Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
TF1 News
par Yves Grosjean
Incroyable mais vrai : un second volet supérieur au premier confirmant que Seth MacFarlane, qui nous avait pourtant déçus avec Albert à l'ouest, n'a rien perdu de son talent irrévérencieux.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"Ted 2" accomplit l'exploit d'être encore plus drôle, fou et rentre-dedans que son prédécesseur, au point d'en devenir profondément punk.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Une comédie toujours aussi délirante.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une nouvelle fois, cette comédie décapante réjouira les plus grands.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Le Parisien
par Alain Grasset
Cette comédie politiquement incorrecte - il est question de ségrégation, de mariage pour tous... - et qui fait preuve de beaucoup d'irrévérence nous vaut une série de séquences très amusantes. On rigole bien aux aventures de cet ourson mal léché.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Mais si les occasions de rire ne manquent pas, le réalisateur soigne aussi le propos, sérieux sur le fond. Mine de rien, sa comédie potache se double d’un plaidoyer pour l’acceptation des différences, mais ne verse jamais dans la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
(...) l'une des comédies les plus délirantes de l'année.
L'Express
par Sandra Benedetti
MacFarlane a perdu le rythme. Mais pas le sens de la référence finaude à la pop culture. Ni celui des dialogues goûtus, entre trash et régression. Il y a un os dans la potache, mais pas tout à fait de quoi prendre un bouillon.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
L’anthropomorphisme douillet qui avait fait le succès du film original donne ici une suite un peu plus développée du côté sexe…
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L’humour irrévérencieux donne encore lieu à une série de vannes irrésistibles, même si on s’étonne d’un plaidoyer trop politiquement correct pour l’acceptation de la différence.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
On ne change pas une recette qui gagne. Seth MacFarlane ressuscite sa créature dans une deuxième long métrage moins délirant mais au scénario efficace.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Gérard Delorme
Le second volet passe mieux. MacFarlane y reprend la même formule d'humour grossier à base de sexe et de gentilles provocations. Mais si on passe sur l'ironie systématique qui annihile toute intention, on se prend à rire de certains gags et situations.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Potache devant l’éternel, MacFarlane a retrouvé son côté petit génie de la réplique cassante, du gag millimétré et d’un humour en pleine surdose de cholestérol. Mauvais pour la santé, mais toujours aussi bon à déguster.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
L'effet de surprise et le feu sacré ne sont plus de la fête. Bien sûr, le désir de paternité de Ted offre un joli potentiel mariole avec des fulgurances hilarantes en prime, mais point de fou rire. Juste le plaisir de retrouver un pote délicieusement incorrect dans une farce qui l'est tout autant. C'est déjà pas si mal.
Ecran Large
par Simon Riaux
S'il nous fait toujours autant rire avec son humour de sale gosse scato, Ted a du mal à cacher qu'il demeure un produit trop sage et réalisé à la va-vite.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
L'ourson malotru revient en toute petite forme dans un buddy movie à l'humour aseptisé.
Ouest France
par Pierre Fornerod
L'effet de surprise n'est plus là. (...) Ce "Ted 2" se répand en terrain connu.
Télérama
par Jérémie Couston
La comédie négocie un virage politique un peu risqué en assimilant le combat de Ted pour l'adoption à celui des communautés noires ou homosexuelles. Le discours enflammé sur les droits de la minorité nounours fera encore rire jaune les tenants du bon goût.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Jérôme Saunier
"Ted 2" ne réinvente rien et propose à peu de choses près le même cocktail de vannes cradingues et de parodies de films.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
"Ted 2" n’est sûrement pas la panacée dans la comédie. Ses auteurs n’en n’ont pas la prétention, mais ils ont au moins les bons arguments pour combler une génération qui leur est acquise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
D’une lourdeur déjà pachydermique lorsque appliquée à des épisodes de vingt minutes, la méthode MacFarlane, ici aussi indigeste que diluée, touche définitivement le fond.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le problème n’est pas la vulgarité de la comédie, mais plutôt son oubli de l’humour en cours de route. On plombe l’ambiance avec un interminable procès où le nounours revendique le statut d’être humain — pour pouvoir adopter un bambin. Le trash vire au gnangnan.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’ours en peluche parlant revient, et il parle toujours aussi mal. Tout en échangeant des obscénités avec son meilleur ami (...) Ted entreprend de de faire reconnaître son statut de personne devant la loi, en se référant au combat des Afro-Américains pour leurs droits. On parvient alors à l’authentique obscénité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TF1 News
Incroyable mais vrai : un second volet supérieur au premier confirmant que Seth MacFarlane, qui nous avait pourtant déçus avec Albert à l'ouest, n'a rien perdu de son talent irrévérencieux.
