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    Tom à la ferme
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    Alexis Gatier
    Alexis Gatier

    40 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2014
    Un film horriblement glauque, lent, peu réaliste. Surtout glauque. Il entretient des vides et des questions auxquelles il ne répond jamais, c'est très frustrant. La "révélation" qui constitue le paroxysme du film est en plus très décevante, pas du tout à la mesure des effets filmiques mobilisés pour la faire gonfler. J'ai passé un très mauvais moment, à me dire "mais c'est débile, pourquoi font-il ça ? Personne ne réagirait comme ça". Un film censé reposer sur la psychologie, sans qu'il développe de réelle profondeur psychologique.
    À fuir.
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 octobre 2014
    Un Satyricon (du pauvre), à dominante SM, pour cambrousse canadienne (ferme craignos, avec des vaches étiques qui vêlent des animaux souffreteux), sous la forme contemporaine du « jeu de rôles », puis du psychodrame. Où Giton (Dolan, une tête de loup jaune pisseux sur le chef) s'invite à l'enterrement d'Encolpe (« Guillaume ») et tombe sous la coupe alcoolisée (et « cocaïnée ») d'Ascylte, ici en frère dudit (« Francis » alias Pierre-Yves Cardinal), à la sexualité incertaine (fort tenté aussi par « Sara » - Tryphéma ?), et aux bas instincts exacerbés (voir "L'Homme-qui-rit"....). Sans queue ni tête (si j'ose dire), glauque, malsain à souhait, hystérisé (comme toujours chez Dolan - avec l'appui d'une mère évidemment ; celle-là, "Agathe", ressemble à Christine Lagarde.... ) et gâté considérablement en plus par un son la plupart du temps inaudible (ce qui ne facilite pas la compréhension des « dialogues » - surtout quand Cardinal en est, qui mâchonne un épais parler du Québec profond, qui aurait nécessité des sous-titres)...... voilà ce « Tom à la ferme », de mauvaise compagnie. Pour l'instant, ce que j'aurais dû subir de pire dans la filmo du « prodige québécois » (qui rend extatique la boboïtude, mais n'attire pas les foules.... comme on les comprend).
    Vincent P
    Vincent P

