Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Aaron Sorkin et Danny Boyle bâtissent un film mû par une foule d’émotions et d’énergies diverses, chroniquant autant les erreurs et les gloires d’un homme que l’époque qu’il a contribué à créer.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Portrait magnifique de la construction d'un génie.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Obs
par La Rédaction
Les acteurs sont épatants, à commencer par Michael Fassbender qui ne cherche même pas à ressembler à l'original : sa composition subtile et son abattage font le Jobs.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Hors norme, brillant, audacieux.
Le Point
par La Rédaction
Trois actes quasi exclusivement composés de dialogues. Mais quels dialogues ! Une mitrailleuse de répliques incisives qui sont, en fin de compte, le meilleur hommage que l'on pouvait rendre à l'esprit bouillonnant du créateur de l'iPod.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Public
par Florence Roman
Un biopic d'une étourdissante virtuosité qui appuie sur la touche F5 et réactualise le mythe.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Michael Fassbender livre une prestation renversante dans le rôle-titre.
TF1 News
par Romain Le Vern
Ce biopic est si dément qu'il ferait passer la précédente copie ("Jobs", avec Ashton Kucher) pour la pâle illustration d'une fiche Wikipedia. La version Danny Boyle propose exactement l'inverse, à savoir une vraie vision de cinéma, tenant presque de l'opéra.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur de "Trainspotting" se concentre sur trois moments clés : le lancement des trois produits phares d'Apple. Et montre l'incapacité de ce visionnaire tyrannique d'être aimable, et la fascination qu'il suscitait. Michael Fassbender en restitue toute l'ambiguïté.
20 Minutes
par Caroline Vié
Portrait brillant et sans concession du magnat de l’informatique, « Steve Jobs », avec Michael Fassbender dans le rôle titre, fascine par sa précision et sa cruauté…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
La mise en scène souligne les interprétations brillantes de Michael Fassbender et de Kate Winslet, qui a d’ailleurs obtenu le Golden Globe de la meilleure actrice dans un second rôle.
Gala
par Camille Choteau
Steve Jobs n’est pas entré dans la course aux Oscars pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Christophe Carrière
Un film concept, servi par des interprètes épatants.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Théâtral mais puissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un biopic qui est à la fois centré sur le côté intime d’un homme complexe et sur la révolution numérique dont il fut plus qu’un acteur majeur : un gourou.
Le Parisien
par Aymeric Renou
Le procédé, tel un drame en trois actes, est à la fois malin et déroutant. S'il a l'avantage d'éviter la biographie prévisible, il nous plonge dans trois situations irréalistes. (...) Les interprétations magistrales de Michael Fassbender et de Kate Winslet font toute la force de ce "Steve Jobs".
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Conçu comme une pièce de théâtre en trois actes denses, le film de Danny Boyle tire le meilleur du brillant scénario d'Aaron Sorkin et de ses interprètes. Ludique et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Ainsi séquence en trois actes, et intégralement situé dans les décors intérieurs de salles de spectacle, le film épouse une forme de théâtralité assumée et fait de Steve Jobs un pur personnage shakespearien…
Metro
par Mehdi Omaïs
Une œuvre d’envergure en forme de tragédie intime dans laquelle Michael Fassbender étincelle sous les traits du génie.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Même si le déroulé tient parfois du huis clos bavard, le pari est encore gagné ici.
Positif
par Hubert Niogret
Mettant en jeu des personnages interprétés par des acteurs remarquables (...), accompagnant relations et affrontements dans un dispositif fluide, Danny Boyle s'y affirme comme un metteur en scène qui porte au bout son sujet.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Le portrait analytique d’un génie aussi odieux que fascinant. Dans son pull à col roulé noir, Michael Fassbender, impérial, magnétique et envoûtant, est habité par un rôle qui est sans conteste son plus grand.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par La Rédaction
Danny Boyle n'a pas réalisé que de bons films, rien de très léger non plus jusqu'ici, mais cette fois, il choisit trois dates en guise de biopic et c'est une idée fructueuse qui l'obligeant à des digressions, donne à son récit l'élasticité d'un rêve.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Maud Antigna
Avec la délicatesse qu'on lui connaît depuis "Trainspotting", Danny Boyle nous autorise enfin à porter un regard critique sur une des plus grandes icônes de notre époque.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Croquez avec plaisir ce passionnant biopic !
Télérama
par Pierre Murat
La grande idée, c'est d'avoir choisi Michael Fassbender pour incarner Steve Jobs. Ses grands sourires francs, son charisme, son côté sexy-sympa contribuent à faire ressortir la dualité du personnage, provoquant (...) chez ceux qu'il ne cesse d'abaisser (...) une haine tenace et un dévouement indéfectible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Visiblement à l'étroit dans ce terrain de jeu qui l'empêche de déployer son goût de l'épate et de la flamboyance chromo, Boyle se cale sur le pas sec de son héros et tente de réinjecter un peu de cet affect qui intéresse si peu Sorkin.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Un final par trop lacrymal qui vient quelque peu gâcher le plaisir procuré par ce festival de répliques accrocheuses.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il arrive que le scénario insiste un peu lourdement sur tel trait de caractère (...). Reste le portrait d'un entrepreneur en action, critique et admiratif (...).
