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Peut-on remplacer Michèle Mercier dans ce rôle emblématique ? Nora Arnezeder, qui s’y prête, est absolument parfaite, renouvelant la trouble sensualité de l’original en s’y adonnant visiblement avec plaisir. Ariel Zeitoun parvient à recréer l’érotisme sensuel qui habitait le film original
On peut s'agacer des tirades façon Grand Siècle, de la musique grandiloquente, de la mise en scène aux effets appuyés (...) Mais on peut aussi se laisser emporter par les rebondissements à foison, les réparties mordantes des promis, (...) les beaux costumes et les ors rutilants des décors éclairés à la torche (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ariel Zeitoun s’attaque à son tour à l’adaptation d’Angélique, marquise des anges, (...). Bonne surprise, la lecture qu’il en fait prend un coup de jeune. (...) Un film de cape et d’épée revisité troisième millénaire. Pourquoi bouder son plaisir ?
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L’intrigue demeure forte et l’on rêve systématiquement d’un autre artisan à l’ouvrage, alors que ralentis, montage improbable et direction d’acteurs irrégulière finissent par enterrer définitivement tout espoir de franchise d’une Angélique longtemps fantasmée, mais désormais contrainte aux seules rediffusions télé.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Marianne
Le film, en salles le 18 décembre, ajoute-t-il quelque chose au sens du mythe [d'Angélique] ? (...) Oui.
Franceinfo Culture
Peut-on remplacer Michèle Mercier dans ce rôle emblématique ? Nora Arnezeder, qui s’y prête, est absolument parfaite, renouvelant la trouble sensualité de l’original en s’y adonnant visiblement avec plaisir. Ariel Zeitoun parvient à recréer l’érotisme sensuel qui habitait le film original
La Croix
On peut s'agacer des tirades façon Grand Siècle, de la musique grandiloquente, de la mise en scène aux effets appuyés (...) Mais on peut aussi se laisser emporter par les rebondissements à foison, les réparties mordantes des promis, (...) les beaux costumes et les ors rutilants des décors éclairés à la torche (...)
Le Journal du Dimanche
Une adaptation honnête mais qui manque de soufre.
Le Parisien
A 24 ans, Nora Arnezeder relève le gant de dentelle avec charme et tempérament.
TéléCinéObs
Ariel Zeitoun s’attaque à son tour à l’adaptation d’Angélique, marquise des anges, (...). Bonne surprise, la lecture qu’il en fait prend un coup de jeune. (...) Un film de cape et d’épée revisité troisième millénaire. Pourquoi bouder son plaisir ?
Le Monde
Un film excessif et trop désireux de faire chic pour être élégant, mais qui reste divertissant pour peu que l'on n'ait pas d'exigence plus haute.
Les Fiches du Cinéma
L'évolution de la marquise, sa relation avec Joffrey de Peyrac, les intrigues de Cour, tout s'enchaîne pour un résultat bâclé et sans saveur.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Ecran Large
Un étron comme on en voit passer un tous les quarts de siècle, écrit, produit, filmé, interprété, éclairé en dépit du bon sens.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Metro
Bel exploit pour Ariel Zeitoun qui, en 2013, signe un film plus cheap et plus ringard que la version sixties de Bernard Borderie.
Télérama
Pauvre Angélique.
aVoir-aLire.com
L’intrigue demeure forte et l’on rêve systématiquement d’un autre artisan à l’ouvrage, alors que ralentis, montage improbable et direction d’acteurs irrégulière finissent par enterrer définitivement tout espoir de franchise d’une Angélique longtemps fantasmée, mais désormais contrainte aux seules rediffusions télé.