CinemaTeaser
"Ted 2" accomplit l'exploit d'être encore plus drôle, fou et rentre-dedans que son prédécesseur, au point d'en devenir profondément punk.
Closer
Une comédie toujours aussi délirante.
Femme Actuelle
Une nouvelle fois, cette comédie décapante réjouira les plus grands.
Le Parisien
Cette comédie politiquement incorrecte - il est question de ségrégation, de mariage pour tous... - et qui fait preuve de beaucoup d'irrévérence nous vaut une série de séquences très amusantes. On rigole bien aux aventures de cet ourson mal léché.
Télé 2 semaines
Mais si les occasions de rire ne manquent pas, le réalisateur soigne aussi le propos, sérieux sur le fond. Mine de rien, sa comédie potache se double d’un plaidoyer pour l’acceptation des différences, mais ne verse jamais dans la mièvrerie.
L'Ecran Fantastique
(...) l'une des comédies les plus délirantes de l'année.
L'Express
MacFarlane a perdu le rythme. Mais pas le sens de la référence finaude à la pop culture. Ni celui des dialogues goûtus, entre trash et régression. Il y a un os dans la potache, mais pas tout à fait de quoi prendre un bouillon.
Le Dauphiné Libéré
L’anthropomorphisme douillet qui avait fait le succès du film original donne ici une suite un peu plus développée du côté sexe…
Le Journal du Dimanche
L’humour irrévérencieux donne encore lieu à une série de vannes irrésistibles, même si on s’étonne d’un plaidoyer trop politiquement correct pour l’acceptation de la différence.
Les Fiches du Cinéma
On ne change pas une recette qui gagne. Seth MacFarlane ressuscite sa créature dans une deuxième long métrage moins délirant mais au scénario efficace.
Première
Le second volet passe mieux. MacFarlane y reprend la même formule d'humour grossier à base de sexe et de gentilles provocations. Mais si on passe sur l'ironie systématique qui annihile toute intention, on se prend à rire de certains gags et situations.
Studio Ciné Live
Potache devant l’éternel, MacFarlane a retrouvé son côté petit génie de la réplique cassante, du gag millimétré et d’un humour en pleine surdose de cholestérol. Mauvais pour la santé, mais toujours aussi bon à déguster.
Télé 7 Jours
L'effet de surprise et le feu sacré ne sont plus de la fête. Bien sûr, le désir de paternité de Ted offre un joli potentiel mariole avec des fulgurances hilarantes en prime, mais point de fou rire. Juste le plaisir de retrouver un pote délicieusement incorrect dans une farce qui l'est tout autant. C'est déjà pas si mal.
Ecran Large
S'il nous fait toujours autant rire avec son humour de sale gosse scato, Ted a du mal à cacher qu'il demeure un produit trop sage et réalisé à la va-vite.
Les Inrockuptibles
L'ourson malotru revient en toute petite forme dans un buddy movie à l'humour aseptisé.
Ouest France
L'effet de surprise n'est plus là. (...) Ce "Ted 2" se répand en terrain connu.
Télérama
La comédie négocie un virage politique un peu risqué en assimilant le combat de Ted pour l'adoption à celui des communautés noires ou homosexuelles. Le discours enflammé sur les droits de la minorité nounours fera encore rire jaune les tenants du bon goût.
Voici
"Ted 2" ne réinvente rien et propose à peu de choses près le même cocktail de vannes cradingues et de parodies de films.
aVoir-aLire.com
"Ted 2" n’est sûrement pas la panacée dans la comédie. Ses auteurs n’en n’ont pas la prétention, mais ils ont au moins les bons arguments pour combler une génération qui leur est acquise.
Critikat.com
D’une lourdeur déjà pachydermique lorsque appliquée à des épisodes de vingt minutes, la méthode MacFarlane, ici aussi indigeste que diluée, touche définitivement le fond.
L'Humanité
Le problème n’est pas la vulgarité de la comédie, mais plutôt son oubli de l’humour en cours de route. On plombe l’ambiance avec un interminable procès où le nounours revendique le statut d’être humain — pour pouvoir adopter un bambin. Le trash vire au gnangnan.
Le Monde
L’ours en peluche parlant revient, et il parle toujours aussi mal. Tout en échangeant des obscénités avec son meilleur ami (...) Ted entreprend de de faire reconnaître son statut de personne devant la loi, en se référant au combat des Afro-Américains pour leurs droits. On parvient alors à l’authentique obscénité.