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Le film de Bonello (...) est un modèle de cinéma haut de gamme. La partition de tous les acteurs est exceptionnelle. Celle de Gaspard Ulliel en particulier.
Avec "Saint Laurent", Bonello embrasse tous ses fétiches (la nuit, le Velvet, la drogue, la damnation…) et les entraîne dans une danse macabre, suave, lyrique, et de bout en bout fascinante.
l’auteur de "Tiresia" et de "L’Apollonide" tire une oeuvre mélancolique et puissante, toute en chaos malgré la douceur du personnage tel que l’incarne Gaspard Ulliel.
Bonello (...) met en scène de façon magistrale le besoin de s'étourdir (sexe, alcool, drogue), aussi impérieux que celui de créer, sa rupture avec son mentor Pierre Bergé, mais surtout sa passion dévorante et toxique pour le dandy Jacques de Bascher, son opium...
Contournant avec élégance le registre pompier du biopic, Bonello livre un portrait en forme d’échantillon d’un "esprit du temps", et un film somptueux sur le désir et la création.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bonello passe brillamment l'épreuve du film de commande en réussissant à faire totalement coïncider la trajectoire biographique d'Yves Saint Laurent avec les contours de son propre univers.
Un parti pris en marge transcendé par la mise en scène, qui bien qu’elle prenne parfois l’ascendant sur l’émotion, sublime la prestation de Gaspard Ulliel, épatant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Sans doute, les amateurs d'histoire(s) de la mode seront-ils surpris par ce récit, davantage tenté par l'abîme que par les colifichets. Reste que sa grâce morbide est irrésistible, teintée ici d'éclats malicieux (...) et sublimée par une BO épatante. (...) ce film a de l'étoffe, tout comme le jeu fragile, inspiré mais sobre, de Gaspard Ulliel dans le rôle-titre.
Cherchant l'éternel dans l'éphémère, la grandeur dans la frivolité, "Saint Laurent" parvient à capter l'esprit d'une époque et de la mode en général, qui passe mais se sédimente.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chargé d’une ambition formelle considérable, et si peu partagée dans le cinéma français récent, le film trouve pourtant une limite. (…) Aux circulations réussies s’oppose une masse de détails et de figures immobiles.
Dans sa composition toute dialectique, si "Saint Laurent" confirme à l’arrivée que Bonello est un grand cinéaste des fins de monde, il peine à convaincre sur son détournement du biopic.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Il y a le potentiel d'une véritable quête du beau. Mais elle est diluée notamment dans une faute de rythme, dû à un montage qui n'a pas su élaguer là où il fallait.
Si Bonello colle avec brio à la brève période de la vie du personnage qu’il a choisi de retracer (1967-1976), celle des années pop, du psychédélisme, de Mai 68 et après, il semble que la portée artistique du phénomène YSL lui échappe un peu.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La manière, indéniable, confine au maniérisme, comme si le soufflé de la sophistication venait parfois à retomber sur lui-même. Reste le long-métrage lui-même, porté par l’interprétation dense, intense, d’un Gaspard Ulliel très convaincant. Bertrand Bonello, en esthète de l’image, en fait un objet sensuel, brillant et élégant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Rien de bien neuf à l’horizon, le récit tournant en rond, sauf pour Pierre Bergé, bien moins loti que dans le précédent, l’auteur préférant accréditer la thèse du grand amour meurtri liant le héros à son âme damnée Jacques de Bascher.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Quelques inspirations heureuses (...) et un brio certain ne suffisent pas à dissiper l'impression que le film ne parvient pas à se hisser à la hauteur de l'ambition affichée.
Le Dauphiné Libéré
Dans une interprétation parfaite de Gaspard Ulliel, un film qui est lui-même un film d’art, de couleurs, de formes. Éblouissant !
Le Monde
(...) Bertrand Bonello, (...) vient indiscutablement de signer son oeuvre la plus ample et la plus aboutie, (...).
Le Parisien
Le film de Bonello (...) est un modèle de cinéma haut de gamme. La partition de tous les acteurs est exceptionnelle. Celle de Gaspard Ulliel en particulier.
Les Inrockuptibles
Avec "Saint Laurent", Bonello embrasse tous ses fétiches (la nuit, le Velvet, la drogue, la damnation…) et les entraîne dans une danse macabre, suave, lyrique, et de bout en bout fascinante.
Public
Un chef-d'oeuvre !
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
l’auteur de "Tiresia" et de "L’Apollonide" tire une oeuvre mélancolique et puissante, toute en chaos malgré la douceur du personnage tel que l’incarne Gaspard Ulliel.
