Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
Porté par Marine Vatch, dont la beauté envahit l'écran, ce film déroute, démange et dérange longtemps après.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
Formidable actrice dont on n’a pas fini d’entendre parler (...) La maîtrise d’un réalisateur parvenu au sommet de son métier (...) Ce n’est pas de l’art ostentatoire, la mise en scène est discrète mais, pour qui y est sensible, de cette précision qui conditionne l’efficacité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) d’une finesse et d’une intelligence dévastatrice, servi par un casting tip-top qui extrait un diamant au passage : Marine Vacth.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Thomas Mahler
(...) c'est l'adolescence, avec sa mélancolie, ses désillusions, son dégoût des hypocrisies du monde adulte, sa clandestinité, qui est au coeur de ce beau film.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) Le réalisateur (...) n'a pas voulu faire "le portrait d'une génération" ni un film dossier sur la prostitution étudiante. Et c'est tant mieux. Toute la réussite de "Jeune et jolie" tient dans sa volonté (...) de jouer avec une opacité sereine entre le spectateur et ce personnage fascinant (...).
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
(...), "Jeune & Jolie" frappe par sa maîtrise extrême, y compris dans sa tonalité à la fois proche et distanciée, osant l'humour là où l'on n'aurait pas songé à l'y chercher.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
Célébrant la puissance intacte et irrécupérable de cet âge scandaleux qu'est l'adolescence, François Ozon livre avec "Jeune & jolie" un de ses films les plus tranchants, les plus dérangeants, et les plus classiques à la fois. Un petit chef d'oeuvre sec (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
Avec beaucoup de modestie, le film évite parfaitement tous les pièges que lui tendait ce sujet calibré pour les émissions de télé bêtement voyeuristes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
François Ozon, cinéaste que l’on a connu plus mordant dans la critique sociale, mais qui est justement gagné ici par la maturité. Avec élégance et distance, il observe l’éclosion de la jolie fleur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
Le 14e long métrage de François Ozon est une plongée en eaux profondes (...) il est aussi, à ce jour, son film le plus abouti.
Première
par Isabelle Danel
La plupart du temps, le réalisateur frappe juste. Ça fait mal et c'est beau.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
par Viviane Pescheux
C'est remarquablement mis en scène, d'un réalisme radical, dénué de jugement, de clichés ou de voyeurisme. Et Marine Vacth (...) se révèle autant dans la douceur et la dureté que troublante dans les scènes de nus.
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Sur le papier, du pur Ozon. Un thème central porteur de ce goût pour la provocation que l’on sait être le sien (...) Une troublante initiation des sens et du corps qui s’achève par une scène épilogue un rien écrite mais d’une puissance émotionnelle impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Pourquoi une lycéenne aisée se prostitue-t-elle ? François Ozon pose la question sans provoc et avec élégance (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Bruno Rit
Si Ozon filme avec perversité le portrait de cette jeune fille aussi belle qu’insaisissable, il ne tombera jamais dans l’excès, ni dans la vulgarité, malgré le regard troublant qu’il donne sur la prostitution.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Alexis Gilliat
Il n’est sans doute pas si compliqué de comprendre Isabelle. Et même si on ne la comprend pas, il ne paraît pas que le réalisateur la comprenne plus complètement ; c’est ainsi que son art évite, dernière élégance, de surplomber trop ostensiblement le spectateur, et se fait pardonner de l’avoir promené. Ou plutôt, escorté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Sandy Gillet
Avec une mise en scène et une direction d’acteurs magistrales, Ozon nous livre un remarquable éveil à la sexualité, aussi délicat que sensuel.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Un film qui donne à songer à ses réussites majeures, mais un film également qui laisse un goût d'inachevé (...) Il n'y a rien à redire. Mais y a t-il plus à dire ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Oscillant entre le léger et le grave, la proximité et la distance, le film adopte un ton singulier conforme à cette intention affichée, fort bien maîtrisé mais lourd d’ambiguïtés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Beauté froide qui souffle le chaud, Marine Vacth joue la nudité avec une pudeur désarmante et fait planer le mystère dans cette chronique qui met mal à l'aise. Dommage qu'à vouloir ne pas juger (...) son héroïne, Ozon manque de point de vue et n'en dise (...) pas assez sur ses motivations.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Ozon pose une situation, et en déploie les implications morales tout en nous laissant faire le tri. Un film discutable, sans doute, mais faire discuter est bien son mérite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
(...) ce film se regarde sans ennui mais sans passion, et s’anime grâce à quelques scènes plus vibrantes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
[Ozon] pourrait ouvrir un dossier de société et raconter une certaine jeunesse. Il se contente de regarder et de filmer, sans juger ni expliquer. La mise en scène est à l’avenant, sage et neutre, de la part d’un réalisateur que l’on a vu plus malicieux, déconcertant ou audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TF1 News
par Romain Le Vern
Petit Ozon (...) mais grande révélation au regard triste et au corps indécis : Marine Vacht. Aussi lumineuse que Ludivine Sagnier dans "Gouttes d'eau sur pierres brûlantes".
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
La perversité sulfureuse (…) dans laquelle se complaît désormais François Ozon en se revendiquant modestement de Buñuel manque aussi cruellement de relief que d’ambiguïté. La pente déprimante empruntée par ce cinéma qui se rêve populaire est celle d’une écriture cousue de fil blanc, toujours plus convenue dans sa critique poussive de la morale bourgeoise.
Elle
Porté par Marine Vatch, dont la beauté envahit l'écran, ce film déroute, démange et dérange longtemps après.