Paris Match
par Yannick Vely
Alors bien sûr, on reste emporté par le tourbillon, englouti par la masse d’informations à la seconde, impressionné, aussi, par l'intelligence et la richesse du propos. Mais si « Steve Jobs » nous raconte aussi l’histoire d’un homme qui apprend à devenir un père, cette trajectoire émotionnelle apparait trop tardivement comme le coeur du récit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
VSD
par Olivier Bousquet
Steve Jobs, le film, est beau et efficace. Mais il n’est pas simple, loin de là. Ceux qui s’attendent à un biopic classique vont être au mieux surpris. Au pire, déçus.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La persistance des mêmes conflits, le volontarisme des boucles du récit, son analogie manifeste avec l’obsession de son héros pour les « systèmes d’exploitation fermés » manifeste un manque d’inspiration de la part de Sorkin dont le brio tourne un peu à vide et transforme le film en démo d’un logiciel d’écriture.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Dommage que la boussole de Danny Boyle reste celle du biopic by the book, à mi-chemin entre hagiographie et démonologie, et qui ne tient que très partiellement la vieille promesse du "think different".
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
La sophistication de l’ensemble peine à masquer l’indigence d’une trame bien plus pataude que les apparences voudraient le laisser croire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
Cette intelligence théâtrale de réduire le regard à une succession de blocs de présents absolus, se déroulant en temps réel, est la vraie belle idée du film. […] le vrai drame du film, dans le fond, n’est de ne pas être que cela. […] Noyau pourri de la pomme, qui polarise petit à petit l’enjeu du récit autour de la question de la paternité et de la filiation. […]La résilience et la blessure originelle : ouf, rien ne dépasse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
par Clémentine Gallot
On songe à la sécheresse roublarde de "The Social Network" (dont on retrouve quasiment la BO) et à l’objet autrement plus retors qui aurait pu émerger si David Fincher avait daigné s’y intéresser.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le gourou d’Apple est-il vraiment un beau personnage de cinéma ? On reste dubitatif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Aaron Sorkin et Danny Boyle bâtissent un film mû par une foule d’émotions et d’énergies diverses, chroniquant autant les erreurs et les gloires d’un homme que l’époque qu’il a contribué à créer.
Femme Actuelle
Portrait magnifique de la construction d'un génie.
L'Obs
Les acteurs sont épatants, à commencer par Michael Fassbender qui ne cherche même pas à ressembler à l'original : sa composition subtile et son abattage font le Jobs.
Le Journal du Dimanche
Hors norme, brillant, audacieux.
Le Point
Trois actes quasi exclusivement composés de dialogues. Mais quels dialogues ! Une mitrailleuse de répliques incisives qui sont, en fin de compte, le meilleur hommage que l'on pouvait rendre à l'esprit bouillonnant du créateur de l'iPod.
Public
Un biopic d'une étourdissante virtuosité qui appuie sur la touche F5 et réactualise le mythe.
Studio Ciné Live
Michael Fassbender livre une prestation renversante dans le rôle-titre.
TF1 News
Ce biopic est si dément qu'il ferait passer la précédente copie ("Jobs", avec Ashton Kucher) pour la pâle illustration d'une fiche Wikipedia. La version Danny Boyle propose exactement l'inverse, à savoir une vraie vision de cinéma, tenant presque de l'opéra.
Voici
Le réalisateur de "Trainspotting" se concentre sur trois moments clés : le lancement des trois produits phares d'Apple. Et montre l'incapacité de ce visionnaire tyrannique d'être aimable, et la fascination qu'il suscitait. Michael Fassbender en restitue toute l'ambiguïté.
20 Minutes
Portrait brillant et sans concession du magnat de l’informatique, « Steve Jobs », avec Michael Fassbender dans le rôle titre, fascine par sa précision et sa cruauté…
CNews
La mise en scène souligne les interprétations brillantes de Michael Fassbender et de Kate Winslet, qui a d’ailleurs obtenu le Golden Globe de la meilleure actrice dans un second rôle.
Gala
Steve Jobs n’est pas entré dans la course aux Oscars pour rien.
L'Express
Un film concept, servi par des interprètes épatants.
L'Humanité
Théâtral mais puissant.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic qui est à la fois centré sur le côté intime d’un homme complexe et sur la révolution numérique dont il fut plus qu’un acteur majeur : un gourou.
