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    Need for Speed
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Need for Speed" et de son tournage !

    A l'origine...

    Need for Speed est un des jeux vidéo les plus joué depuis sa création au siècle dernier… Sorti pour la première fois en 1994 et édité par Electronic Arts, le jeu compte 20 épisodes sur différentes plateformes. Il a été édité dans 22 langues et distribué dans 60 pays, s’est vendu à plus de 135 millions d’exemplaires (ce qui est colossal, mais ce chiffre a mis 20 ans à atteindre ce palier) et en 2009, EA (l'éditeur) revendiquait déjà 2,7 milliards de recettes pour la saga.

    Dreamworks et Electronic Arts : une belle histoire

    Cela fait longtemps que les deux sociétés forment un partenariat solide. Ainsi, En 2000, la Major Dreamworks revendait en effet sa filiale DreamWorks Interactive à l'éditeur Electronic Arts, devenu depuis Danger Close Games, et plus connu sous le nom de EA Los Angeles

    Un jeu vidéo "filmique"

    Ce n'est qu'une demi-surprise que la série de jeux vidéo connaisse une adaptation sur grand écran, tant elle lorgnait avec le long-métrage ces dernières années avec ses cinématiques incluant des "vrais" acteurs.

    Passionnés

    Les scénaristes John et George Gatins ont travaillé avec Need for Speed dans un univers qu’ils connaissent bien. En effet, les deux hommes passionnés de bolides possèdent leur propre garage où ils retapent d’anciennes voitures.

    Profession : cascadeur de père en fils

    Le réalisateur Scott Waugh est lui aussi un vrai passionné de vitesse, et pour cause : il a évolué en tant que cascadeur pendant de nombreuses années. Son père, Fred Waugh, était lui aussi un cascadeur reconnu dans le milieu. Père et fils ont notamment contribué au développement technique des caméras pour les adapter à un tournage de film d’action. On leur doit entre autres l’invention de la caméra 35mm montée sur casque ainsi que la Pogo Cam. Le film est dédié à Fred, décédé en 2013 avant la sortie de celui-ci.

    Au plus proche du réel

    Toutes les cascades ont été tournées en décors naturels. La production tenait à ce que le spectateur ressente cet effet de vitesse présent dans le film. Le tournage dans des décors naturels a ainsi permis de donner un aspect réel aux images, ce qui n’aurait pas eu le même rendu avec des effets tournés sur fond vert.

    Inspirations

    Plusieurs films ont été une source d’inspiration pour la réalisation de Need for Speed : on peut citer le classique du genre Bullitt de Peter Yates, le haletant French Connection de William Friedkin ou encore le thriller Duel de Steven Spielberg. Enfin, l’ensemble de l’équipe s’accorde à dire que l’esprit du légendaire Steve McQueen a été présent tout au long du processus créatif.

    Retrouvailles

    Les deux acteurs Aaron Paul et Imogen Poots ont, peu de temps après Need for Speed, collaboré sur A Long Way Down de Pascal Chaumeil. Le réalisateur Scott Waugh retrouve quant à lui le directeur de la photographie Shane Hurlbut. Hurlbut avait déjà participé au précédent film de Waugh : Act of Valor. Enfin, le chef décorateur Jon Hutman et le producteur Tim Moore collaborent ensemble à nouveau, après la première réalisation d’Angelina Jolie : Au Pays du Sang et du Miel.

    Un Kid peut en cacher un autre…

    Le nom de Scott Mescudi ne vous dit rien ? C’est sans doute parce que l’acteur n’a pas pour habitude de se faire appeler de la sorte. En effet, il est surtout reconnu pour ses activités musicales sous le nom de Kid Cudi !

    Conception des voitures

    La société Ford Motors a aidé l’équipe technique à concevoir les voitures utilisées dans le film. La Mustang est inspirée du modèle Shelby GT500 fabriqué en 2013. L’un des designers de Ford, Carroll Shelby, est décédé en 2012, l’ensemble de la production tenait donc à lui rendre hommage en conservant dans le design de la Mustang des caractéristiques propres à son travail comme les bandes bleues ou l’aspect chromé.

    Des chevaux sous le capot…

    La Mustang du film a été remodifiée pour pouvoir correspondre aux contraintes techniques du tournage. Ainsi, elle est plus large, les rétroviseurs sont en réalité des caméras et le tableau de bord permet d’accueillir la tablette de Tobey. Le moteur V8 est quant à lui capable de monter jusqu’à 300 km/h ! Sept Mustangs en tout ont été nécessaires à la réalisation des différents plans.

    Les vraies stars

    On peut apercevoir dans le film quelques voitures emblématiques de l’univers des jeux vidéo mais également du monde automobile. Citons la Ford Gran Torino 1969, la Chevrolet Camaro 1968, la Pontiac GTO de 1966. La Koenigsegg Agera R suédoise quant à elle fait 2.66m et dispose d’un moteur central capable de monter jusqu’à 435 km/h. La Lamborghini Sesto Elemento mesure 2.56m et la Spano GTA 2.54m. La Bugatti Veyron ou encore la McLaren P1 font également 2.66m.

    C’était écrit…

    L’auteur/producteur John Gatins avait été repéré par Steven Spielberg himself ! Celui-ci lui avait proposé l’adaptation d’un roman de science-fiction intitulé "Steel" (de Richard Matheson). C’est ainsi qu’est né Real Steel réalisé par Shawn Levy. Le producteur délégué du film aux côtés de Steven Spielberg n’était autre que Robert Zemeckis qui a ensuite confié le scénario de son film, Flight, à Gatins.

    Repéré !

    Alors qu'Aaron Paul cassait l'écran dans Breaking Bad, il a été repéré par Steven Spielberg, producteur délégué du film (et président de Dreamworks). Celui-ci a pensé que Paul ne devrait pas jouer LE méchant comme ça devait être le cas mais au contraire LE gentil !

    Marche arrière !

    A la place d'Aaron Paul, Taylor Kitsch, Liam HemsworthBrenton Thwaites et Luke Bracey avaient été pressentis pour le rôle principal. Du côté des filles c'est Riley Keough qui avait d'abord auditionné pour le rôle ensuite attribué à Imogen Poots.

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