Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Marco Bellochio s'éprend d'un fait de société qui déchira l'Italie et en extrait toute la complexité dans une réflexion sur le droit à la mort au coeur d'un film choral qui confine au sublime. Totalement bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Chaque situation n'avance que par basculements, coups de folie enchaînés et entrechoqués, gestes en apparence insensés jetés par des personnages que d'autres regardent avec stupeur. "La Belle Endormie" est sans doute moins impressionnant que "Vincere", (...) mais il trouve une autre manière de formuler cette course à la folie.
Critikat.com
par Louis Blanchot
"La Belle endormie" a deux fardeaux, deux courages : celui d'être un vrai mélo, venu de lui-même s'emmêler dans un gros sujet. Sauf qu'au lieu de s'enfoncer mutuellement, ces deux poids s'équilibrent : on dirait que les gros sabots de son histoire poussent naturellement la mise en scène à manoeuvrer à pas feutré.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) "La Belle Endormie" [mêle] avec virtuosité les intrigues, [dessine] de la classe politique italienne un tableau saisissant. (...) Le regard que [Marco Bellocchio] n'a cessé de porter sur le monde paraît avoir gagné encore en acuité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Alain Grasset
Ce film sur la fin de vie est éprouvant en raison de séquences réalistes. Mais il est surtout très fort émotionnellement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
En mettant en scène des cas concernés par l'acharnement thérapeutique, Bellocchio chante un superbe hymne à la liberté et à la vie, évitant le pamphlet sans chercher non plus le consensus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Mise en scène rigoureuse, avec une Isabelle Huppert émouvante au possible, ça va de soi. Mais il y a aussi à l'écran le formidable Toni Servillo.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Jean A. Gili
La sensibilité de la mise en scène ne dédaigne aucun personnage, elle invite à percevoir et à recevoir la vie dans sa plénitude.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Damien Aubel
Bellocchio excelle à marier ambiances et tonalités: au mélo grand-bourgeois en huis-clos de la partie de la "divana" se superposent l'énergie post-ado des amours de Maria et surtout la réjouissante comédie du pouvoir jouée par les camarades sénateurs d'Uliano.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
La mise en scène au cordeau sert admirablement ce sujet volcanique qui cible avec puissance les pères de la nation, le cynisme et les fausses croyances.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jacques Morice
A chaque fois émergent des interrogations, qui dépassent la controverse autour de l'euthanasie, (...) [que] Bellocchio traite avec une liberté et une fluidité étonnantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Avec "La Belle Endormie", [Bellocchio] signe néanmoins un film (parfois un peu longuet) qui, à défaut d'être neutre, évite la surenchère et s'efforce de poser cette complexe question avec respect et nuance.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour faire tenir les pièces hétéroclites de cette maison Italie, Bellocchio recourt parfois à des ficelles trop grosses (...). Heureusement, il peut compter sur ses interprètes. Tom Servillo (...) propose un travail analytique (...). Alba Rohrwacher (...) n'a pas grand-chose à faire pour forcer l'émotion (...). (...) Enfin, Isabelle Hupert (...) apporte une dimension quasi mystique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Séguret
(...) de grands moments, de belles émotions (...). Mais (...) Bellocchio semble n'avoir pas su trancher entre les registres : (...) "La Belle Endormie" fait l'effet d'un film indécis.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Trop foisonnant, sans parti pris intéressant, le film dilue l'attention du spectateur qui, heureusement, ne va pas jusqu'à s'assoupir devant cette "Belle Endormie". (...) Ce film choral (...) séduit par son mézé d'histoires servies par de bons comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gérard Delorme
Tout en dénonçant le dogmatisme religieux, [Marco Bellocchio] invite à la réflexion et pose les bases d'une discussion nécessaire, sans vraiment éviter le piège de la dissertation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) Bellocchio semble un peu perdu, démuni même, face à cette Italie qu'il ne comprend plus qu'à moitié (...). D'où le côté répétitif du film, souvent ostentatoire et finalement convenu. (...) Sa ronde des douleurs finit vite par bégayer autour d'un sujet qu'à la fin du film il n'a visiblement pas trouvé.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Elle
par Anne Diatkine
(...) Isabelle Huppert, (...) grande actrice (...). Le film multiplie les écrans et les références. On ne comprendra pas tous les emboîtements. Et si l'endormi était le spectateur?
