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39 titres de presse
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Closer
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GQ
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
CinemaTeaser
Dans un paysage où les ambitions du genre super-héroïque apparaissent souvent sinistrées, Matt Reeves se saisit de l’icône Batman en un geste radical et imposant.
Closer
Robert Pattinson livre une performance bluffante, à la hauteur de celles de Paul Dano génialement malsain en Riddler et de Zoë Kravitz, sulfureuse et sublime en Catwoman.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Matt Reeves réussit à renouveler le mythe de Batman et à l’éloigner de ses avatars plus anciens et plus endurcis. Un grand film, l’un des plus beaux et émouvants de la franchise.
Filmsactu
Reeves a réussi l’exploit de réaliser le meilleur Batman depuis The Dark Knight, donnant un vrai coup de polish à un univers et des personnages vus et revus, explorant les zones sombres de Gotham d’une façon encore jamais vue.
GQ
The Batman de Matt Reeves prouve qu’à l’ère de la série, le blockbuster peut encore tout se permettre au cinéma. Un film aussi intransigeant que majestueux.
IGN France
Avec un casting cinq étoiles et convaincant, une histoire sombre ancrée dans une Gotham plus réaliste et crue, Matt Reeves délivre l'un des meilleurs films Batman à ce jour.
Le Dauphiné Libéré
(...) comme Joaquin Phoenix a changé le Joker, dans Joker (2019) de Todd Phillips, Robert Pattinson invente une nouvelle version originale de Batman dans The Batman de Matt Reeves. Robert Pattinson est un Batman sombre, un Bruce Wayne névrosé, un héros tragique magnifique.
Le Figaro
(...) Matt Reeves propose une version sombre et poisseuse de Batman. Il arrive après le gothique Tim Burton, le navrant Joel Schumacher et l’intouchable Christopher Nolan, mais ne se contente pas de repasser les plats.
Mad Movies
Il n'y a à ce titre rien de révolutionnaire dans la démarche de Matt Reeves, mais la facilité avec laquelle il parvient à raccorcher son oeuvre aux wagons du Parrain, d'À cause d'un assassinat, de Chinatown, de Marathon Man ou de Taxi Driver, tout en assurant avec générosité son cahier des charges de blockbuster moderne, force la respect.
20 Minutes
Robert Pattinson surprend par la noirceur de son interprétation dans « The Batman ». Il est étonnant face à Zoë Kravitz dans ce néopolar qui renouvelle la franchise.
CNews
La réalisation est remarquable, tant sur le fond, avec un scénario solide qui tient en haleine le spectateur grâce à de multiples rebondissements, que dans la forme, avec des prises de vues resserrées permettant une plus grande proximité avec chaque personnage.
Cahiers du Cinéma
Reeves ne cède donc jamais à l’abstraction facile et aux cabrioles célestes prisées par la concurrence. The Batman est un film tellurien, attelé à l’exploration d’une carte foisonnante mais restreinte, là où les personnages de Snyder ne cessent de s'engouffrer dans des dimensions parallèles infinies et interchangeables.
Ecran Large
The Batman est bien l’œuvre bouleversante que l'on n'espérait plus. Sombre, décadent et d'un nihilisme total, le film de Matt Reeves déploie une relecture désespérée d'un Chevalier Noir plus politique que jamais. Son casting parfait et sa mise en scène classieuse fournissent l'écrin impérial d'un blockbuster immanquable.
Franceinfo Culture
Gotham est une ville nocturne toujours pluvieuse, désenchantée. Son image recoupe la tendance "dark" qu’ont pris les films de superhéros, Marvel ou DC, depuis une dizaine d’années. Matt Reeves n'y déroge pas, mais parvient à donner de nouvelles couleurs au "Chevalier noir", en creusant le personnage, sans jamais toutefois négliger l’action.
L'Ecran Fantastique
Claustrophobe, nocturne de bout en bout, [...] le film, outre la virtuosité et le sens du suspense de son réalisateur, réactive le problème toujours plus actuel de la violence, de la culpabilité, de la justice, et la façon de la rendre.
LCI
Si The Batman captive de bout en bout, alors qu’il dure 3 heures et des poussières, c’est en partie grâce à la qualité de ses interprètes qui parviennent à nous rejouer un refrain connu comme certains chanteurs recyclent un vieux classique pour en faire un tube post-moderne.
La Voix du Nord
Pas de déluge high-tech, juste des gadgets bricolés et une Batmobile piquée à Mad Max. Nous sommes bien dans la veine du Joker de 2019.
Le Journal du Dimanche
Mention spéciale à l’excellent Paul Dano alias The Riddler, qui exécute encore une performance saisissante d’ambiguïté et installe un malaise durable.