TF1 News
D'un bout à l'autre, éblouissant.
Télé 7 Jours
La version de Bonello est moins accessible, mais enivrante, comme un parfum d'opium.
TéléCinéObs
(...) un modèle de biopic parce qu'il ne cherche pas à en être un.
Télérama
Un coup de théâtre génial et cruel.
Voici
Bonello (...) met en scène de façon magistrale le besoin de s'étourdir (sexe, alcool, drogue), aussi impérieux que celui de créer, sa rupture avec son mentor Pierre Bergé, mais surtout sa passion dévorante et toxique pour le dandy Jacques de Bascher, son opium...
aVoir-aLire.com
Contournant avec élégance le registre pompier du biopic, Bonello livre un portrait en forme d’échantillon d’un "esprit du temps", et un film somptueux sur le désir et la création.
CinemaTeaser
Traversé de fantômes et de grâce, "Saint Laurent" fait le portrait du couturier en vampire torturé.
Femme Actuelle
Un film aux allures de poème noir. Une réussite.
Les Fiches du Cinéma
Bonello passe brillamment l'épreuve du film de commande en réussissant à faire totalement coïncider la trajectoire biographique d'Yves Saint Laurent avec les contours de son propre univers.
Libération
Dans un biopic sophistiqué et scintillant, Bertrand Bonello convoque le fantôme du génie détraqué.
Metro
Un parti pris en marge transcendé par la mise en scène, qui bien qu’elle prenne parfois l’ascendant sur l’émotion, sublime la prestation de Gaspard Ulliel, épatant.
Positif
Sans doute, les amateurs d'histoire(s) de la mode seront-ils surpris par ce récit, davantage tenté par l'abîme que par les colifichets. Reste que sa grâce morbide est irrésistible, teintée ici d'éclats malicieux (...) et sublimée par une BO épatante. (...) ce film a de l'étoffe, tout comme le jeu fragile, inspiré mais sobre, de Gaspard Ulliel dans le rôle-titre.
Première
Cherchant l'éternel dans l'éphémère, la grandeur dans la frivolité, "Saint Laurent" parvient à capter l'esprit d'une époque et de la mode en général, qui passe mais se sédimente.
Cahiers du Cinéma
Chargé d’une ambition formelle considérable, et si peu partagée dans le cinéma français récent, le film trouve pourtant une limite. (…) Aux circulations réussies s’oppose une masse de détails et de figures immobiles.
Critikat.com
Dans sa composition toute dialectique, si "Saint Laurent" confirme à l’arrivée que Bonello est un grand cinéaste des fins de monde, il peine à convaincre sur son détournement du biopic.
Franceinfo Culture
Il y a le potentiel d'une véritable quête du beau. Mais elle est diluée notamment dans une faute de rythme, dû à un montage qui n'a pas su élaguer là où il fallait.
L'Humanité
Si Bonello colle avec brio à la brève période de la vie du personnage qu’il a choisi de retracer (1967-1976), celle des années pop, du psychédélisme, de Mai 68 et après, il semble que la portée artistique du phénomène YSL lui échappe un peu.
La Croix
La manière, indéniable, confine au maniérisme, comme si le soufflé de la sophistication venait parfois à retomber sur lui-même. Reste le long-métrage lui-même, porté par l’interprétation dense, intense, d’un Gaspard Ulliel très convaincant. Bertrand Bonello, en esthète de l’image, en fait un objet sensuel, brillant et élégant.
La Voix du Nord
Rien de bien neuf à l’horizon, le récit tournant en rond, sauf pour Pierre Bergé, bien moins loti que dans le précédent, l’auteur préférant accréditer la thèse du grand amour meurtri liant le héros à son âme damnée Jacques de Bascher.
Transfuge
Un film au drapé trop sage [...] Bertrand Bonello ne s'est pas suffisamment autorisé à être lui-même dans son "Saint Laurent".
L'Obs
Quelques inspirations heureuses (...) et un brio certain ne suffisent pas à dissiper l'impression que le film ne parvient pas à se hisser à la hauteur de l'ambition affichée.
Le Journal du Dimanche
Lorsque l'intrigue se noue enfin, elle débouche curieusement sur une apothéose ennuyeuse (...), dépourvue d'enjeux dramatiques.
Paris Match
Résultat, malgré la belle performance de Gaspard Ulliel, ça ne fait pas un pli, "Yves Saint Laurent" bat ce "Saint Laurent" nouveau… à plate couture.