Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
Mel Gibson nous offre un condensé terrassant de ses thèmes de prédilection.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Un grand film totalement fou, aux thématiques tranchantes comme un rasoir, qu'on croirait sorti d'un autre temps.
20 Minutes
par Caroline Vié
Avec "Tu ne tueras point", Mel Gibson sidère le spectateur en le poussant au milieu des combats de la Seconde Guerre mondiale. Autour d’ Andrew Garfield, objecteur de conscience tentant de sauver des vies, le réalisateur fait renaître des affrontements d’une violence hallucinante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Mel Gibson plonge le spectateur dans l'enfer de la guerre avec une sauvagerie d'une intensité folle. Une véritable expérience cinématographique pour un réalisateur hors-normes. Mad Mel is back et cela fait du bien !
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une histoire vraie, faite pour l’univers de Mel Gibson : le grand rachat par la foi, et le pacifisme exalté au milieu d’un déchaînement de violence. La passion d’un homme, après celle du Christ…
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Si c'était une pure fiction, on trouverait peut-être exagérée cette formidable antithèse entre la douceur héroïque d'un seul homme et le déchaînement général de la violence. Mais l'histoire est vraie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par La Rédaction
Le réalisateur de "La Passion du Christ" et "Braveheart" trouve un terrain fertile pour ses obsessions : la violence et la quête de Dieu.
Voici
par La Rédaction
Dingo mais fort.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Mel Gibson bâtit une fable sur le pacifisme sur un monument de violence. Le résultat visionnaire déroute et questionne. Mais surtout il passionne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Parisien
par La Rédaction
Belle idée de filmer le conflit avec un maximum de véracité : Steven Spielberg et son « Soldat Ryan », jusqu'ici détenteurs du record de réalisme en matière de scènes de bataille, sont battus à plate couture (...). Ames sensibles s'abstenir. On apprécie moins l'insistance un peu lourde sur les aspects religieux de cette histoire (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
“Tu ne tueras point”, ou Mel Gibson tel qu’en lui-même, conjugant allègrement discours humaniste, imagerie évangélique et brutalité des séquences de guerre. Pour flirter avec l’académisme, le film n’en ménage pas moins d’authentiques morceaux de bravoure.
Paris Match
par Alain Spira
Inspiré d'une histoire vraie, ce film de guerre va comme un uniforme à Mel Gibson qui excelle à filmer la violence avec une puissance visuelle dévastatrice. Idéologiquement, il est plus discutable de faire le portrait d'un objecteur de conscience tout en tenant un discours militariste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
À défaut d'un film subtil (...), c'est à un déchaînement de violence cathartique et purement cinétique sans commune mesure que l'on assiste, qui a bien plus à dire sur son auteur que sur son personnage.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
S'il s'interroge intelligemment sur le bien et le mal, le réalisateur de "La Passion du Christ" ne peut s'empêcher, sur la fin, d'en rajouter dans une bondieuserie naïve. Dommage, même si bien des images de cet opéra sanglant continuent de hanter largement après la projection.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Si la première heure, pesamment explicative sur la psychologie et la foi du personnage, manque de chair, dès que les combats débutent, le film prend aux tripes. Gibson donne alors la mesure de son talent pour orchestrer en maître des scènes de bataille d'un réalisme et d'une violence hypnotique rarement vus.
Critikat.com
par Benoît Smith
"Tu ne tueras point" avait l’opportunité de faire le portrait d’une anomalie humaine au beau milieu de la communion guerrière. Sur ce plan-là, c’est un échec, mais un échec non dénué d’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Le cinéma est là, oui, le talent parfois aussi, mais au service d'un ego artistique agaçant.
L'Obs
par François Forestier
Comme dans ses réalisations précédentes, le cinéaste laisse libre cours à sa fascination du sang, son goût de la violence et son obsession du sacrifice. C’est pénible, déplaisant et, franchement, le message évangélique de Mel Gibson, on s’en talque le nombril avec le pinceau de l’indifférence.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On ne peut qu’admirer le courage de cet homme simple qui a combattu l’ennemi à la seule force de sa foi. Mais en faisant de lui un quasi-benêt un brin illuminé maltraité par son père, Mel Gibson ne rend pas hommage à ce héros. Le manque de charisme d’Andrew Garfield (...), le pathos du film et la galerie de personnages secondaires caricaturaux n’arrangent rien à l’affaire.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Tu ne tueras point relève presque du cas psychiatrique et fait basculer le cinéma de Gibson dans l'ère du "catho-porn", cet Hollywood parallèle destiné à remplir les multiplexes de l'Amérique bigote.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
"Tu ne tueras point", on s’en doute, fait partie de ces films américains abusant de phrases qui se terminent par « bla bla bla… for this country ».
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Sous prétexte de tirer le portrait d’un objecteur de conscience héroïque pendant la Deuxième Guerre mondiale, le réalisateur signe un film abject et complaisant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tel l’amateur de beurre, Mel Gibson, réalisateur prosélyte et assoiffé de sang, voudrait, tout en triomphant au box-office, élever l’âme et satisfaire les plus bas instincts du spectateur. Ce tour de force déjà accompli avec "La Passion du Christ", il espère le rééditer avec "Tu ne tueras point", qui, contrairement à ce que pourrait laisser croire son titre, laisse sur le carreau un nombre colossal de personnages et de figurants.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ecran Large
Mel Gibson nous offre un condensé terrassant de ses thèmes de prédilection.
