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    Down by Law - sous le coup de la loi
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    97 critiques spectateurs

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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 666 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juillet 2020
    Un film avec un noir et blanc magnifique mais... C'est tout. Des scènes vides, des jeux d'acteurs insipides et d'un ennui sideral. Je n'ai pas compris l'engouement pour ce film car même si esthétiquement c'est joli, le film ne m'a pas touché du tout...
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    102 abonnés 2 932 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2023
    Le film se démarque par sa qualité narrative avec ses trois acteurs et personnages bien différents entre eux, rien de très crédible mais un grand réalisme dans l'attitude de chacun et leurs relations. Plusieurs cadres différents permettent que le rythme assez lent ne le soit pas trop.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Cette balade poétique, onirique et musicale nous fait suivre l’histoire de trois hommes rencontrés en prison, incarnés par le chanteur Tom Waits, le compositeur John Lurie et le drolissime acteur italien Roberto Benigni, qui nous offre ici un délicieux exercice de cabotinage. Il bénéficie d’une mise en scène remarquable et d’un noir et blanc superbe.
    Fabien S.
    Fabien S.

    470 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2020
    Un très bon film en noir et blanc de Jim Jarmusch dans la veine de Dead Man. On y retrouve le chanteur Tom Waits , l'italien Robert Bengini et le méconnu John Lurie.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    165 abonnés 2 428 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mai 2020
    Bof, je n'ai pas particulièrement été convaincu par ce film de Jim Jarmusch.
    Les trois personnages, dans leur côté marginal, ne m'ont pas particulièrement charmé (à part peut-être Roberto Benigni) et du coup, je n'ai pas été emballé par le trio un peu improbable qu'ils forment à l'écran. La proximité dans les personnages de Zack et Jack (que ce soit dans leurs comportements, leurs apparences et même leurs noms) n'aide pas à les apprécier pleinement.
    Et le hic, c'est que le gros du film repose avant tout sur les interactions entre ces trois personnages. Le scénario est extrêmement léger (ce n'est pas l'objectif de ce long-métrage que de reposer sur une intrigue dense et pleine de rebondissement). Trois personnages, des parias, finissent en prison, suite à des embrouilles avec la police et à des traquenards dans les lesquels ils sont tombés ; s'en échappent et prennent finalement trois chemins différents.
    Reste l'interprétation extrêmement sympathique de Roberto Benigni, mais sinon, je n'ai pas trouvé ce film terrible.
    GéDéon
    GéDéon

    58 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 août 2023
    En 1986, Jim Jarmusch livre son troisième long-métrage. L’univers particulier du réalisateur se distingue ici par une belle photographie en noir et blanc et des plans séquences bien maîtrisés. Mélangeant drame burlesque et poésie, l’histoire développe la rencontre en prison de trois paumés, puis leur cavale dans le bayou de Louisiane. Les musiciens Tom Waits et John Lurie interprètent deux personnages torturés, tandis que le trublion italien Roberto Benigni complète ce trio. De cette aventure mouvementée naît une amitié virile. Certes, le film possède un certain cachet, mais le scénario demeure bien trop inconsistant pour s’échapper de la simple mélancolie. Bref, une œuvre décalée où les anti-héros sont une nouvelle fois à l’honneur.
    Yoloyouraz
    Yoloyouraz