    26 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2014
    Très très faible. Insupportable monument de vacuité, d’excès, de narcissisme poussé à l'extrême (sa tête avec sa serpillière jaune est à claquer). Son jeu est à vomir ainsi que les reprises de plans ultra référencé (shinning, psychose, massacre à la tronçonneuse...), et quand il ne copie pas il ne sait comment filmer. aucun plan ne s'enchaine correctement, c'est toujours mal cadré... et surtout, ça sonne faux, mais faux... toujours, tout le temps, la théâtralité des dialogues poussé à ce point, c'est éprouvant. On ne rentre jamais dans le film, c'est laid, la musique est tout le temps mal venu, la tension soit disant voulu reste toujours en surface. bref, aussi artificiel que son réalisateur. dont la baudruche qui lui sert de tête n'est pas prête de dégonfler.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 avril 2014
    Comme l’indique son titre, "Tom à la ferme" est le film d’un auteur qui aspire à un certain dépaysement : après avoir travesti Melvil Poupaud (dans Laurence anyways) et crucifié un jeune élève dans la cour de récréation d’un pensionnat à l’ancienne (dans le clip de College Boy), le jeune Xavier Dolan veut aujourd’hui se mettre au vert. Mais il lui faut, pour cela, un argument scénaristique : Tom (Xavier Dolan) est donc en deuil et il doit aller à la campagne pour retrouver la famille de son amant, mort dans un accident de voiture. « Quel accident ? A quelle heure ? », se demande la mère du défunt. On ne le saura jamais : peu importe, Xavier Dolan ne va pas à la campagne pour pleurer mais pour draguer. L’objet de son désir est un agriculteur rude, parfois brutal, qui fera beaucoup souffrir le pauvre Tom : lunettes écrasées, poursuite dans les champs de maïs, crachats dans la bouche, tentatives de strangulation, c’est sur le mode de l’agressivité que se déroule le fil toujours tendu du désir refoulé. Avec beaucoup d’indulgence et d’aveuglement, on pourra voir dans cette tension quelque chose d’hitchockien, avec un peu plus de lucidité, on dira plus simplement que "Tom à la ferme" permet à son auteur de creuser le sillon de l’homophobie, sujet sur lequel il s’est déjà beaucoup exprimé à l’époque de "College Boy". Ce sillon, le film le creuse en ligne droite, à l’image de cette longue route souvent filmée en vue aérienne (on ne saura jamais vraiment pourquoi) et au terme de laquelle se trouve le décor de « la ferme ». Des granges et des étables, un peu de bétail, un champ de maïs, la ferme ressemble à un village Playmobil. Il est difficile de voir exactement quel est l’intérêt de ce décor, sa fonction dans le film. « C’est du vrai, dit Tom, c’est vrai, il y a des veaux qui naissent ». Et pour nous le prouver, Xavier filme ses mains pleines de sang (voilà pour le côté « vrai », rural), mais il dit aussi à l’agriculteur désiré qu’il « pue l’étable ». L’odeur de la campagne fonctionne donc avant tout comme un carburant érotique : là est le seul enjeu du détour par la campagne. L'amour est peut-être dans le près, qui sait? Mais "Tom à la ferme" se veut aussi sombre et mélancolique : en témoignent le prologue, où Tom écrit une lettre à son amant mort, et tous les plans où l’on voit Tom pleurer, craquer, avant de faire sa "fucking" valise. Toujours surjoués, à la limite du ridicule, ces moments ne produisent aucune émotion, ils participent d’un narcissisme qui trouve son expression ultime dans la scène de tango, où la chevelure péroxydée de Xavier flotte dans le cadre au ralenti, comme celle d'une Marilyn québecoise. Le deuil n'est qu'un prétexte ou une ritournelle (« Tu fais tourner de ton nom tous les moulins de mon cœur »), le vide laissé par la mort étant bien vite comblé par le désir d’un autre corps. Sur la photo qui représente l’amant disparu, on ne voit déjà plus que Sara, le personnage féminin qui arrive dans le dernier tiers du film, habillée comme Cyndi Lauper dans les années 80 (car Xavier s'occupe aussi des costumes). Quand Sara arrive, le mort est réduit à une petite boîte à souvenirs que l’on ouvre comme une pochette surprise : étonnant plan cadré depuis l’intérieur de la boîte, on ne saura jamais vraiment pourquoi. Exclu de la voiture dans laquelle se forme un couple (l’agriculteur local + Sara), Tom souffre alors d’insomnies: il se lève en pleine nuit pour nettoyer le frigo de la maison et faire les étables, comme si le désir et la fascination qu’il éprouvait pour l’agriculteur du coin l’avaient transformé à la fois en femme au foyer et en garçon de ferme. Le film crée alors une zone d'indécision qui aurait pu être intéressante mais Tom en a marre et il fait sa "fucking" valise pour mettre un terme à son séjour en gîte rural. Un séjour pour rien dans un gîte très inconfortable. Tom a quand même eu l'occasion de danser un tango dans une étable, mais l'amour n'était pas dans le pré.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 septembre 2014
    Martine à la plage, c'est mieux. Comme j'ai eu beaucoup-beaucoup de mal à suivre les dialogues du film : je n'ai rien compris à l'histoire du mignonnnet aux cheveux filasses version caniche. La scène du tango aurait suffit... pour un clip de Gotan Project. Mais , pour le reste du film, quel ennui !
    Max Rss
    Max Rss

    203 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 décembre 2017
    Il fallait bien ça arrive un jour : que je me retrouve face à un film du cinéaste prodige québécois Xavier Dolan. Enfin prodige, j'en sais rien. En tout cas c'est l'avis de bon nombre de critiques professionnels et de bon nombre de spectateurs. « Tom à la ferme », franchement, à la lecture du sujet, ça aurait pu être bien, très bien même. Mais finalement non. En regardant ça, je me suis retrouvé face à l'un des plus beaux navets que j'ai eu l'occasion de voir. Je ne sais pas quelles étaient les intentions de Dolan, mais ce qui crève les yeux, c'est que son film dégage un ennui épouvantable. Tout simplement parce qu'il ne se passe rien. Je veux bien admettre que la relation de Tom avec le mec est un peu chelou, mais ça ne dépasse pas le cadre du mec qui fait chier un autre mec. On attend, et on attend encore qu'il y ait une étincelle, un coup de fouet, mais rien ne vient. Et le tout est fortement pénalisé (pour ne pas dire touché-coulé), premièrement par une réalisation dégueulasse abusant de gros plans rendant illisibles certaines scènes, et deuxièmement par un accent québécois à couper au couteau rendant inaudibles certaines répliques. Dolan et moi, ça commence par un zéro. Nous verrons la suite.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 avril 2014
    L'amour est dans le pré avec Christine LAGARDE. Voilà tout. Passez votre chemin la ferme d'après doit être accueillante....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 avril 2014
    Christine Lagarde est merveilleuse en paysanne endeuillée. P.-Y. Cardinal est beau. Evelyne Brochu est bonne. Xavier Dolan revêt un poulpe blond sur le crâne. Amateurs de cinéma, oubliez.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 avril 2014
    J'ai attendu la chanson de Rufus Wainwright du générique de fin pour avoir ma première émotion.
    C'est un peu tard...
    defleppard
    defleppard

