Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Spike Jonze fait montre d’une tonalité indépendante et originale dans le paysage formaté du cinéma américain. Une très grande réussite, hors des sentiers battus.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
(...) un chef-d'oeuvre d'intelligence, de sensibilité, de grâce, d'humour et de poésie.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Spike Jonze a inventé un monde dont il est impossible de dire s'il est une utopie ou une dystopie (...). Les souffrances du (plus si) jeune Theodore font la vraie substance de "Her".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
Une histoire d'amour jusqu'alors impossible mais probable, après tout, dans un avenir proche, passionnante de bout en bout grâce à la réalisation au plus près de Spike Jonze.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Après le surcoté Dans la peau de John Malkovich ou le décevant Adaptation, Spike Jonze signe là un fulgurant retour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Avec Her, merveille d'élégance narrative, métaphore élégiaque de la moderne solitude, Spike Jonze (...) va réussir à transmettre, à faire partager une très grande, une très belle histoire d'amour.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film intrigant et troublant en diable.
Positif
par Adrien Gombeaud
Le metteur en scène ne s'efface pas (...) devant l'écrivain de cinéma, comme en attestent une visualisation inventive et une direction d'acteurs exemplaire.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TF1 News
par Romain Le Vern
"Her" est merveilleuse dystopie qui capte quelque chose de très contemporain - ce qui le rend extrêmement chaleureux à une époque de bouleversements et d'incertitudes-. La cruauté de cette fable douce et somnambulique aux allures de grand sommeil, c'est que la flamme est éteinte.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Drôle, inventif, mélancolique, "Her" porte bien son titre : c'est, à l'instar d'"Elle", de Blake Edwards, et sous ses airs trompeurs de branchouillerie pour hipsters, un modèle de film sur le fantasme masculin de la femme idéale.
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans "Her", Spike Jonze livre une analyse fine des rapports amoureux et surprend constamment avec un scénario brillant récompensé par l'oscar du meilleur scénario. La performance de Joaquin Phoenix et la voix de Scarlett Johansson ne sont pas étrangers aux émotions qui se dégagent de cette oeuvre sensible.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Spike Jonze construit son amour impossible par la grâce d’une écriture dense et sophistiquée.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Spike Jonze affirme une sensibilité d'une force inouïe avec ce magnifique film sur la solitude.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Avec ce film qui souligne la tragédie de la solitude, Spike Jonze fait plus que captiver notre attention. Il nous envoûte.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si Spike Jonze explore à nouveau une zone peu fréquentée de la fiction, entre fantastique et romantisme, cette fois il se distingue par l’originalité visuelle de son travail et par son sujet en phase avec notre monde virtuel. Cocasse et touchant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un film fascinant, visuellement superbe.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Spike Jonze a le don de nous plonger dans les replis tortueux de la psyché humaine. Joaquin Phoenix est une fois de plus bluffant de sensibilité, capable de mener le grand jeu de l'amour sans partenaire.
Le Point
par Thomas Mahler
Utopie ou dystopie, la love story de Spike Jonze nous rappelle que l'amour, cette "folie acceptée par la société", reste, bien plus que l'intelligence artificielle, la grande quête de l'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Anne Bardem
Un film mélancolique et touchant, qui parvient à donner corps à une relation inconcevable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Cette union atypique, Spike Jonze la dépeint avec style mais sans esbroufe, au détour d'une pléthore de situations cocasses, de conversations philosophiques et d'authentiques moments de malaise au sein desquels chaque comédien trouve une occasion de briller.
Metro
par Mehdi Omaïs
Avec une réelle grâce, Spike Jonze orchestre une love story éthérée, mélancolique et bouleversante. Il offre à Joaquin Phoenix un personnage passionnant, strié de multiples failles. Scarlett Johansson obtient pour sa part le meilleur rôle de sa carrière.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Yannick Vely
Peu de cinéastes parviennent comme lui à nous faire croire l’impossible en quelques scènes, à nous plonger dans un univers à la fois insolite et si prégnant. Sa comédie romantique 2.0 est à la fois euphorisante et déprimante, tendre et désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thomas Agnelli
Pourquoi aime-t-on instantanément ce héros et donc ce film ? Peut-être parce que personne ne joue mieux la cristallisation amoureuse que Joaquin Phoenix.
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Spike Jonze pose sa réflexion sur les rapports amoureux dans un univers de science-fiction fascinant de beauté verticale qui exalte et émeut, et finalement confine à l’universalité des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Côté pile : un beau film d'amour simplet, qui touche parfois juste et émeut bel et bien. Côté face : une mignardise générationnelle sonorisée au ukulélé, impuissante à susciter plus qu'une vague envie d'acheter des bougies parfumées.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Filmsactu
par Romain Duvic
Dystopie crédible, romance qui manque de souffle, "Her" vaut avant tout pour l'impressionnante performance de Scarlett Johansson.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Obs
par François Forestier
Dans "Her", étrange film à la fois émouvant, fascinant et un tantinet trop long, Jonze invente le futur : tout fonctionne en gigabytes.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Bâti sur un concept graphique, "Her" prend tout juste le pouls de notre humaine solitude à l'heure du smartphone ; un film en forme d'application.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Un vrai défi de cinéma, que Spike Jonze relève avec un certain brio. (...) Dommage que l'histoire d'amour, puisque c'en est une, soit assez conventionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Ce qui commence comme une variation contemporaine sur le mélancolique "I Love You" de Marco Ferreri se transforme en sucrerie qui pourrait servir de clip à "Deeper Understanding", une vieille chanson de Kate Bush racontant la même histoire.