    30 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 juillet 2007
    Des plans qui s'éternisent, un récit au développement douteux... le premier film de J.Jarmush est faible, et seul le génie de R.Benigni le sauve du vide.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    594 abonnés 2 779 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2020
    Le geste artistique de Jim Jarmusch pourrait s’exprimer ainsi : mettre en scène la banalité classieuse de l’extraordinaire. Le petit monde dans lequel déambulent nos trois protagonistes principaux constitue un cadre esthétique qui réagit avec leur potentiel esthétique propre, le révèle tout en tirant d’eux sa propre révélation. Dit autrement, la caméra du cinéaste saisit, au cours de longs plans travaillés dans la durée, la réaction entre un contexte qui sert de structure à la photographie et un ou plusieurs corps qui en forment le ou les points d’équilibre. Corps et décors vont ensemble, ils sont subordonnés à la même exigence d’une quête de la puissance de l’image et de sa mise en mouvement, provoquant chez le spectateur une fascination teintée de ce sentiment d’étrangeté qui l’envahit lorsqu’il prend conscience que ses repères ont été déplacés voire évacués au profit d’autres balises, elles personnelles à l’artiste et qu’il faut donc chercher. Trois lieux polarisent Down by Law, trois lieux qui interviennent à deux reprises sous des formes différentes : il y a l’espace intime de la chambre à coucher puis de la table du restaurant autour de laquelle se rassemble une famille symbolique, il y a la cellule qui retient enfermés des étrangers et que l’on retrouve, avec des fenêtres cette fois, dans le cabanon près du marais, il y a la nature qui absorbe les personnages, les perd parmi ses troncs comme flottant sur des eaux marécageuses. Ces trois lieux symboliques sont à chaque fois redoublés, ils se chargent d’une profondeur imaginaire à mesure que les hommes y engouffrent leur histoire et leurs espoirs : la femme est d’abord un objet possédé qui se prélasse dans le lit de son maître, elle devient l’actrice d’une passion amoureuse aussi subite que sensible ; le paysage des bayous – chanté par Zack chantant Roy Orbison – ressemble à une prison à ciel ouvert, se transforme en lieu de convivialité où il fait bon vider son sac, narrer ses fictions en mangeant du lapin sans ail ni huile d’olive ; la cellule enfin se perce de fenêtres. L’interrogation grammaticale de Roberto est, à ce titre, fort éclairante : souhaitant parfaire son anglais, il se demande s’il faut dire « regarder la fenêtre » ou « regarder par la fenêtre ». Jack lui répond que ça dépend, que là, en prison, il « regarde la fenêtre » dessinée sur le mur. Plus tard, il regardera « par la fenêtre ». Ce détail traduit bien un passage, celui d’une représentation plate à une représentation en profondeur, d’une existence saisie par l’intellect à une existence saisie par l’expérience des sens. Down by Law met en scène une renaissance à soi et aux autres, un récit d’initiation dans lequel l’évasion se mue en fuite hors d’une réalité et en introduction dans une autre. Les vêtements se prêtent, les routes se séparent. Restent l’icône, et son souvenir par le cinéma. Une œuvre sublime.
    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 février 2022
    Je m'accroche pour essayer d'apprécier le travail de Jim Jarmusch mais franchement, je n'y arrive toujours pas avec Down By Low. Ce n'est pas son film le plus ennuyant selon moi, les 3 personnages sont relativement drôles à suivre mais encore une fois, la mise en scène est presque immobile et il n'y a aucune émotion qui se dégage du film tellement il n'y a pas d'ambiance. Même avec un script qui peut être bon, le film devient donc assez vite ennuyant. Dommage, je n'accroche toujours pas.
    Patjob
    Patjob

    22 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2020
    Un film très particulier, loin des canons habituels. Sur une intrigue minimaliste, Jarmusch a construit son film en trois parties. La présentation de deux des personnages, des anti-héros comme l’auteur les aime, dans la Nouvelle Orléans la nuit : des travellings majestueux et une magnifique photographie en noir et blanc créent une ambiance palpable, évoquant celle des grands films ou romans noirs du Sud de Etats Unis. La cellule dans laquelle sont incarcérés les trois prisonniers : là c’est à la nature humaine et aux relations que l’auteur s’intéresse, sur un ton qui est celui de la comédie (mémorable Roberto Benigni). L’errance des trois évadés dans le bayou : tout en gardant le ton de la comédie, cette dernière partie est plus poétique, contemplative, voire symbolique, avec une photo encore éblouissante. Une grande réussite d’un cinéma « indépendant ».
    françoise Devaux
    françoise Devaux

    23 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juin 2022
    Je ne suis pas une inconditionnelle de Jarmush et ce n’est pas ce film qui va me réconcilier avec son cinéma. Pourquoi l’ai-je regardé d’ailleurs ? Il est en noir et blanc (mais cela fait tellement cinéma d’auteur, n’est-ce pâââs ?) . Il raconte la saga de 3 paumés qui se retrouvent en prison, on ne sait pas trop pourquoi et s’évadent on ne sait pas trop comment. S’en suivent des dialogues dont l’intérêt est limité, avec 3 acteurs plutôt quelconques, Benigni cabotine mais plutôt moins que d’habitude. Les plans-séquence se multiplient, ce qui donne un caractère haché à la narration.
    Les groupies de Jim Jarmush mettent systématiquement ‘4 ou 5 étoiles à ses films en se pâmant sur le sens profond de son cinéma, pour les autres, franchement, passez votre chemin, il y a des réalisateurs moins ennuyeux.
    Ducerceau
    Ducerceau

    12 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2020
    Une belle Histoire d'évasion et d'amitié. En plus en noir et blanc comme les chef-d'œuvres du passé. Avec un Roberto Begnini toujours aussi sympathique !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2008
    Voici du cinéma qui vieilli bien.L'enthousiasme de Benini, sa légèreté, c'est une fleur épanouie dans cet écrin très contrasté des 2 autres loosers. Loosers plus vrais que nature. Ce film a de toute façon un public qui lui est réservé.J'ai adoré le voir. Le revoir encore plus. Il est unique.
    _Royal_
    _Royal_

    112 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2011
    Je suis presque sur qu'en 1986, le cinéma était déjà en couleur, mais bon, est ce bien une raison pour dénigrer ? ... Dans le cas présent oui. Même si ce n'est qu'un mauvais prétexte.
    Livith Muse Irry
    Livith Muse Irry

    1 abonné 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2014
    Le meilleur film de Jim Jarmusch pour moi. D'accord c'est lent mais l'ambiance qu'installe Jarmusch est tellement immersive, tendre et surréaliste !
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