement.
Une étoile pour le doudou lapin, meilleur acteur du film.

Bon film mais, il aurait pû être mieux. La première moitié est assez classique, avec quelques bonnes scènes d'action et un scénario prometeur. La seconde partie, sensée présenter une conclusion aux 5 derniers opus, tombe un peu à l'eau dû à quelques incohérences scenaristiques. Les acteurs jouent bien, mais certaines répliques tombent à côté.
Le rôle de Lashana Lynch, (la nouvelle agent 00) est presque inutile. Le personnage de méchant interprèté par Rami Malek (que j'attendais beaucoup dans ce rôle ) est décevant... Christopher Walz reste englué dans le manque de charisme de Blofeld (n'est pas Hannibal Lecter qui veut...).

Je dirais que c'est tout de même un bon épisode, bien rythmé avec des scènes de poursuite efficaces et de très beaux décors (la ville de Matera en Italie, la Jamaïque, les forêts Norvégiennes)...
Dommage pour le manque d'émotion à la fin du film, qui n'a pas du tout fonctionné avec moi...
En bref, mieux que Spectre, mais vraiment moins puissant que Skyfall qui reste à mes yeux le meilleur épisode de toute la saga....

Un peu long , oui , mais pas trop ... Comme d'hab , on ne comprend pas grand chose , c'est fait pour mais c'est lassant...Quant à Lea Seydoux , elle est absolument horripilante..Concernant l'apparition d'une femme noire pour remplacer 007 , apparemment il n'est pas convenable d'en dire quoi que ce soit , mais ça ne s'imposait pas vraiment....Pauvre Bond 007 mal en point pour répondre aux modes actuelles....

Je suis sorti du cinéma complètement écoeuré. Le plus mauvais James Bond de Daniel Craig que j'adore par dessus tout.
Que dire ? Action quasi absente et quand il y en a c'est nul à crever surtout les milliers de fois où on tire sur James et qu'on le rate à chaque fois. Genre 10 mecs avec des mitraillettes en plein milieu du couloir ratent leur cible. Quelle tristesse, quelle déception. Le scénario ? Pas très bon. La réalisation catastrophique. Y'a franchement des moments où il n'y a ni queue ni tête. Et l'histoire d'amour avec Léa Seydoux pffffff. Franchement elle le fait pas la meuf, c'est pas sa faute mais elle fait pas le poids face à Eva Green son premier et seul vrai amour. Je suis vraiment plus que déçu même par la fin qu'on a voulu trop dramatique à mon sens. Je suis triste je vous jure

On l'aura attendu, ce fameux James Bond ! Aussi, impossible de ne pas foncer à l'avant-première, histoire de rattraper le temps perdu, et autant le dire de suite : on a été agréablement surpris. On avait peur de la durée du film (2h45) mais on ne s'est pas ennuyé, souvent aidé par la musique détonante de Hans Zimmer (au top !) et par des cascades hallucinantes (surtout dans l'ouverture), mis à part quelques petites longueurs ponctuelles (pas bien méchantes). En parlant de méchant, celui de No Time To Die est l'un des nombreux points qu'on a adoré : ce vilain qui a visiblement un dermato peu doué et qui a un penchant malsain pour les petites filles (et les plantes... pourquoi pas), un personnage timbré et d'autant plus dangereux comme on les aime (surtout joué par Rami Malek, très à l'aise). Face à lui, Daniel Craig tire sa révérence à la licence James Bond de la plus belle des façons qui soit (la fin nous en a mis plein les yeux : spoiler: ce feu d'artifice mortel, doudou de sa fille accroché à lui, et derniers mots "I know." à la Han Solo...
On n'aurait pas imaginé mieux. Une bien belle scène). Léa Seydoux est toujours bien là, avec son sourire étincelant (on rigole), mais aussi une nouvelle venue qui a fait craquer toute la salle : spoiler: la fille de James, dont le beau regard bleu est désarmant
. On a aussi apprécié revoir - même rapidement - Christoph Walz, dans son nouveau Stannah dernier cri, et le petit coup de cœur que l'on a eu est aussi pour un second rôle : Ana de Armas. Si les scénaristes pensent réellement un jour faire un 007 au féminin (ici, il s'agit juste d'un agent féminin qui occupe le poste de Bond après qu'il a pris sa retraite, et spoiler: lui rend son matricule dès sa reprise de fonction
... La ferveur "remplacement politique et bienpensant" qui a déferlé sur les réseaux sociaux dès l'image du film qui le montre - sortie du contexte - était donc inutile) on verrait bien Ana de Armas, tant elle nous a tapé dans l’œil durant les trop courtes scènes où elle apparaît. En revanche, on se passera allègrement de Lashana Lynch dans ce rôle, comme elle n'y apporte aucun charisme ni crédibilité (la vraie déception de cet opus). Le montage des scènes d'action est pour une fois bien exécuté (on se rappelle encore de Quantum of Solace...), et revient un peu dans l'esprit du brillant Casino Royale. Le générique de début est visuellement excellent (on se perd dans ces métonymies avec plaisir, presque hypnotisé par l'enchaînement), malgré sa chanson, on dira simplement que l'on n'est pas fan du tout de ce tube de Billie Eilish (une chanson qui manque de "gueule" pour un James Bond). Au final, ces adieux de Craig à son rôle-titre sont très honnêtes et bien pensés, avec certes quelques baisses de tensions (pas dramatiques pour autant), mais avec une Ana de Armas qu'on a déjà hâte de revoir, une musique et un montage au top, un méchant Rami Malek qu'on a adoré (on lui offrira une orchidée et une crème de nuit), et une scène de fin à la hauteur du héros. "I know."

