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    Salaud, on t'aime
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    crachou94
    crachou94

    22 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2014
    Je ne suis pas fan de Lelouch mais j'ai eu une bonne surprise, paysages magnifiques,Sandrine Bonnaire toujours aussi lumineuse , seul Johnny fait du Johnny.
    Craoux
    Craoux

    19 abonnés 281 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2014
    Etais-je de "bon poil" ? Faut croire que oui, car je ne me suis pas trop ennuyé malgré le scénario absent, la direction d'acteurs absente, les invraisemblances présentes, elles ... et bien trop nombreuses. Il n'y a aucune analyse de caractères. A vrai dire, on se demande si Lelouch ne s'est pas économisé sur l'écriture de ses personnages - caricaturaux pour certains - car aucun de ses acteurs n'arrive à les faire vivre avec un tant soit peu d'épaisseur; de crédibilité. A commencer par Johnny, qui démontre ici qu'il n'est définitivement pas un acteur (il récite son texte). Eddy ne s'est pas senti plus inspiré que ça par le rôle du pote / toubib (on le croirait "spectateur" de l'action). Les 4+1 filles sont capables d'un registre émotionnel joué peu subtilement, passant sans coup férir de l'amour à la haine de leur père, sans vrai raison. Sandrine, elle, semble y croire à cette histoire effilochée et compose un "vrai" personnage. Curieusement, on est étonné que Lelouch, bouclage du financement du film oblige, nous ait servi des moments de pub pas si subliminale que ça d'ailleurs (le coup de la montre Chopard par exemple). Certes, le pilier de cette histoire de famille (sic) n'est pas un gars désargenté mais trop, c'est chiant, non ? Reste, je le reconnais, une très belle habilité à manier la caméra, avec des cadrages toujours chouettes, une "photo" toujours belle et travaillée, ce qui m'a aidé - je dois le confesser - à tenir les 2 heures que durent ce film ... Mais pour finir, je pose la question: Lelouch a-t-il encore qqe chose à nous dire ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 septembre 2017
    Cela ne partait pas trop mal, Johnny, Eddy et Sandrine jouent assez bien. La photo est magnifique mais quoi de plus naturel, lorsque le naturel l'est ! Coincée entre le Beaufortain et les Aravis (deux massifs somptueux), l'histoire se situe. Une histoire de famille singulière mais pas déplaisante à suivre. On se dit, nous n'allons pas assister au film du siècle mais nous allons passer un bon moment dans les alpages. Et puis, Claude Lelouche se met à n'y voir plus clair. Peut être aveuglé par la beauté des paysages. Le film bascule, dérape, dévisse comme on pourrait dévisser sur un sentier caillouteux trop humide lors d'une randonnée en montagne. Une histoire de corde qui fait grosse ficelle. Est-ce une overdose de génépi, de vulnéraire ou de chartreuse, la vision de Lelouche se trouble de plus en plus. Est-ce le manque d'oxygène dû à l'altitude ou tout simplement des minutes qu'il manquait à son film. Lelouche nous entraine dans une deuxième partie qui se barre en testicules (pour être poli). Un thriller qui n'a ni queue, ni tête. J'ai appuyé sur le bouton arrêt de mon lecteur DVD. J'ai regardé par la fenêtre, j'ai vu mes montagnes. Toujours aussi belles, toujours aussi majestueuses. Je me suis finalement dit: pas besoin d'un navet pour apprécier la nature.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 avril 2014
    Bravo Mr Lelouch encore un très beau film que vous nous offrez !!!
    Une histoire émouvante, d'amitié, d'amour, de relations avec les enfants, de plus de magnifiques paysages et un suspens !!!!
    Johnny Hallyday a très bien interprété son rôle, vous avez eu le courage de lui donner une chance qu'il mérite.
    Eddy Mitchell, Sandrine Bonnaire sont à la hauteur, comme d'habitude.
    Encore merci pour ce film.
    rogerwaters
    rogerwaters