La critique complète est disponible sur le site Elle
Ecran Large
par Sandy Gillet
Un cinéma militant et choral laborieux où s'entremêle la voix d'une Italie à l'agonie et celles de personnages tous caricaturaux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
aVoir-aLire.com
Marco Bellochio s'éprend d'un fait de société qui déchira l'Italie et en extrait toute la complexité dans une réflexion sur le droit à la mort au coeur d'un film choral qui confine au sublime. Totalement bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Chaque situation n'avance que par basculements, coups de folie enchaînés et entrechoqués, gestes en apparence insensés jetés par des personnages que d'autres regardent avec stupeur. "La Belle Endormie" est sans doute moins impressionnant que "Vincere", (...) mais il trouve une autre manière de formuler cette course à la folie.
Critikat.com
"La Belle endormie" a deux fardeaux, deux courages : celui d'être un vrai mélo, venu de lui-même s'emmêler dans un gros sujet. Sauf qu'au lieu de s'enfoncer mutuellement, ces deux poids s'équilibrent : on dirait que les gros sabots de son histoire poussent naturellement la mise en scène à manoeuvrer à pas feutré.
L'Express
Voir le site de L'Express
L'Obs
(...) "La Belle Endormie" [mêle] avec virtuosité les intrigues, [dessine] de la classe politique italienne un tableau saisissant. (...) Le regard que [Marco Bellocchio] n'a cessé de porter sur le monde paraît avoir gagné encore en acuité.
Le Parisien
Ce film sur la fin de vie est éprouvant en raison de séquences réalistes. Mais il est surtout très fort émotionnellement.
Les Fiches du Cinéma
En mettant en scène des cas concernés par l'acharnement thérapeutique, Bellocchio chante un superbe hymne à la liberté et à la vie, évitant le pamphlet sans chercher non plus le consensus.
Ouest France
Mise en scène rigoureuse, avec une Isabelle Huppert émouvante au possible, ça va de soi. Mais il y a aussi à l'écran le formidable Toni Servillo.
Positif
La sensibilité de la mise en scène ne dédaigne aucun personnage, elle invite à percevoir et à recevoir la vie dans sa plénitude.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
Bellocchio excelle à marier ambiances et tonalités: au mélo grand-bourgeois en huis-clos de la partie de la "divana" se superposent l'énergie post-ado des amours de Maria et surtout la réjouissante comédie du pouvoir jouée par les camarades sénateurs d'Uliano.
TéléCinéObs
La mise en scène au cordeau sert admirablement ce sujet volcanique qui cible avec puissance les pères de la nation, le cynisme et les fausses croyances.
Télérama
A chaque fois émergent des interrogations, qui dépassent la controverse autour de l'euthanasie, (...) [que] Bellocchio traite avec une liberté et une fluidité étonnantes.
La Croix
Avec "La Belle Endormie", [Bellocchio] signe néanmoins un film (parfois un peu longuet) qui, à défaut d'être neutre, évite la surenchère et s'efforce de poser cette complexe question avec respect et nuance.
Le Monde
Pour faire tenir les pièces hétéroclites de cette maison Italie, Bellocchio recourt parfois à des ficelles trop grosses (...). Heureusement, il peut compter sur ses interprètes. Tom Servillo (...) propose un travail analytique (...). Alba Rohrwacher (...) n'a pas grand-chose à faire pour forcer l'émotion (...). (...) Enfin, Isabelle Hupert (...) apporte une dimension quasi mystique (...).
Libération
(...) de grands moments, de belles émotions (...). Mais (...) Bellocchio semble n'avoir pas su trancher entre les registres : (...) "La Belle Endormie" fait l'effet d'un film indécis.
Paris Match
Trop foisonnant, sans parti pris intéressant, le film dilue l'attention du spectateur qui, heureusement, ne va pas jusqu'à s'assoupir devant cette "Belle Endormie". (...) Ce film choral (...) séduit par son mézé d'histoires servies par de bons comédiens.
Première
Tout en dénonçant le dogmatisme religieux, [Marco Bellocchio] invite à la réflexion et pose les bases d'une discussion nécessaire, sans vraiment éviter le piège de la dissertation.
Charlie Hebdo
(...) Bellocchio semble un peu perdu, démuni même, face à cette Italie qu'il ne comprend plus qu'à moitié (...). D'où le côté répétitif du film, souvent ostentatoire et finalement convenu. (...) Sa ronde des douleurs finit vite par bégayer autour d'un sujet qu'à la fin du film il n'a visiblement pas trouvé.
Elle
(...) Isabelle Huppert, (...) grande actrice (...). Le film multiplie les écrans et les références. On ne comprendra pas tous les emboîtements. Et si l'endormi était le spectateur?
Ecran Large
Un cinéma militant et choral laborieux où s'entremêle la voix d'une Italie à l'agonie et celles de personnages tous caricaturaux.