Un final retentissant qui aurait gagné à être écourté d'une vingtaine de minutes mais remplit pleinement son office de divertissement populaire.
La critique complète sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/

Voilà près de 60 ans que le personnage de Ian Fleming a conquis le grand écran. Tantôt avec panache, tantôt avec une rigueur millimétrée, la saga de la production EON aura vu passer six interprètes, dont le dernier retiendra notre attention. Il s’agit d’une tragédie en cinq actes, qui a fortement chamboulé les codes de l’espion malicieux, délicieux, érotique et collectionnant autant que possible les amantes que les voitures et les gadgets de luxe. Celui qui préfère ses cocktails « au shaker, pas à la cuillère » est pourtant aussi attendu que redouté. L’audace reste la bienvenue, c’est que promettait l’ère Daniel Craig, qui touche à sa fin. Le fil rouge est tenu et maintient un degré d’intérêt pour une débauche à présent mesurée, mais qui laissera plus de place à un drame intimiste et amoureux. Le dernier cadeau pour l’espion le l’on aimait, c’est une sortie propre, déchirante et explosive.

Le réalisateur américain, Cary Joji Fukunaga, et auteur du magnifique « Sin Nombre » a suffisamment de matière à rendre hommage au personnage, mais surtout à son symbole, qui continue de diviser les puristes littéraires et les cinéphiles, avides d’expériences. « Casino Royale » nous a déjà fait tourner la tête, avant de prétendre à une sensation émotionnelle, que l’on n’avait pas ressenti depuis « Au Service Secret De Sa Majesté ». « Quantum Of Solace » a ensuite été maladroit dans son désir de vengeance, puis « Skyfall » a su panser les plaies passées du héros et « Spectre » en venu gâcher la fête, en sous-exploitant amèrement son méchant emblématique, ses enjeux et ses thématiques. « Mourir Peut Attendre », ou plutôt « No Time To Die » joue sur l’attente et la fatalité du temps, qui écrase les Hommes et leurs émotions. Mais il aura beau se démener, il traîne quelques mêmes défauts du précédent opus, tout cela éparpiller dans ce 25e (très) long-métrage.

Il ne s’agit plus seulement d’action pure et dure, James Bond saigne, souffre et vieillit. Craig a su apporter cette touche de subtilité et de tendresse qu’aucun autre interprète n’aurait eu le temps, ni l’opportunité de donner. Oui, il quitte le navire avec les honneurs. Mais avant cela, il est important de se remémorer le peu de choses qu’il nous reste après la projection, dont quasiment toutes les cases des gimmicks ont été cochées. Ce n’est pas facile d’en finir, mais l’on y met les moyens, au moins pour la double séquence pré-générique, donnant le La et haussant le ton d’une sincère mélancolie. La sublime chanson d’Eilish viendra ensuite accentuer le mystère, jusqu’à ce que l’on nous jette brutalement dans un labyrinthe de convenances, à en perdre du rythme et l’adrénaline qu’on nous aura généreusement injectée dans les premières minutes. Hans Zimmer ne parvient pas non plus à renouveler sa partition et manque d’insuffler de la tension, où il en faut. Cela ne veut pas dire pour autant que l’on remet la créativité au placard, bien au contraire. Cependant, les quelques rares tentatives de surprendre chutent aussi vite qu’ils s’envolent.

Nous revoilà donc au point de départ. Bond est au bord de la rupture et de sa retraite, tandis que d’autres personnages secondaires viennent se greffer à son aventure. Et ce sera le casting féminin qui montera d’un cran, en nous dévoilant une pétillante Ana De Armas et une prometteuse Lashana Lynch en agent double zéro. Hélas, la première n’intervient qu’une poignée de minutes, tandis que l’autre tente d’exister, même en tant que faux-rivale. Ce décalage est d’autant plus flagrant lorsque l’on prend au premier degré les apparitions comiques et forcées du scientifique russe. Et c’est un problème qui suscite le désarroi, car ce constat est extrapolable à une fusillade dans les bois et à la pseudo-enquête du MI6 afin de déterminer le caractère criminel d’une menace mondiale. Ainsi, Rami Malek ne campe pas un vilain à la hauteur de son arme virale, car elle servira davantage ce bon vieil agent aux yeux bleus. Christoph Waltz aurait presque la meilleure emprise psychologique, si le dénouement ne rehaussait pas le niveau de cet ultime chapitre.