    129 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Après une première heure plutôt correcte – même si le postulat de départ, le mensonge d’Eddy Mitchell paraît énorme – le film donne l’impression de se déliter au fur et à mesure. Car le postulat autobiographique est intéressant et Lelouch parvient à rendre ses différents personnages assez proches de nous, mais il ne sait pas bien quoi en faire et on a quand même souvent l’impression d’une navigation à vue. L’ajout in fine d’une pseudo histoire policière est une diversion de plus, parfaitement inutile et longuette, afin d’éviter au cinéaste de traiter pleinement son sujet. C’est d’autant plus dommage qu’il dispose d’un casting bien dirigé. Johnny Hallyday prouve une fois de plus – après sa performance remarquable dans le Vengeance de Johnnie To – qu’il a enfin trouvé le ton pour être juste à l’écran. Il est même excellent lors des scènes émouvantes et je ne pensais vraiment pas écrire ça un jour sur son compte. Il est secondé par la solaire Sandrine Bonnaire et un Eddy Mitchell très à l’aise en meilleur pote. Bref, si l’on omet quelques belles prises de vues et les acteurs, il ne reste pas grand-chose de ce film.
    François A.
    François A.

    23 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 avril 2014
    C'est un grand millésime Lelouch ! Tout est génial, le jeu des acteurs et actrices, d'une vérité criante, les paysages et les scènes animalières, admirablement bien filmés. On a toute l'émotion, du rire aux larmes, et on oublie que les deux rôles principaux sont tenus par d'immenses stars. Sandrine Bonnaire est troublante dans les sentiments qu'elle exprime et qui transpercent l'écran. Bravo Claude Lelouch !
    Robrex
    Robrex

    20 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2017
    Dommage !! Le propos du film était intéressant et les acteurs jouent à peu près correctement. Quand on regarde le film, on se dit que c'est beau visuellement avec la campagne, la beauté du paysage, et les quatre filles du personnage de Johnny Hallyday qui en plus d'être aussi canons toutes les quatre, s'appellent comme les quatre saisons, ce qui peut être drôle par moment, mais... Que c'est chiant !!!!! Non, vraiment, c'est très ennuyeux, c'est plat, mou et poussif. C'est pour ça que je dis que c'est dommage, car on retrouve dans le même film Eddy Mitchell et notre idole Johnny Hallyday qui vient de nous quitter. R.I.P grand artiste, mais c'est quand même triste de voir que l'un des derniers films dans lequel Johnny a joué aussi chiant et mou. Voilà, même si ça se voulait comme un drame français, ça reste un film ennuyeux où tu t'en fiches carrément du twist final. Pour moi c'est un potentiel gâché, et c'est dommage !!
    montecristo59
    montecristo59

    34 abonnés 288 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 septembre 2016
    "Un homme et DES femmes", ça pourrait être le titre du 44° film de Mr Claude Lelouch. Mais le cher homme a préféré ne pas en remettre une Lalouche (oups, pas pu m'empêcher de placer un calembour débile) en faisant référence à son premier opus , "Un homme et une femme", qui comme chacun sait, le propulsa vers la célébrité à l'époque bénie des sixties, quand le terme bling bling n'avait pas encore été inventé par un borgne pour désigner un nain... Non. Son film, il l'a nommé "Salaud on t'aime". Tout un programme.
    Pas de chabadabada donc dans ce joli chromo couleur carte postale de montagne. Mais du bling bling, y en a en veux-tu en voilà, et à gerber pour ce qui me concerne. Je me suis posé la question de me lever au bout d'une bonne demi-heure, mais non. Les entourloupes d'Eddy Mitchell pour combler son vieux pote Johnny m'ont tout juste retenu. C'est le moins pire de tous, Eddy (je ne sais plus comment il s'appelle dans le film). Quant à Johnny, en vieux baroudeur encore capable de tomber une dernière meuf, il est toujours aussi photogénique, mais à part sa gueule (Quoi, sa gueule ?)... Il joue le rôle de Kaminsky, un grand reporter de guerre qui a ramené de ses barouds :
    -1/quatre filles de quatre femmes avec lesquelles il s'est fâché
    -2/beaucoup de blé, assez pour s'offrir une superbe ferme de montagne : on le voit la visiter au début avec sa dernière femme, guidé par la toujours classe Sandrine Bonnaire qui tient l'agence immobilière vendeuse et avec qui il ne va pas faire que signer un contrat d'achat...
    -3/pas trop d'états d'âme apparemment, vu qu'il excelle dans l'art de ne pas dire grand chose d'important. Bon d'accord, peut-être qu'il pense trop au monde en souffrance. Ce monde qu'il a tant vu souffrir derrière les innombrables appareils photos qu'il expose sur une table dédiée, peut-être qu'il y pense trop pour avoir encore l'envie d'avoir envie...