Le Parisien
Le procédé, tel un drame en trois actes, est à la fois malin et déroutant. S'il a l'avantage d'éviter la biographie prévisible, il nous plonge dans trois situations irréalistes. (...) Les interprétations magistrales de Michael Fassbender et de Kate Winslet font toute la force de ce "Steve Jobs".
Les Fiches du Cinéma
Conçu comme une pièce de théâtre en trois actes denses, le film de Danny Boyle tire le meilleur du brillant scénario d'Aaron Sorkin et de ses interprètes. Ludique et passionnant.
Les Inrockuptibles
Ainsi séquence en trois actes, et intégralement situé dans les décors intérieurs de salles de spectacle, le film épouse une forme de théâtralité assumée et fait de Steve Jobs un pur personnage shakespearien…
Metro
Une œuvre d’envergure en forme de tragédie intime dans laquelle Michael Fassbender étincelle sous les traits du génie.
Ouest France
Même si le déroulé tient parfois du huis clos bavard, le pari est encore gagné ici.
Positif
Mettant en jeu des personnages interprétés par des acteurs remarquables (...), accompagnant relations et affrontements dans un dispositif fluide, Danny Boyle s'y affirme comme un metteur en scène qui porte au bout son sujet.
Première
Le portrait analytique d’un génie aussi odieux que fascinant. Dans son pull à col roulé noir, Michael Fassbender, impérial, magnétique et envoûtant, est habité par un rôle qui est sans conteste son plus grand.
Sud Ouest
Danny Boyle n'a pas réalisé que de bons films, rien de très léger non plus jusqu'ici, mais cette fois, il choisit trois dates en guise de biopic et c'est une idée fructueuse qui l'obligeant à des digressions, donne à son récit l'élasticité d'un rêve.
Transfuge
Avec la délicatesse qu'on lui connaît depuis "Trainspotting", Danny Boyle nous autorise enfin à porter un regard critique sur une des plus grandes icônes de notre époque.
Télé 7 Jours
Croquez avec plaisir ce passionnant biopic !
Télérama
La grande idée, c'est d'avoir choisi Michael Fassbender pour incarner Steve Jobs. Ses grands sourires francs, son charisme, son côté sexy-sympa contribuent à faire ressortir la dualité du personnage, provoquant (...) chez ceux qu'il ne cesse d'abaisser (...) une haine tenace et un dévouement indéfectible.
Charlie Hebdo
Visiblement à l'étroit dans ce terrain de jeu qui l'empêche de déployer son goût de l'épate et de la flamboyance chromo, Boyle se cale sur le pas sec de son héros et tente de réinjecter un peu de cet affect qui intéresse si peu Sorkin.
La Croix
Un final par trop lacrymal qui vient quelque peu gâcher le plaisir procuré par ce festival de répliques accrocheuses.
Le Monde
Il arrive que le scénario insiste un peu lourdement sur tel trait de caractère (...). Reste le portrait d'un entrepreneur en action, critique et admiratif (...).
Paris Match
Alors bien sûr, on reste emporté par le tourbillon, englouti par la masse d’informations à la seconde, impressionné, aussi, par l'intelligence et la richesse du propos. Mais si « Steve Jobs » nous raconte aussi l’histoire d’un homme qui apprend à devenir un père, cette trajectoire émotionnelle apparait trop tardivement comme le coeur du récit.
VSD
Steve Jobs, le film, est beau et efficace. Mais il n’est pas simple, loin de là. Ceux qui s’attendent à un biopic classique vont être au mieux surpris. Au pire, déçus.
Cahiers du Cinéma
La persistance des mêmes conflits, le volontarisme des boucles du récit, son analogie manifeste avec l’obsession de son héros pour les « systèmes d’exploitation fermés » manifeste un manque d’inspiration de la part de Sorkin dont le brio tourne un peu à vide et transforme le film en démo d’un logiciel d’écriture.
Chronic'art.com
Dommage que la boussole de Danny Boyle reste celle du biopic by the book, à mi-chemin entre hagiographie et démonologie, et qui ne tient que très partiellement la vieille promesse du "think different".
Critikat.com
La sophistication de l’ensemble peine à masquer l’indigence d’une trame bien plus pataude que les apparences voudraient le laisser croire.
Culturopoing.com
Cette intelligence théâtrale de réduire le regard à une succession de blocs de présents absolus, se déroulant en temps réel, est la vraie belle idée du film. […] le vrai drame du film, dans le fond, n’est de ne pas être que cela. […] Noyau pourri de la pomme, qui polarise petit à petit l’enjeu du récit autour de la question de la paternité et de la filiation. […]La résilience et la blessure originelle : ouf, rien ne dépasse.
Libération
On songe à la sécheresse roublarde de "The Social Network" (dont on retrouve quasiment la BO) et à l’objet autrement plus retors qui aurait pu émerger si David Fincher avait daigné s’y intéresser.
aVoir-aLire.com
Le gourou d’Apple est-il vraiment un beau personnage de cinéma ? On reste dubitatif.