L'Humanité
Formidable actrice dont on n’a pas fini d’entendre parler (...) La maîtrise d’un réalisateur parvenu au sommet de son métier (...) Ce n’est pas de l’art ostentatoire, la mise en scène est discrète mais, pour qui y est sensible, de cette précision qui conditionne l’efficacité.
Le Parisien
(...) d’une finesse et d’une intelligence dévastatrice, servi par un casting tip-top qui extrait un diamant au passage : Marine Vacth.
Le Point
(...) c'est l'adolescence, avec sa mélancolie, ses désillusions, son dégoût des hypocrisies du monde adulte, sa clandestinité, qui est au coeur de ce beau film.
Charlie Hebdo
(...) Le réalisateur (...) n'a pas voulu faire "le portrait d'une génération" ni un film dossier sur la prostitution étudiante. Et c'est tant mieux. Toute la réussite de "Jeune et jolie" tient dans sa volonté (...) de jouer avec une opacité sereine entre le spectateur et ce personnage fascinant (...).
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
(...), "Jeune & Jolie" frappe par sa maîtrise extrême, y compris dans sa tonalité à la fois proche et distanciée, osant l'humour là où l'on n'aurait pas songé à l'y chercher.
Le Monde
Célébrant la puissance intacte et irrécupérable de cet âge scandaleux qu'est l'adolescence, François Ozon livre avec "Jeune & jolie" un de ses films les plus tranchants, les plus dérangeants, et les plus classiques à la fois. Un petit chef d'oeuvre sec (...).
Libération
Avec beaucoup de modestie, le film évite parfaitement tous les pièges que lui tendait ce sujet calibré pour les émissions de télé bêtement voyeuristes.
Paris Match
François Ozon, cinéaste que l’on a connu plus mordant dans la critique sociale, mais qui est justement gagné ici par la maturité. Avec élégance et distance, il observe l’éclosion de la jolie fleur.
Positif
Le 14e long métrage de François Ozon est une plongée en eaux profondes (...) il est aussi, à ce jour, son film le plus abouti.
Première
La plupart du temps, le réalisateur frappe juste. Ça fait mal et c'est beau.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
C'est remarquablement mis en scène, d'un réalisme radical, dénué de jugement, de clichés ou de voyeurisme. Et Marine Vacth (...) se révèle autant dans la douceur et la dureté que troublante dans les scènes de nus.
TéléCinéObs
Sur le papier, du pur Ozon. Un thème central porteur de ce goût pour la provocation que l’on sait être le sien (...) Une troublante initiation des sens et du corps qui s’achève par une scène épilogue un rien écrite mais d’une puissance émotionnelle impressionnante.
Télérama
Pourquoi une lycéenne aisée se prostitue-t-elle ? François Ozon pose la question sans provoc et avec élégance (...).
aVoir-aLire.com
Si Ozon filme avec perversité le portrait de cette jeune fille aussi belle qu’insaisissable, il ne tombera jamais dans l’excès, ni dans la vulgarité, malgré le regard troublant qu’il donne sur la prostitution.
Critikat.com
Il n’est sans doute pas si compliqué de comprendre Isabelle. Et même si on ne la comprend pas, il ne paraît pas que le réalisateur la comprenne plus complètement ; c’est ainsi que son art évite, dernière élégance, de surplomber trop ostensiblement le spectateur, et se fait pardonner de l’avoir promené. Ou plutôt, escorté.
Ecran Large
Avec une mise en scène et une direction d’acteurs magistrales, Ozon nous livre un remarquable éveil à la sexualité, aussi délicat que sensuel.
L'Obs
Un film qui donne à songer à ses réussites majeures, mais un film également qui laisse un goût d'inachevé (...) Il n'y a rien à redire. Mais y a t-il plus à dire ?
La Croix
Oscillant entre le léger et le grave, la proximité et la distance, le film adopte un ton singulier conforme à cette intention affichée, fort bien maîtrisé mais lourd d’ambiguïtés.
Le Journal du Dimanche
Beauté froide qui souffle le chaud, Marine Vacth joue la nudité avec une pudeur désarmante et fait planer le mystère dans cette chronique qui met mal à l'aise. Dommage qu'à vouloir ne pas juger (...) son héroïne, Ozon manque de point de vue et n'en dise (...) pas assez sur ses motivations.
Les Fiches du Cinéma
Ozon pose une situation, et en déploie les implications morales tout en nous laissant faire le tri. Un film discutable, sans doute, mais faire discuter est bien son mérite.
Les Inrockuptibles
(...) ce film se regarde sans ennui mais sans passion, et s’anime grâce à quelques scènes plus vibrantes.
Ouest France
[Ozon] pourrait ouvrir un dossier de société et raconter une certaine jeunesse. Il se contente de regarder et de filmer, sans juger ni expliquer. La mise en scène est à l’avenant, sage et neutre, de la part d’un réalisateur que l’on a vu plus malicieux, déconcertant ou audacieux.
TF1 News
Petit Ozon (...) mais grande révélation au regard triste et au corps indécis : Marine Vacht. Aussi lumineuse que Ludivine Sagnier dans "Gouttes d'eau sur pierres brûlantes".
Cahiers du Cinéma
La perversité sulfureuse (…) dans laquelle se complaît désormais François Ozon en se revendiquant modestement de Buñuel manque aussi cruellement de relief que d’ambiguïté. La pente déprimante empruntée par ce cinéma qui se rêve populaire est celle d’une écriture cousue de fil blanc, toujours plus convenue dans sa critique poussive de la morale bourgeoise.