    Dans cet esthétique navet, le plus bling bling et ce qui m'a vite intrigué, c'est peut-être que dans la cour du domaine si classieux que s'achète Kaminsky, trône une Triumph noire ( je crois que c'en est une, on la voit souvent très vite. Mais c'est même pas une vraie anglaise, juste une replica made in Japan of course) posée là tout le long du film sans que personne ne s'en serve. On ne l'entend jamais mais elle est là, nickel chrome et toujours posée au même endroit, la belle moto pour faire beau sur la photo. C'est peut-être pour entendre quel son elle donnait que je suis resté jusqu'à la fin.
    Mais non, nada, je suis resté sur ma faim. Pas de son Triumphant, et rien à retenir de cette daube luxueuse. A éviter donc. Enfin selon moi.
    Septième Sens
    Septième Sens

    77 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 avril 2014
    Plus les années passent, plus nous avons le besoin de nous rapprocher des êtres qui nous sont chers. Avant nous n'avons pas le temps, à cause d'un boulot qui nous accapare tout notre temps, ou d'instabilité sentimentale peu propice aux réunions de famille. Jacques est ancien photographe de guerre, a soixante douze ans, et ses quatre filles lui manquent. Son meilleur ami ment alors à ses dernières en leur faisant croire que leur père est malade pour que tout le monde se retrouve, enfin, en famille.

    Film clairement biographique, le personnage principal de cette œuvre représente une sorte d'alter ego de Lelouch. Mal-aimé de beaucoup de personnes de la profession, le réalisateur continue de tourner malgré le temps qui passe et les critiques qui fusent. Idem pour Hallyday qui amorti les coups depuis maintenant plus de cinquante ans. Ce titre Salaud, on t'aime s'applique bien à tous les deux et donne au récit une saveur bien particulière.

    Le film pourrait se diviser en deux parts tout à fait inégales. Le côté léger, familial et poétiquement carpe-diem est réussi. Nous avons envie de nous asseoir à leur table déguster un bon verre de vin et parler de la vie, de tout, de rien. Certaines scènes sont mémorables, comme lorsque l'on voit ces deux dinosaures du rock que sont Hallyday et Mitchell chanter faux sur un air du western Rio Bravo. Nous avons comme l'impression que le cinéaste a rassemblé une grande famille dans un chalet perdu en montagne pour y tourner un film. C'est cet aspect spontané et chaleureux que nous aimons dans Salaud, on t'aime.

    Mais c'est bien la dernière partie, partant sur le genre du polar, qui nous déçoit le plus. Lelouch insère des flash-forward hasardeux et très mal situés, rendant le récit parfois flou, peu linéaire, et même hors-sujet. La dernière demie-heure ne nous intéresse donc guère car ce n'est pas cela que nous étions venus chercher en allant voir ce film. De plus, les actrices peu expérimentées (si ce n'est Irène Jacob) interprétant les quatre filles du photographe n'arrivent pas à développer une once d'émotion à l'égard de n'importe quel événement narratif, rendant le récit très peu crédible lors de scènes clés. Seule Bonnaire s'en sort parfaitement en nouvelle femme douce et compréhensive d'un vieux briscard à qui l'on pardonne tout.

