Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Transfuge
par Louis Séguin
Le double temps sur lequel se bâtit "Djeca" (le présent haletant et le passé des archives) impulse un rythme cardiaque surélevé et souligne l'intelligence du regard de la réalisatrice : le merveilleux est un gouffre au-dessus duquel chemine le quotidien.
Le Monde
par Aureliano Tonet
"Djeca, enfants de Sarajevo" offre des Balkans un tableau mouvant, dual, précaire (...). Le film justifie les comparaisons flatteuses qui, d'un festival à l'autre, n'ont pas manqué de fleurir (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Iris Brey
Aida Begic évoque de manière subtile le souvenir de la guerre d'ex-Yougoslavie et la difficulté d'une jeune femme à se reconstruire. Une mise en scène maîtrisée, un personnage marquant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Jean-Loup Bourget
Le film est laconique et nous laisse deviner peu à peu la situation de ce couple d'orphelins au hasard de brefs échanges verbaux, de nouvelles diffusées à la radio et de flash-bach qui rappellent les traumatismes du siège.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Eric Vernay
Un élégant portrait filmé en plans-séquences hypnotiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
"Djeca" est porté par une actrice impressionnante, Marija Pikic, dont le jeu tout en retenue pare son personnage d'une vérité poignante où morale et pathos n'ont pas leur place. Un constat clinique, en forme de cri de détresse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Elise Loiseau
A demi-mot, sans tomber dans les pièges mélodramatiques de l'explicite, Aida Begic témoigne de la vie que mènent aujourd'hui les enfants de Sarajavo, dans une Bosnie dans l'après-guerre perpétuel. Nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
Sur les bases de ce scénario balisé, la cinéaste déploie une impressionnante mise en scène toute en longs plans-séquences caméra à l'épaule. (...) Il faudra sans doute à la cinéaste un troisième film pour s'affranchir véritablement du " film de nuque " et de son statut de petite soeur Dardenne d'un cinéma bosniaque.
Critikat.com
par Gildas Mathieu
Aida Begić filme l'impossible reconstruction de son pays et l'avenir incertain d'une génération marquée par la violence. "Djeca" offre un beau portrait de femme sous les contours parfois trop attendus de la chronique naturaliste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
C'est une oeuvre âpre, tendue comme la corde d'un arc, tournée sèchement (...) [et] mis en scène de manière radicale et suggestive.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron
Il ne faut pas regarder de trop près les invraisemblances du scénario (...) ni s'attendre à des virages narratifs insensés. Mais "Djeca" captive par la représentation qu'il donne de l'isolement d'une jeune femme qui est convoitée, exploitée, ignorée, poussée à bout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ecran Large
par Simon Riaux
De ces images dont nous arrivons rapidement à saturation nait non seulement une lassitude certaine, mais une passivité qui finit par nous tenir en retrait du récit et de ses enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
C'est un peu lourd. Dommage, car la cinéaste sait être subtile pour suggérer lutte et âpreté : par le travail de la bande-son (...) ; par l'usage, jamais prosélyte, de l'islam comme discipline intérieure façon samouraï. C'est dans ces espaces que le film va au-delà de la charge convenue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
D'une sincérité indiscutable, mais souvent démonstratif dans le propos et hésitant dans la mise en scène tantôt sous influence du cinéma d'auteur européen tantôt illustrative.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
Le double temps sur lequel se bâtit "Djeca" (le présent haletant et le passé des archives) impulse un rythme cardiaque surélevé et souligne l'intelligence du regard de la réalisatrice : le merveilleux est un gouffre au-dessus duquel chemine le quotidien.
Le Monde
"Djeca, enfants de Sarajevo" offre des Balkans un tableau mouvant, dual, précaire (...). Le film justifie les comparaisons flatteuses qui, d'un festival à l'autre, n'ont pas manqué de fleurir (...).
Les Fiches du Cinéma
Aida Begic évoque de manière subtile le souvenir de la guerre d'ex-Yougoslavie et la difficulté d'une jeune femme à se reconstruire. Une mise en scène maîtrisée, un personnage marquant.
Positif
Le film est laconique et nous laisse deviner peu à peu la situation de ce couple d'orphelins au hasard de brefs échanges verbaux, de nouvelles diffusées à la radio et de flash-bach qui rappellent les traumatismes du siège.
Première
Un élégant portrait filmé en plans-séquences hypnotiques.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
"Djeca" est porté par une actrice impressionnante, Marija Pikic, dont le jeu tout en retenue pare son personnage d'une vérité poignante où morale et pathos n'ont pas leur place. Un constat clinique, en forme de cri de détresse.
aVoir-aLire.com
A demi-mot, sans tomber dans les pièges mélodramatiques de l'explicite, Aida Begic témoigne de la vie que mènent aujourd'hui les enfants de Sarajavo, dans une Bosnie dans l'après-guerre perpétuel. Nécessaire.
Cahiers du Cinéma
Sur les bases de ce scénario balisé, la cinéaste déploie une impressionnante mise en scène toute en longs plans-séquences caméra à l'épaule. (...) Il faudra sans doute à la cinéaste un troisième film pour s'affranchir véritablement du " film de nuque " et de son statut de petite soeur Dardenne d'un cinéma bosniaque.
Critikat.com
Aida Begić filme l'impossible reconstruction de son pays et l'avenir incertain d'une génération marquée par la violence. "Djeca" offre un beau portrait de femme sous les contours parfois trop attendus de la chronique naturaliste.
La Croix
C'est une oeuvre âpre, tendue comme la corde d'un arc, tournée sèchement (...) [et] mis en scène de manière radicale et suggestive.
Libération
Il ne faut pas regarder de trop près les invraisemblances du scénario (...) ni s'attendre à des virages narratifs insensés. Mais "Djeca" captive par la représentation qu'il donne de l'isolement d'une jeune femme qui est convoitée, exploitée, ignorée, poussée à bout.
Ecran Large
De ces images dont nous arrivons rapidement à saturation nait non seulement une lassitude certaine, mais une passivité qui finit par nous tenir en retrait du récit et de ses enjeux.
Les Inrockuptibles
C'est un peu lourd. Dommage, car la cinéaste sait être subtile pour suggérer lutte et âpreté : par le travail de la bande-son (...) ; par l'usage, jamais prosélyte, de l'islam comme discipline intérieure façon samouraï. C'est dans ces espaces que le film va au-delà de la charge convenue.
TF1 News
D'une sincérité indiscutable, mais souvent démonstratif dans le propos et hésitant dans la mise en scène tantôt sous influence du cinéma d'auteur européen tantôt illustrative.