Mad Movies
Un grand film totalement fou, aux thématiques tranchantes comme un rasoir, qu'on croirait sorti d'un autre temps.
20 Minutes
Avec "Tu ne tueras point", Mel Gibson sidère le spectateur en le poussant au milieu des combats de la Seconde Guerre mondiale. Autour d’ Andrew Garfield, objecteur de conscience tentant de sauver des vies, le réalisateur fait renaître des affrontements d’une violence hallucinante.
Filmsactu
Mel Gibson plonge le spectateur dans l'enfer de la guerre avec une sauvagerie d'une intensité folle. Une véritable expérience cinématographique pour un réalisateur hors-normes. Mad Mel is back et cela fait du bien !
Le Dauphiné Libéré
Une histoire vraie, faite pour l’univers de Mel Gibson : le grand rachat par la foi, et le pacifisme exalté au milieu d’un déchaînement de violence. La passion d’un homme, après celle du Christ…
Le Figaro
Si c'était une pure fiction, on trouverait peut-être exagérée cette formidable antithèse entre la douceur héroïque d'un seul homme et le déchaînement général de la violence. Mais l'histoire est vraie.
Ouest France
Le réalisateur de "La Passion du Christ" et "Braveheart" trouve un terrain fertile pour ses obsessions : la violence et la quête de Dieu.
Voici
Dingo mais fort.
aVoir-aLire.com
Mel Gibson bâtit une fable sur le pacifisme sur un monument de violence. Le résultat visionnaire déroute et questionne. Mais surtout il passionne.
CinemaTeaser
Visuellement redoutable, humainement fort, religieusement lourd.
Le Parisien
Belle idée de filmer le conflit avec un maximum de véracité : Steven Spielberg et son « Soldat Ryan », jusqu'ici détenteurs du record de réalisme en matière de scènes de bataille, sont battus à plate couture (...). Ames sensibles s'abstenir. On apprécie moins l'insistance un peu lourde sur les aspects religieux de cette histoire (...).
Les Fiches du Cinéma
“Tu ne tueras point”, ou Mel Gibson tel qu’en lui-même, conjugant allègrement discours humaniste, imagerie évangélique et brutalité des séquences de guerre. Pour flirter avec l’académisme, le film n’en ménage pas moins d’authentiques morceaux de bravoure.
Paris Match
Inspiré d'une histoire vraie, ce film de guerre va comme un uniforme à Mel Gibson qui excelle à filmer la violence avec une puissance visuelle dévastatrice. Idéologiquement, il est plus discutable de faire le portrait d'un objecteur de conscience tout en tenant un discours militariste.
Positif
À défaut d'un film subtil (...), c'est à un déchaînement de violence cathartique et purement cinétique sans commune mesure que l'on assiste, qui a bien plus à dire sur son auteur que sur son personnage.
Studio Ciné Live
S'il s'interroge intelligemment sur le bien et le mal, le réalisateur de "La Passion du Christ" ne peut s'empêcher, sur la fin, d'en rajouter dans une bondieuserie naïve. Dommage, même si bien des images de cet opéra sanglant continuent de hanter largement après la projection.
Télé 7 Jours
Si la première heure, pesamment explicative sur la psychologie et la foi du personnage, manque de chair, dès que les combats débutent, le film prend aux tripes. Gibson donne alors la mesure de son talent pour orchestrer en maître des scènes de bataille d'un réalisme et d'une violence hypnotique rarement vus.
Critikat.com
"Tu ne tueras point" avait l’opportunité de faire le portrait d’une anomalie humaine au beau milieu de la communion guerrière. Sur ce plan-là, c’est un échec, mais un échec non dénué d’intérêt.
L'Express
Le cinéma est là, oui, le talent parfois aussi, mais au service d'un ego artistique agaçant.
L'Obs
Comme dans ses réalisations précédentes, le cinéaste laisse libre cours à sa fascination du sang, son goût de la violence et son obsession du sacrifice. C’est pénible, déplaisant et, franchement, le message évangélique de Mel Gibson, on s’en talque le nombril avec le pinceau de l’indifférence.
Le Journal du Dimanche
On ne peut qu’admirer le courage de cet homme simple qui a combattu l’ennemi à la seule force de sa foi. Mais en faisant de lui un quasi-benêt un brin illuminé maltraité par son père, Mel Gibson ne rend pas hommage à ce héros. Le manque de charisme d’Andrew Garfield (...), le pathos du film et la galerie de personnages secondaires caricaturaux n’arrangent rien à l’affaire.
Les Inrockuptibles
Tu ne tueras point relève presque du cas psychiatrique et fait basculer le cinéma de Gibson dans l'ère du "catho-porn", cet Hollywood parallèle destiné à remplir les multiplexes de l'Amérique bigote.
Cahiers du Cinéma
"Tu ne tueras point", on s’en doute, fait partie de ces films américains abusant de phrases qui se terminent par « bla bla bla… for this country ».
La Croix
Sous prétexte de tirer le portrait d’un objecteur de conscience héroïque pendant la Deuxième Guerre mondiale, le réalisateur signe un film abject et complaisant.
Le Monde
Tel l’amateur de beurre, Mel Gibson, réalisateur prosélyte et assoiffé de sang, voudrait, tout en triomphant au box-office, élever l’âme et satisfaire les plus bas instincts du spectateur. Ce tour de force déjà accompli avec "La Passion du Christ", il espère le rééditer avec "Tu ne tueras point", qui, contrairement à ce que pourrait laisser croire son titre, laisse sur le carreau un nombre colossal de personnages et de figurants.