    Mais avec le personnage d'Antoine Duléry, Lelouch semble justifier ce geste cinématographique. La vie serait un polar, et donc le cinéma doit l'être aussi. Mais encore faut-il rendre sa narration censée, attractive et cohérente vis à vis de l'ensemble scénaristique. Ici, ce n'est pas le cas, et c'est fort dommage.
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    71 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2014
    Malgré une histoire pas forcément originale, on voit bien que c'est avec passion que Claude Lelouch a réalisé "Salaud, on t'aime". Les thèmes qu'il a toujours défendus sont présents, aussi on pouvait s'attendre à une certaine lassitude ; il n'en est finalement rien. Les dialogues ne sont pas excellents, avec une quantité assez indigeste d'aphorismes relevant souvent de la philosophie de comptoir, mais les émotions affleurent bien souvent. Le mérite en revient tout d'abord aux acteurs, très bons pour la plupart, mais aussi à la façon dont Lelouch filme son récit : le cadre magnifique est très utile, associé à une superbe photographie, deux éléments qui font ressortir la déchirure de Jacques Kaminsky, vivant dans un décor de rêve mais incapable d'être heureux sans ses filles. Le tout est sans doute trop ficelé, avec la présence de vieilles chansons, le discours – certes réussi – sur l'amitié, les paysages de carte postale, mais l'émotion est malgré tout vraiment présente, dans les trajets en voiture sous la pluie, sur le visage de Jacques lorsqu'il surprend ses filles parler de sa mort anticipée... Le rebondissement qui intervient vers la fin est en outre très fort, permettant au film d'accéder vers quelque chose de plus grand ; hélas, la suite est moins réjouissante, avec des retournements de situation tirés par les cheveux et une fin consensuelle. Dans l'ensemble, le film reste sympathique, mais il aurait pu être bien meilleur sans deux gros défauts très gênants. Tout d'abord, cette intrigue secondaire autour du casse d'une banque, qui n'a strictement rien à voir avec l'histoire mais qu'on a déjà vue chez Lelouch, preuve de sa fascination stupide pour les grand criminels imbus de leur personne. Plus encore, c'est l'idéologie de droite d'une pauvreté consternante qui abaisse la qualité du film. Pour le réalisateur, l'argent semble être la valeur reine, ceux en disposant étant des gens très intéressants dont les problèmes valent la peine d'être filmés. À des lieues de ceux-ci, ceux n'ayant pas réussi sont condamnés à rester des serviteurs dévoués et incultes, des individus sympathiques qu'on aime bien, qu'on peut aider de temps en temps, qu'on peut même occasionnellement inviter à sa table, mais qui n'accèderont jamais à la distinction des grands propriétaires. De la scène où Jacques invite un Noir à partager leur repas se dégage une sorte de racisme paternaliste : si le photographe ne semble avoir aucune arrière-pensée, il démontre pourtant qu'il se considère comme appartenant à un monde sensiblement différent du vendeur, puisqu'il résout en deux secondes tous les problèmes d'argent de ce dernier, comme s'il ne comprenait pas qu'on puisse être obligé de travailler pour gagner sa vie. Cette idéologie nauséabonde ressort assez souvent dans le film ; pourtant elle ne suffit pas à le gâcher, grâce à une certaine dose d'humour qui est associée à ces scènes.
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2014
    Cette histoire de famille recomposée a été une bonne surprise. ay et E. Mitchell m'ont étonnée, je les ai trouvés très convaincants dans leurs rôles et les actrices ne sont pas en reste. La musique, les paysages, les belles photos de vaches et la réalisation de Lelouch apportent un charme supplémentaire au film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 mai 2014
    Un film en demi-teinte qui aurait mieux gagné à être épargné de sa dernière partie, laissant un goût final désagréable du fait de sa déplorable écriture et en dépit d’une réalisation très soignée.
    virnoni
    virnoni

    94 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2014
    Belle surprise! Je ne suis pas du tout fan de Lelouch et en général, ça passe ou ça casse avec lui. Le dernier que j'avais vu étant itinéraire que j'avais adoré. Seulement, il reste un grand cinéaste, qu'on peut dire à l'ancienne ms dans le bon sens du terme et qui me fait aimer ce film choral. Il y en a peu qui film avec autant de sincérité et d'amour. Parfois c'est limite, c'est bancal mais quelle beauté dans les images et dans la vision de la vie, des gens, de l'amitié et de l'amour (avec un grand A : paternel, amant, soeurs, amis, voisins). J'ai hésité avec très bien mais il y a néanmoins trop de longueurs, surtout dans la deuxième partie du film qui est un vrai renversement (bienvenu pourtant et cohérente) mais la conclusion arrive trop longtemps après, on sent que le film tire et s'éparpille dans une sorte de "policier" qq peu ridicule même. Le GROS plus reste l'interprétation. Peu de réal aussi arrivent à tirer autant de justesse et de vérité chez ses acteurs. Tous superbes. Johnny fait oublier le chanteur, c'est juste hallucinant. Il se met à nu, c'est véritablement émouvant. Son visage reste beau, gravé dans la douleur comme le bonheur selon la scène. Son duo avec Eddy Mitchell est juste formidable. On ressent leur vraie amitié et respect. C'est beau à voir et déjà une scène culte devant le film Rio Bravo ! Les 4 "filles" sont sublimes aussi avec mention pour la plu jeune, tout en fougue et nuance. Bémol pour Pauline Lefèvre que je trouve parfois en sur-jeu ou transparente, comme parfois bonne aussi (mais je ne suis peut-être pas objective, ayant travaillée avec elle dans un ancien temps, avant qu'elle ne soit actrice !). Enfin, SUBLIME Sandrine Bonnaire, de la trempe des Deneuve et Huppertt. Qui se bonifie avec l'âge, elle s'offre aussi à la caméra comme à ce nouvel amour. Elle est lumineuse, sensuelle, fraîche et vraie. Son couple avec Johnny est juste naturel et touchant. On se demande parfois dans la première partie où veut en venir le réal ?? Que va-t-il se passer dans ce paysage et ses retrouvailles, mais il sait en fait faire rebondir cette histoire, de manière assez surprenante ms tjs plausible et émouvante (principalement avec le renversement du milieu). En fait, c'est juste la vie qu'il nous présente !!! Avec son lots d'emmerdes, de joies, de doutes, de questions et de douleurs. J'ai juste trouvé le final concernant Johnny un peu "dommage" par rapport à l'ensemble et sa vie mais en fait, oui, la vie c'est ainsi, c'est parfois bête, c'est surprenant, il faut faire alors avec, sans regrets. Juste la vivre! Merci pour ce joli conte qq part, cette tranche de vie. Je recommande s à aprioris, juste à savourer comme un petit moment de partage de la vie du réal.
    Ndez
    Ndez