Une super-base isolée et de la bagarre en plan-séquence, ce donjon est le lieu idéal qui justifiera les galons d’un double zéro engagé. Mais ce ne sera pas seulement au nom de la couronne qu’il répondra. Léa Seydoux redonne de la chaleur à sa Madeleine, aux secrets qui n’ont pas vraiment lieu d’être, du moins pas de cette façon. C’est en arborant un écusson d’amour et de mort qu’il rejoint sa douce, chose qu’on lui avait déjà amputée avec Vesper (Eva Green). Mais alors que reste-t-il du personnage ? On l’évoque déjà comme l’ombre de lui-même, comme un paria. Mais le culot vient de ceux qui assument cette direction que l’on impose au héros, déjà en fin de parcours. La surcouche est posée. Il fallait espérer, douter et oser. Et quand bien même le visage de Bond changera, il reviendra toujours pour nous rappeler que « we have all the time in the world ».

Le rythme,l’écriture,le réalisateur rien ne va dans ce film.
C’est pas trop un James Bond,ça en a ni le goût ni l’odeur.

Désolé Daniel même si je t’aime bien,dans ce film tu es plus James que Bond^^

Un film rempli de secrets, de révélations sous une mise en scène qui sublime la beauté de l'action et de la tension. Rami Malek, Daniel Craig et Léa Seydoux portent se film avec une prouesse incroyable ! On est emporté, du début jusqu'à la fin et on ne voit pas le temps passer !

Je suis dégoûté moi qui suis un big fan hardcore de Casino Royale,j’ai été voir ce film que j’attendais beaucoup parce que je pense que Daniel Craig est l’un des meilleurs 007 et c’est une véritable douche froide pour moi.
Déjà les premières minutes sont en dessous de tout les films précédent et plus le film avance plus on tombe dans le désaveu complet avec une histoire sans queue ni tête qui tombe bêtement dans le sentimentalisme forcé et malhonnête jusqu’à pisser sûr Bond à la toute fin.
J’avais bien aimé Skyfall et Spectre mais avec Mourir peut attendre j’ai lâché la rampe.
Merci à Craig peut-être mon acteur préféré pour les belles années 007 qu’il nous as fait vivre mais là c’est un presque navet.

A classer dans les comédies romantiques, Bond n'est plus Bond, le plus mauvais de tous les films de la saga, d'une niaiserie pathétique, la saga a définitivement perdu tout ce qui faisait son charme et sa drôlerie , pauvre Fleming, le prochain Bond sera sans doute végétarien , non violent, père de 6 enfants, roulera en vélo électrique et ne consommera pas d'alcool ou alors du panaché.

Fan de 007 depuis très longtemps, j'avoue avoir du mal avec la tournure que prend notre super agent depuis quelques films.
Daniel Craig est pourtant génial dans la peau de James Bond : charismatique, ténébreux, puissant, efficace, intelligent.
Le "007 Spectre" de 2015 m'avait déjà légèrement déçu à l'époque, ce dernier volet pour Mister Craig ne s'améliore pas et sombre peu à peu dans un mélo mielleux s'éloignant de plus en plus du personnage emblématique de Ian Fleming.
Certes, notre société évolue et la saga James Bond doit aussi s'adapter à tous ces changements, mais je n'adhère pas vraiment à cette sorte de sentimentalisme dans laquelle s'engouffrent les scénaristes depuis quelques années.
Une surprise "amusante", une fin nullissime, quelques scènes d'action excellentes, beaucoup de bavardages inutiles et un super méchant bien trop lisse : c'est le cocktail très mitigé de cet épisode numéro 25 de notre double zéro adoré, et sincèrement, le voir peut attendre !
Site CINEMADOURG.free.fr

Le dernier James Bond avec Daniel Craig, c'est mon acteur de James Bond préféré, ce rôle lui allait à merveille. Concernant ce dernier film, je l'ai adoré et il à combler toutes mes attentes, tous les acteurs sont très bon, l'histoire est très bien et une bonne dose d'action, je n'ai pas réussi à m'embêter une seule seconde, franchement pas déçu.

Honnêtement je n'attendais rien de ce James Bond après avoir lu les critiques. Et même en sachant que ça n'allait pas forcément être le meilleur Bond, j'ai été extrêmement déçu. Scénario vraiment basique et incohérent, méchant pathétique et personnages secondaires sans intérêt. Même James paraît devoir meubler à force de dialogues creux et de sans intérêt. Passez votre chemin.

Pour faire le mauvais jeu de mots, double 00 pointé. C'est quoi cet daube. On touche le fond, heureusement que c'est le dernier Craig.
spoiler: On retrouve ici un Bond planplan amoureux et même papa !!! Dans ce mélo drame mi figue mi raisin.... Un Bond qui meurt à la fin même, on est plus à ça près....

Tous ce que n'est pas James Bond au final.
Enfin si vous êtes un puriste, passer votre chemin, cela reste que mon avis 😁