Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Première
par Frédéric Foubert
Un cortège de visions folles, d'embardées opératiques et de décrochages sensuels, à la fois hanté par la littérature et totalement électrisant, sans aucun équivalent.
Télérama
par Pierre Murat
Fellini : son ombre plane sur "La Grande Bellezza" ; non comme modèle à imiter, mais comme source d'inspiration. (...) Sans jamais perdre de son ironie, Paolo Sorrentino passe insensiblement, irrésistiblement, de la démesure à la retenue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Sandy Gillet
Superbe film dépressif sur la putréfaction de la société romaine post décadente dans la droite lignée de Fellini. Et Toni Servillo y est juste génial.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
A la fois pesant, énervant, séduisant et magique, ce film est à l'image de Rome et de son personnage central : vampirisant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Avec ce sixième film, chronique délirante de la comédie humaine sur fond de vide spirituel, l'inventif et prolixe Paolo Sorrentino s'impose comme l'héritier de Fellini et des grands cinéastes italiens...
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Gaell Bedier
Paolo Sorrentino revient avec une tragicomédie all'italiana, outrancière, décadente, grave, drôle et mélancolique à la fois, sorte de requiem pour et contre l'art, Rome, l'Italie...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Un film où Paolo Sorrentino, après sa bizarre escapade américaine (...), rend un somptueux hommage à ses aînés, sans s'intimider, sans non plus les plagier, tel un fils reconnaissant et surdoué.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Alain Spira
Ce film ambitieux - trop, jugeront certains - vous réserve des scènes d'une beauté et d'une singularité époustouflantes. Quel voyage que cette "Grande beauté"! La beauté du diable...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Satire de la décadence et confession intime, ce film ensorcèle par son élégance, émeut par son sentiment.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Les vacheries abondent dans ce vertige immodeste (Sorrentino, selon ses détracteurs, ne serait qu’un poseur), un poil long mais esthétiquement galvanisant d’un cataclysme post berlusconien, qui dépasse de loin le seul spectre italien.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Bruno Rit
L’italien Paolo Sorrentino présente une vision critique et inquiétante de son pays avec "La Grande Belleza", film sublime mais déséquilibré.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Jean Roy
On a là une déclaration d’amour au cinéma italien, mais sans doute encore plus à la ville de Rome (...). L’unique problème de l’œuvre est le poids écrasant de ces références, qui alourdissent cet essai au lieu de l’aider à décoller.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Franck Nouchi
Sans être un chef d'oeuvre, "La Grande Bellezza" s'inscrit dans la lignée des films romains mélancoliques (...). Il y a là un petit côté "Bûcher des vanités" qui donne en définitive au film une humanité dont on le croyait exempt au début.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Que Sorrentino ait souhaité adresser un ample coup de chapeau à ses devanciers illustres, (...) voilà qui s'entend et se voit, mais au cinéma comme ailleurs l'hommage n'est appréciable que s'il vient en sus, ou à côté, et en aucun cas ne peut prétendre donner à l'oeuvre sa raison d'être et sa signification.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Bruno Icher
Si le projet de Sorrentino est construit intégralement sur une nostalgie qu’on imagine douloureuse, l’usage qu’il en fait est trop inégal pour donner au film une architecture séduisante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"La Grande Bellezza" a pourtant vite fait de liquider l’héritage fellinien au profit d’une mégalomanie et d’une bêtise dignes des précédents films. (…) Voilà où se situe le niveau intellectuel d’un film de Sorrentino : loin des hauteurs célestes, à deux doigts de la plus capiteuse des séries Z.
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Difficile de trouver le moindre éclat dans ce fatras prétentieux narrant la décadence d’un super mondain revenu de tout, tant la complaisance du cinéaste pour sa matière première confisque tout élan de remise en cause, pourtant raison d’être officielle du film.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Première
Un cortège de visions folles, d'embardées opératiques et de décrochages sensuels, à la fois hanté par la littérature et totalement électrisant, sans aucun équivalent.
