Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Elle
par Nina Boutléroff
On y va en couple ou entre amis, pour s’évader et déambuler dans les ruelles new yorkaises avec Lilas, qui aurait pu rencontrer au gré de ses pérégrinations les héroïnes un peu fofolles de la série "GIRLS".
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Une attention toute particulière a été portée aux musiciens dans cette histoire. C'est un lieu de respiration du film, l'autre point fort avec cette réalisation bifide d'un couple, dans la vie comme derrière la caméra.
L'Obs
par Jérôme Garcin
C'est drôle, libératoire, émouvant, follement inventif et, jusque dans la BO loufoque, tellement américain - on pense à un mix de "Frances Ha", de Noah Baumbach, et de la série "Girls", de Lena Dunham - qu'on peine à croire que ce couple de réalisateurs est français et qu'il fait ici ses débuts.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
D’une fraîcheur revigorante, le film alterne énergie survitaminée de la ville et délicieux moments de flottement, d’errance. Il marie avec autant de succès scènes réalistes, parfois prises sur le vif, et séquences oniriques qui dévoilent des aspects plus secrets de ses modestes héros. Un joli film au charme fou.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film où le rêve innerve en permanence la réalité, légère comme une bulle, agréable comme elle.
Le Parisien
par Alain Grasset
Une petite pépite que ce film à la fois charmant, drôle, touchant par moments et aux dialogues rafraîchissants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Benjamin Locoge
Avec "Swim Little Fish Swim", Lola Bessis et Ruben Amar signent un film attachant, entre errance existentielle, crise d'adolescence tardive et moments de grâce musicale.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Tendre, mélancolique et diablement attachant, ce feel-good movie révèle un vrai visage de cinéma - Lola Bessis (aussi coréalisatrice avec son compagnon Ruben Amar) – et dit bien le hiatus entre le désir, infantile et beau, de laisser l’art et l’humain guider sa vie, et la réalité d’une société en quête de performance et d’efficacité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Ce petit film indépendant s’inscrit à merveille dans la mouvance des films de Julie Delpy et du Mumblecore en conservant une fraîcheur de ton revigorante. Une belle découverte.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Sandrine Marques
"Swim Little Fish Swim" s'enracine dans un New York arty. Mais les maladresses d'écriture et de réalisation abondent, de sorte que la chronique, bien fragile, n'a pas grand-chose de mémorable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Les Français Lola Bessis et Ruben Amar signent un premier film joyeux, une ode légère à la création indépendante et à l'anticapitalisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"Swim Little Fish Swim", réalisé à quatre mains par Lola Bessis et Ruben Amar, est un peu plus charpenté et consistant, mais peine à dépasser le carnet de croquis bon enfant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Hendy Bicaise
Le film, lui, tâtonne encore. Ses ruptures de ton et sa fraîcheur, bien qu’appréciables, ne sauraient masquer l’incapacité des deux auteurs à égaler le degré de liberté et de créativité revendiquées par leurs propres personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Guillemette Odicino
On est sous le charme de cette comédie très arty, sensible et douce, où les fillettes, d'ailleurs, se prénomment Arc-en-ciel...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On sourit parfois aux maladresses de ce compositeur inadapté socialement et qui ne veut pas faire de concessions artistiques, mais il y a quelque chose d'exaspérant dans les malheurs de cette pauvre petite fille riche qui joue les artistes fauchés en robe dernier cri. N'est pas Woody Allen qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Alain Masson
La chose est d'une modernité niaise et vieillotte (...) Le seul sujet d'étonnement, dans ce spectacle décousu, c'est la présence d'Anne Consigny. Mais l'atmosphère et le coloris ont par instants une tonalité ingénue qui émousse l'agacement.
Elle
On y va en couple ou entre amis, pour s’évader et déambuler dans les ruelles new yorkaises avec Lilas, qui aurait pu rencontrer au gré de ses pérégrinations les héroïnes un peu fofolles de la série "GIRLS".
L'Humanité
Une attention toute particulière a été portée aux musiciens dans cette histoire. C'est un lieu de respiration du film, l'autre point fort avec cette réalisation bifide d'un couple, dans la vie comme derrière la caméra.
L'Obs
C'est drôle, libératoire, émouvant, follement inventif et, jusque dans la BO loufoque, tellement américain - on pense à un mix de "Frances Ha", de Noah Baumbach, et de la série "Girls", de Lena Dunham - qu'on peine à croire que ce couple de réalisateurs est français et qu'il fait ici ses débuts.
La Croix
D’une fraîcheur revigorante, le film alterne énergie survitaminée de la ville et délicieux moments de flottement, d’errance. Il marie avec autant de succès scènes réalistes, parfois prises sur le vif, et séquences oniriques qui dévoilent des aspects plus secrets de ses modestes héros. Un joli film au charme fou.
Le Dauphiné Libéré
Un film où le rêve innerve en permanence la réalité, légère comme une bulle, agréable comme elle.
Le Parisien
Une petite pépite que ce film à la fois charmant, drôle, touchant par moments et aux dialogues rafraîchissants.
Paris Match
Avec "Swim Little Fish Swim", Lola Bessis et Ruben Amar signent un film attachant, entre errance existentielle, crise d'adolescence tardive et moments de grâce musicale.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Tendre, mélancolique et diablement attachant, ce feel-good movie révèle un vrai visage de cinéma - Lola Bessis (aussi coréalisatrice avec son compagnon Ruben Amar) – et dit bien le hiatus entre le désir, infantile et beau, de laisser l’art et l’humain guider sa vie, et la réalité d’une société en quête de performance et d’efficacité.
aVoir-aLire.com
Ce petit film indépendant s’inscrit à merveille dans la mouvance des films de Julie Delpy et du Mumblecore en conservant une fraîcheur de ton revigorante. Une belle découverte.
Le Monde
"Swim Little Fish Swim" s'enracine dans un New York arty. Mais les maladresses d'écriture et de réalisation abondent, de sorte que la chronique, bien fragile, n'a pas grand-chose de mémorable.
Les Fiches du Cinéma
Les Français Lola Bessis et Ruben Amar signent un premier film joyeux, une ode légère à la création indépendante et à l'anticapitalisme.
Les Inrockuptibles
"Swim Little Fish Swim", réalisé à quatre mains par Lola Bessis et Ruben Amar, est un peu plus charpenté et consistant, mais peine à dépasser le carnet de croquis bon enfant.
Première
Le film, lui, tâtonne encore. Ses ruptures de ton et sa fraîcheur, bien qu’appréciables, ne sauraient masquer l’incapacité des deux auteurs à égaler le degré de liberté et de créativité revendiquées par leurs propres personnages.
Télérama
On est sous le charme de cette comédie très arty, sensible et douce, où les fillettes, d'ailleurs, se prénomment Arc-en-ciel...
Le Journal du Dimanche
On sourit parfois aux maladresses de ce compositeur inadapté socialement et qui ne veut pas faire de concessions artistiques, mais il y a quelque chose d'exaspérant dans les malheurs de cette pauvre petite fille riche qui joue les artistes fauchés en robe dernier cri. N'est pas Woody Allen qui veut.
Positif
La chose est d'une modernité niaise et vieillotte (...) Le seul sujet d'étonnement, dans ce spectacle décousu, c'est la présence d'Anne Consigny. Mais l'atmosphère et le coloris ont par instants une tonalité ingénue qui émousse l'agacement.