    390 abonnés 3 387 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juillet 2014
    Cela devient rapidement très ennuyeux. 1 demi-étoile.
    betty63
    betty63

    24 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2015
    Quelle déception, mais alors quelle déception immense que ce film ! Autant "J'ai tué ma mère" promettait sur l'avenir de ce jeune réalisateur autant "Laurence anyways" et "Tom à la ferme" ont tout de films de série B. Jusqu'à la musique qui est mal choisie. L'histoire est on ne peut plus glauque, et si Xavier Dolan traite ses névroses au travers de ses films, qu'au moins il le fasse bien ! Déjà le titre est ridicule, l'histoire ne vient de nulle part et n'aboutit à rien sinon étaler les "envies" malsaines d'un jeune homme à la dérive. Quel dommage de se laisser guider par ses pulsions et de laisser le talent à la porte. De plus un sous-titrage aurait été plus que nécessaire, mais si c'est pour traduire des dialogues creux effectivement il était plus judicieux de s'en abstenir.
    Ghighi19
    Ghighi19

    70 abonnés 1 879 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 septembre 2020
    Je ne comprends pas ...mais alors pas du tout la fascination à ce point . C est vide très souvent il se passe pas grand-chose. L histoire ne tient pas la route on ne comprend pas comment ce type accepte de jouer à ce jeu avec le frère. Au niveau de la réalisation je ne comprends pas non plus l utilisation du scope dans certaines scènes. Non décidément je n aime pas ce cinéma là.
    gnomos
    gnomos

    55 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 septembre 2015
    Comment, les critiques ont trouvé ce film génial, et il s'agirait d'un thriller, diable!!! Déjà, on comprend à peine les dialogues, je suis française, le film, comme tous ses homologues d'ailleurs, aurait mérité des sous-titres, pour les Français. Mais bon, on devine de quoi il retourne, et ce dès le début du film, mais on a du mal à comprendre le comportement du jeune héros. Alors, cela se veut trouble et dérangeant , personne n'a trouvé que c'était de plus ennuyeux ? Cela m'a rappelé les De Palma que je n'avais pas aimés, sur les troubles de l'identité sexuelle. On rajoute un zeste de SM, et on crie au génie. De plus, cela finit comme un cheveu sur la soupe, j'avais l'impression d'un film coupé avant la fin. N'y a-t-il pas un peu de snobisme dans toutes ces dithyrambes ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 janvier 2017
    L'autre fois, je ne faisais pas très attention et j'ai mis en enregistrement ce film québécois. Bien mal m'en a pris, car il s'agit d'un étron intello-bobo ; grand bien m'en a pris aussi cependant, car j'ai pu tracer sa mère à travers sa race grâce à la merveilleuse avance rapide.

    Notez que je ne suis pas allé bien loin à mon grand regret (je manque de courage) et à mon grand soulagement également (je n'en pouvais plus). Il faut préciser et j'insiste là-dessus que "Tom à la ferme" est aussi débile qu'il en a l'air et qu'il s'agit tout comme son titre le suggère d'une grosse flatulence pour pisse-copies de chez Télérama.

    Evidemment, le fait qu'il n'ait fait l'objet d'aucun doublage français est assez handicapant, car les sous-titres apparaissent une fois sur deux et de surcroît à contre-temps le plus souvent : ils sous-titrent ce qu'on arrive à comprendre et ne sous-titrent pas d'affreux baragouinages.

    Le québécois est une langue vraiment difficile à suivre, de même que leurs films auxquels j'ai envie de dire cette tendresse de leur crû (comprenne qui pourra) : "tu t'en retournes chez vous".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 juillet 2015
    Trop long, manque de rythme... Ennuyeux, trop d'interprétations possibles...
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