Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tourné dans une ZAC de Tours, découpé en quatre parties dont les titres annoncent finement la couleur, "La Braconne" est un joli petit concentré d'énergie qui sent le soufre à toutes les images. On y découvre un Patrick Chesnais sans états d'âme, totalement à l'aise dans le noir serré.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par La rédaction
Ce premier long-métrage laisse présager d'une belle nature de cinéaste au tempérament sombre et à la direction d'acteurs prometteuse. Il y a du vrai cinéma dans ce film-là.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Clément Graminiès
"La Braconne" parvient (...) à construire une véritable éthique de l’image, loin d’une dénonciation attendue ou d’une complaisance redoutée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Toujours noir, parfois violent, "la Braconne" se distingue par son esthétique épurée, la qualité de son improbable duo d'acteurs et sa capacité à éviter les lieux communs.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Samuel Rondière, qui écarte les clichés attachés à son sujet, donne une tonalité singulière à son premier film par ses plans étirés. Patrick Chesnais impérial.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
Avec peu de moyens, Samuel Rondière prouve qu'on peut signer un excellent premier film. Il installe une atmosphère prenante sur la base d'une bonne écriture scénaristique et d'une intelligente direction d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par La Rédaction
Un premier long métrage de Samuel Rondière porté par un tandem d'exception (...). Avec un peu d'humour pour débrider un propos sombre et fataliste plongé dans une certaine réalité du jour.
Paris Match
par Alain Spira
Comme exhumé du sarcophage d’un film d’Audiard, mais sans les dialogues, Patrick Chesnais donne à l’ultime galop de son personnage de malfrat à l’ancienne une densité poignante. Il trouve ici un de ses rôles les plus forts. Et nous, un des films français les plus intéressants du moment. Et ce n’est pas de l’arnaque…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Marjolaine Jarry
Figure de genre, le duo de truands est réinventé par la grâce de ce premier film qui joue avec les codes pour attraper, au même piège, romanesque et réalisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Guillemette Odicino
Mais c'est avec tendresse que Samuel Rondière observe Patrick Chesnais, magnifique silhouette de vieux rockeur rompu, marcher, entre fatigue et rage, vers son destin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le maillon faible du film est sans aucun doute le scénario. Mais Rondière reste un cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Noémie Luciani
Premier long-métrage de Samuel Rondière, "La Braconne" se prend un peu les pieds dans le scénario, mais ne manque pas de style. Patrick Chesnais et Rachid Youcef y forment un duo tout à fait convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Bien qu'inabouti en terme d'écriture, il ressort de “La Braconne” un duo à la touchante maladresse.
Première
par Pamela Pianezza
Ce clash des générations donne tout son sel à ce film de potes très noir. L'ouverture est un peu laborieuse mais ce premier long métrage n'en reste pas moins un bon western urbain.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Patrick Chesnais imprègne de gravité ce premier film très noir, qui laisse le temps aux images de signifier au-delà des mots.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Un dialogue des générations entre un vieux truand sans génie, sans illusions, sans femme et d'une jeune racaille illettrée. Tout cela est lesté de mythologie exsangue (...), de psychologie épaisse et fatras sociologique. Totalement sans intérêt.
Le Parisien
Tourné dans une ZAC de Tours, découpé en quatre parties dont les titres annoncent finement la couleur, "La Braconne" est un joli petit concentré d'énergie qui sent le soufre à toutes les images. On y découvre un Patrick Chesnais sans états d'âme, totalement à l'aise dans le noir serré.
20 Minutes
Ce premier long-métrage laisse présager d'une belle nature de cinéaste au tempérament sombre et à la direction d'acteurs prometteuse. Il y a du vrai cinéma dans ce film-là.
Critikat.com
"La Braconne" parvient (...) à construire une véritable éthique de l’image, loin d’une dénonciation attendue ou d’une complaisance redoutée.
Franceinfo Culture
Toujours noir, parfois violent, "la Braconne" se distingue par son esthétique épurée, la qualité de son improbable duo d'acteurs et sa capacité à éviter les lieux communs.
L'Express
Voir le site de L'Express
La Croix
Samuel Rondière, qui écarte les clichés attachés à son sujet, donne une tonalité singulière à son premier film par ses plans étirés. Patrick Chesnais impérial.
Le Journal du Dimanche
Avec peu de moyens, Samuel Rondière prouve qu'on peut signer un excellent premier film. Il installe une atmosphère prenante sur la base d'une bonne écriture scénaristique et d'une intelligente direction d'acteurs.
Ouest France
Un premier long métrage de Samuel Rondière porté par un tandem d'exception (...). Avec un peu d'humour pour débrider un propos sombre et fataliste plongé dans une certaine réalité du jour.
Paris Match
Comme exhumé du sarcophage d’un film d’Audiard, mais sans les dialogues, Patrick Chesnais donne à l’ultime galop de son personnage de malfrat à l’ancienne une densité poignante. Il trouve ici un de ses rôles les plus forts. Et nous, un des films français les plus intéressants du moment. Et ce n’est pas de l’arnaque…
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Figure de genre, le duo de truands est réinventé par la grâce de ce premier film qui joue avec les codes pour attraper, au même piège, romanesque et réalisme.
Télérama
Mais c'est avec tendresse que Samuel Rondière observe Patrick Chesnais, magnifique silhouette de vieux rockeur rompu, marcher, entre fatigue et rage, vers son destin.
L'Humanité
Le maillon faible du film est sans aucun doute le scénario. Mais Rondière reste un cinéaste à suivre.
Le Monde
Premier long-métrage de Samuel Rondière, "La Braconne" se prend un peu les pieds dans le scénario, mais ne manque pas de style. Patrick Chesnais et Rachid Youcef y forment un duo tout à fait convaincant.
Les Fiches du Cinéma
Bien qu'inabouti en terme d'écriture, il ressort de “La Braconne” un duo à la touchante maladresse.
Première
Ce clash des générations donne tout son sel à ce film de potes très noir. L'ouverture est un peu laborieuse mais ce premier long métrage n'en reste pas moins un bon western urbain.
aVoir-aLire.com
Patrick Chesnais imprègne de gravité ce premier film très noir, qui laisse le temps aux images de signifier au-delà des mots.
Positif
Un dialogue des générations entre un vieux truand sans génie, sans illusions, sans femme et d'une jeune racaille illettrée. Tout cela est lesté de mythologie exsangue (...), de psychologie épaisse et fatras sociologique. Totalement sans intérêt.