Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Julie Delpy et Ethan Hawke, en confiance, se donnent à fond au fil de six scènes brillantes explorant la vie à deux d’un homme et d’une femme d’aujourd’hui. Il y a des sentiments vrais et du beau cinéma dans "Before Midnight" (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Si l’amertume altère désormais la douce saveur des premiers émois, la trilogie du cinéaste n’en est pas moins comme le bon vin : elle se bonifie avec l’âge.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ce film de dialogue (...) tourné en dix-huit jours, témoigne d'une énergie communicative, d'un sens très affiné de l'observation et d'une étonnante capacité de variation sur le même thème.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cinéaste au charme unique, qui déjoue avec grâce les pièges de la futilité et de la comédie romantique, Linklater, au lieu d'épuiser son filon, le creuse, l'épure.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Il y a quelque chose du "Voyage en Italie" de Rossellini dans ce voyage en Grèce qui fait de l’amour le plus beau des combats. (...) Comédie romantique ? Il faut le dire vite.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L’engagement de Linklater et de ses deux comédiens envers cette drôle de série dont le prochain épisode n’est jamais garanti étoffe le récit efficace mais parfois périlleusement explicite d’un couple en crise.
(...) Céline regrette [qu'avec Jesse] ils n'aient plus le temps de dire des bêtises (...). Là, ils l'ont trouvé le temps (...). Il peut arriver parfois que le spectateur se prenne à espérer le retour impromptu des enfants.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Pour ceux qui avaient raté les épisodes précédents, cela devrait suffire. C'est tout le problème des "films miroir" : à quoi bon assister à ce que la vie procure déjà ? On l'aura compris, il n'y a guère de place pour le rêve ou la fantaisie dans ce troisième volet (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On est en droit d’attendre autre chose d’un film, et de préférer, sur le même sujet, "40 ans, mode d’emploi" de Judd Apatow, moins prétentieux dans sa forme, et beaucoup plus riche.
Le bavardage est ici centré sur l'usure du couple mais, curieusement, pas sur celle du spectateur, qui peut se croire à un de ces dîners où un convive rit très fort de ses propres plaisanteries pas drôles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Julie Delpy et Ethan Hawke, en confiance, se donnent à fond au fil de six scènes brillantes explorant la vie à deux d’un homme et d’une femme d’aujourd’hui. Il y a des sentiments vrais et du beau cinéma dans "Before Midnight" (...).
CinemaTeaser
De scènes tendres ou tendues en dialogues profonds et saillies drolatiques, le film dresse un portrait humain de ce couple universel.
Critikat.com
Si l’amertume altère désormais la douce saveur des premiers émois, la trilogie du cinéaste n’en est pas moins comme le bon vin : elle se bonifie avec l’âge.
Ecran Large
Une saga qui se bonifie d’épisode en épisode ? C’est possible, la preuve.
Elle
On croit si facilement aux paroles de ce couple de fiction qu'on peut parfois s'y reconnaître. Effet troublant.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
Ce film de dialogue (...) tourné en dix-huit jours, témoigne d'une énergie communicative, d'un sens très affiné de l'observation et d'une étonnante capacité de variation sur le même thème.
Le Parisien
Il y a du Woody Allen dans cette comédie dramatique ensoleillée, avec ses dialogues pleins de verve et d’humour.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Le temps d'une journée, Linklater observe le couple à l'heure de la quarantaine : Delpy, amère et pétillante à la fois, Hawke, ironique et touchant.
Metro
Sur une temporalité de 24 heures, cet opus conjugue intelligence d'écriture et justesse des sentiments.
Ouest France
La mise en scène (...) se donne les allures de la liberté et de l'improvisation. (...) C'est au contraire très écrit. Texte nourri, dense et brûlant.
Positif
Cinéaste au charme unique, qui déjoue avec grâce les pièges de la futilité et de la comédie romantique, Linklater, au lieu d'épuiser son filon, le creuse, l'épure.
Première
C'est parfois long et ennuyeux comme une dispute à la maison, mais le plus souvent intelligent et profond.
TéléCinéObs
Il y a quelque chose du "Voyage en Italie" de Rossellini dans ce voyage en Grèce qui fait de l’amour le plus beau des combats. (...) Comédie romantique ? Il faut le dire vite.
Télérama
Tout en donnant corps à une relation censée durer depuis des années, Richard Linklater veut la montrer dans la fugacité et la spontanéité du présent.
aVoir-aLire.com
Une comédie douce-amère sur la déliquescence des choses, prévisible de bout en bout mais merveilleusement servie par ses dialogues et ses comédiens.
Cahiers du Cinéma
L’engagement de Linklater et de ses deux comédiens envers cette drôle de série dont le prochain épisode n’est jamais garanti étoffe le récit efficace mais parfois périlleusement explicite d’un couple en crise.
Le Journal du Dimanche
Les dialogues sont toujours brillants mais en circuit fermé. De l’humour en guise d’oxygène aurait été le bienvenu.
L'Obs
(...) Céline regrette [qu'avec Jesse] ils n'aient plus le temps de dire des bêtises (...). Là, ils l'ont trouvé le temps (...). Il peut arriver parfois que le spectateur se prenne à espérer le retour impromptu des enfants.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Le Monde
Pour ceux qui avaient raté les épisodes précédents, cela devrait suffire. C'est tout le problème des "films miroir" : à quoi bon assister à ce que la vie procure déjà ? On l'aura compris, il n'y a guère de place pour le rêve ou la fantaisie dans ce troisième volet (...).
Les Inrockuptibles
On est en droit d’attendre autre chose d’un film, et de préférer, sur le même sujet, "40 ans, mode d’emploi" de Judd Apatow, moins prétentieux dans sa forme, et beaucoup plus riche.
Libération
Le bavardage est ici centré sur l'usure du couple mais, curieusement, pas sur celle du spectateur, qui peut se croire à un de ces dîners où un convive rit très fort de ses propres plaisanteries pas drôles.