    20 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 avril 2014
    Déçu par cette dernière mouture de Lelouch. Emballé par l'idée du scénario , ce baroudeur photographe héritant au cours de ses périples de quatre filles aux prénoms pour le moins originaux et temporels..décide de se poser aux portes des montagnes et de l'amour. Embarquant son ami de toujours pour une dernière séance, ce dernier un brin taquin décide de lui jouer un dernier tour sur un air de Vivaldi (quatre saisons)..engueulades et drame à la clé...bref une vie égocentrique de premier ordre explosée et exposée par Lelouch soufflant le chaud puis le froid..intéressant donc et voilà pour le cadre.

    Hélas irrité (déjà) par les invraisemblances photographiques (les amateurs les découvriront du premier coup d’œil), l'épaisseur du jeu des acteurs et de son principal interprète me conforte dans ma déception.. Bien à eux, le scénario et les dialogues leurs sont imposés..creux sans profondeur, ni réelle cohérence avec en point d'orgue une engueulade sans motifs réels et sérieux en autre; et un drame sans queue ni tête. Malgré quelques prises de vue magnifique et un clin d’œil à Fitzgerald et Ellington, la mise au point est fait.

    Focus sur notre Johnny national pour le moins très amaigri à l'image de son texte..son regard (de Robert) d'acier et sa voix (intacte) ne suffisent pas à donner du volume au personnage. Sandrine Bonnaire est à sa place avec ce rôle de femme forte et sensible contemporaine amourachée de son papy photographe. Voilà, dommage car l'idée est bonne, les intentions aussi sans doute. Mais la réalisation laisse un sentiment d'un film bâclé, au tournure encore brouillonne qui aurait pu gagné en standing par quelques phrases mieux placées, des idées plus creusées et en remplaçant Hallyday par un Eddy Mitchell que je trouve plus que convaincant.

    une déception rapidement digérée, symptomatique d'un film mat qui aurait pu gagner en brillance..
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 651 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 octobre 2020
    Avec Salaud, on t'aime Lelouch essaie tellement désespérément d'être original mais il finit par être seulement une parodie de lui-même. Par exemple les quatre filles de Jacques (le personnage principal) Kaminsky a eu commodément quatre filles avec quatre femmes différentes au cours de quatre saisons différentes. Il finit par les mal nommée Printemps, Été, Automne et Hiver Kaminsky vraiment comme c'est original. Jamais Lelouch n'a autant testé ma patience et croyez-moi il l'a fait plus d'une fois dans le passé. Je ne sais pas à quoi pensait le réalisateur mais croyait-il vraiment qu'il toucherait son public en faisant défiler les richesses des personnages principaux encore et encore tout au long du film ?. Toute l'histoire absurde devient rapidement arrogante lorsque l'histoire révèle que Kaminsky a acheté une maison de campagne de plusieurs millions dans le seul but peut-être de rencontrer à nouveau l'agent immobilier qui lui a montré la maison en premier lieu. Et je ne parle même pas de la quatrième fille qui s'est présentée dans un hélicoptère à l'improviste...
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