Télérama
Fellini : son ombre plane sur "La Grande Bellezza" ; non comme modèle à imiter, mais comme source d'inspiration. (...) Sans jamais perdre de son ironie, Paolo Sorrentino passe insensiblement, irrésistiblement, de la démesure à la retenue.
Ecran Large
Superbe film dépressif sur la putréfaction de la société romaine post décadente dans la droite lignée de Fellini. Et Toni Servillo y est juste génial.
Elle
A la fois pesant, énervant, séduisant et magique, ce film est à l'image de Rome et de son personnage central : vampirisant.
La Croix
Avec ce sixième film, chronique délirante de la comédie humaine sur fond de vide spirituel, l'inventif et prolixe Paolo Sorrentino s'impose comme l'héritier de Fellini et des grands cinéastes italiens...
Le Point
Voir la critique sur le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Paolo Sorrentino revient avec une tragicomédie all'italiana, outrancière, décadente, grave, drôle et mélancolique à la fois, sorte de requiem pour et contre l'art, Rome, l'Italie...
Marianne
Un film où Paolo Sorrentino, après sa bizarre escapade américaine (...), rend un somptueux hommage à ses aînés, sans s'intimider, sans non plus les plagier, tel un fils reconnaissant et surdoué.
Paris Match
Ce film ambitieux - trop, jugeront certains - vous réserve des scènes d'une beauté et d'une singularité époustouflantes. Quel voyage que cette "Grande beauté"! La beauté du diable...
Positif
Satire de la décadence et confession intime, ce film ensorcèle par son élégance, émeut par son sentiment.
Studio Ciné Live
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TéléCinéObs
Les vacheries abondent dans ce vertige immodeste (Sorrentino, selon ses détracteurs, ne serait qu’un poseur), un poil long mais esthétiquement galvanisant d’un cataclysme post berlusconien, qui dépasse de loin le seul spectre italien.
aVoir-aLire.com
L’italien Paolo Sorrentino présente une vision critique et inquiétante de son pays avec "La Grande Belleza", film sublime mais déséquilibré.
L'Humanité
On a là une déclaration d’amour au cinéma italien, mais sans doute encore plus à la ville de Rome (...). L’unique problème de l’œuvre est le poids écrasant de ces références, qui alourdissent cet essai au lieu de l’aider à décoller.
Le Monde
Sans être un chef d'oeuvre, "La Grande Bellezza" s'inscrit dans la lignée des films romains mélancoliques (...). Il y a là un petit côté "Bûcher des vanités" qui donne en définitive au film une humanité dont on le croyait exempt au début.
L'Express
Voir le site de L'Express
L'Obs
Que Sorrentino ait souhaité adresser un ample coup de chapeau à ses devanciers illustres, (...) voilà qui s'entend et se voit, mais au cinéma comme ailleurs l'hommage n'est appréciable que s'il vient en sus, ou à côté, et en aucun cas ne peut prétendre donner à l'oeuvre sa raison d'être et sa signification.
Libération
Si le projet de Sorrentino est construit intégralement sur une nostalgie qu’on imagine douloureuse, l’usage qu’il en fait est trop inégal pour donner au film une architecture séduisante.
Cahiers du Cinéma
"La Grande Bellezza" a pourtant vite fait de liquider l’héritage fellinien au profit d’une mégalomanie et d’une bêtise dignes des précédents films. (…) Voilà où se situe le niveau intellectuel d’un film de Sorrentino : loin des hauteurs célestes, à deux doigts de la plus capiteuse des séries Z.
TéléCinéObs
Difficile de trouver le moindre éclat dans ce fatras prétentieux narrant la décadence d’un super mondain revenu de tout, tant la complaisance du cinéaste pour sa matière première confisque tout élan de remise en cause, pourtant raison d’être officielle du film.