Le Journal du Geek
Dans la lignée de Joker, sans pour autant l’égaler, The Batman est un tour de force visuel pour Warner Bros et DC. Véritable hommage au film noir et à l’univers des comics, le film de Matt Reeves est néanmoins empêché par une narration qui traîne parfois en longueur. Avec Robert Pattinson, la chauve-souris a définitivement pris son envol (...).
Le Parisien
Un retour aux sources sombre, volontairement bricolé sur le plan visuel, et très réussi.
Le Point
Un intelligent retour aux sources.
Les Fiches du Cinéma
Matt Reeves réinvente magistralement le Chevalier noir, au fil d’une enquête sombre et dense, qui n’a rien de super-héroïque.
Les Inrockuptibles
Tendu, à vif, enserré de contradictions, Robert Pattinson figure un Batman en pleine déconstruction analytique de lui-même, dont le drame consiste à vouloir apporter aux autres ce que personne ne lui demande et qu’il n’a peut-être pas.
Libération
The Batman est tellement un film, à croire que c’est encore possible, il déchaîne tant de ténèbres, les sature de tant de désir, qu’on oublie de quoi il retourne – un autre film de super-héros – on pense Murnau, Feuillade, Tourneur, tout le cinéma des débuts comme cinéma des crépuscules, l’horreur du monde comme expérience.
Paris Match
Réinventer une icône déjà magnifiée par Tim Burton ou Christopher Nolan, ne voilà pas la moindre des qualités de Matt Reeves. Son Batman est poisseux et sombre dans un film dantesque qui dissèque les travers d’un super-héros dépressif, campé par un Pattinson minimaliste.
Positif
Après moult adaptations, il faut se rendre à l’évidence : cette dernière, signée Matt Reeves, est de loin la meilleure depuis Batman, le défi (Batman Returns, 1992) de Tim Burton et bien supérieure à la série iconique de Christopher Nolan. Pourquoi ? Simplement, parce que l’interprétation de Robert Pattinson écrase toutes celles de ses prédécesseurs.
Public
On est immédiatement emporté dans un univers aussi sombre que fascinant.
Rolling Stone
The Batman est une longue, très longue ode dédiée à son personnage, présent dans quasi tous les plans du film. Autant le dire : Robert Pattinson incarne le chevalier noir à la perfection.
Télé 7 Jours
Un polar long, émouvant et spectaculaire.
aVoir-aLire.com
Fort d’un scénario en béton armé, d’un casting trois étoiles et d’une réalisation au rasoir, The Batman est sans aucun doute le blockbuster le plus anti-blockbuster depuis Mad Max : Fury Road.
L'Obs
A l’instar du film, enquête policière sans intrigue, marche funèbre rattrapée par sa fonction de blockbuster, dont l’ensemble, démesurément long (2h55 !), est inférieur à la somme des parties. Impossible de ne pas admirer (l’image, l’atmosphère), difficile de se sentir concerné (par les personnages, la parabole éventée). Le conte y est, pas la voix.
La Septième Obsession
C’est avant tout un film d’enquête, un film « au travail », qui échappe si bien aux pièges d’un genre saturé qui a donc encore peut-être quelques beaux jours devant lui.
Les Echos
La chauve-souris de Gotham City est de retour sous les traits de Robert Pattinson. Matt Reeves signe une fresque à la plastique monochrome impressionnante, sur un scénario exagérément étiré.
Ouest France
Visuellement, The Batman est un tour de force, jouant parfaitement de la métaphore de l'ombre de la lumière qui agite le héros. C'est moins convaincant du côté du scénario (...).
Première
Plus que dans ses démonstrations de force ou son entêtement à ne jamais ressembler à ce qui l’a précédé, c’est dans ces interstices un peu trop rares où The Batman est à son meilleur : quand il se décide enfin à montrer l’agitation intérieure de son héros au lieu de la théoriser.
Télérama
(...) fini le tandem Zack Snyder et Ben Affleck, peu concluant, place à un nouveau ticket, nettement plus gagnant, Matt Reeves et Robert Pattinson. Qui mieux que ce dernier pouvait coller à l’univers gothique du superhéros ? Ce rôle paraît fait pour lui. Trop peut-être.
Critikat.com
Mû par une inspiration graphique parfois remarquable, The Batman reste trop long et inégal pour pleinement convaincre.
Le Monde
Le tout émaillé du sempiternel roman des origines batmanien et doté de scènes d'action de bonne facture (...). Dans cette partition sans grande surprise, Robert Pattinson s'essaie à trouver sa signature.
Sud Ouest
Le film embrasse large : un puzzle à la « Seven », des cascades impressionnantes, une dramaturgie à rallonge et des enjeux humains version XXL.