Critikat.com
par Josué Morel
Hélas, comme souvent chez Spike Jonze, le pitch est roi, et le récit finit par ne devenir que l’extension d’un concept choc et clinquant : "Boy meets Computer".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaroscope
par Pauline Le Gall
Her nous donne une vision du monde fausse et lointaine. Comme une étoile. C'est très joli, mais déjà éteint.
Libération
par La rédaction
Or, malgré une bonne volonté manifeste à tordre les codes surannés de la comédie sentimentale, Jonze échoue à mettre dans le mille. C’est même un euphémisme puisque l’image n’est ici, à de rares exceptions près, que le support faiblard d’une relation qui trouve son expression seulement dans le dialogue.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Spike Jonze fait montre d’une tonalité indépendante et originale dans le paysage formaté du cinéma américain. Une très grande réussite, hors des sentiers battus.
L'Ecran Fantastique
(...) un chef-d'oeuvre d'intelligence, de sensibilité, de grâce, d'humour et de poésie.
Le Monde
Spike Jonze a inventé un monde dont il est impossible de dire s'il est une utopie ou une dystopie (...). Les souffrances du (plus si) jeune Theodore font la vraie substance de "Her".
Le Parisien
Une histoire d'amour jusqu'alors impossible mais probable, après tout, dans un avenir proche, passionnante de bout en bout grâce à la réalisation au plus près de Spike Jonze.
Les Inrockuptibles
Après le surcoté Dans la peau de John Malkovich ou le décevant Adaptation, Spike Jonze signe là un fulgurant retour.
Marianne
Avec Her, merveille d'élégance narrative, métaphore élégiaque de la moderne solitude, Spike Jonze (...) va réussir à transmettre, à faire partager une très grande, une très belle histoire d'amour.
Ouest France
Un film intrigant et troublant en diable.
Positif
Le metteur en scène ne s'efface pas (...) devant l'écrivain de cinéma, comme en attestent une visualisation inventive et une direction d'acteurs exemplaire.
TF1 News
"Her" est merveilleuse dystopie qui capte quelque chose de très contemporain - ce qui le rend extrêmement chaleureux à une époque de bouleversements et d'incertitudes-. La cruauté de cette fable douce et somnambulique aux allures de grand sommeil, c'est que la flamme est éteinte.
TéléCinéObs
Drôle, inventif, mélancolique, "Her" porte bien son titre : c'est, à l'instar d'"Elle", de Blake Edwards, et sous ses airs trompeurs de branchouillerie pour hipsters, un modèle de film sur le fantasme masculin de la femme idéale.
20 Minutes
Dans "Her", Spike Jonze livre une analyse fine des rapports amoureux et surprend constamment avec un scénario brillant récompensé par l'oscar du meilleur scénario. La performance de Joaquin Phoenix et la voix de Scarlett Johansson ne sont pas étrangers aux émotions qui se dégagent de cette oeuvre sensible.
CinemaTeaser
Spike Jonze construit son amour impossible par la grâce d’une écriture dense et sophistiquée.
Ecran Large
Spike Jonze affirme une sensibilité d'une force inouïe avec ce magnifique film sur la solitude.
Elle
Avec ce film qui souligne la tragédie de la solitude, Spike Jonze fait plus que captiver notre attention. Il nous envoûte.
L'Humanité
Si Spike Jonze explore à nouveau une zone peu fréquentée de la fiction, entre fantastique et romantisme, cette fois il se distingue par l’originalité visuelle de son travail et par son sujet en phase avec notre monde virtuel. Cocasse et touchant.
La Croix
Un film fascinant, visuellement superbe.
Le Journal du Dimanche
Spike Jonze a le don de nous plonger dans les replis tortueux de la psyché humaine. Joaquin Phoenix est une fois de plus bluffant de sensibilité, capable de mener le grand jeu de l'amour sans partenaire.
Le Point
Utopie ou dystopie, la love story de Spike Jonze nous rappelle que l'amour, cette "folie acceptée par la société", reste, bien plus que l'intelligence artificielle, la grande quête de l'humanité.
Les Fiches du Cinéma
Un film mélancolique et touchant, qui parvient à donner corps à une relation inconcevable.
Mad Movies
Cette union atypique, Spike Jonze la dépeint avec style mais sans esbroufe, au détour d'une pléthore de situations cocasses, de conversations philosophiques et d'authentiques moments de malaise au sein desquels chaque comédien trouve une occasion de briller.
Metro
Avec une réelle grâce, Spike Jonze orchestre une love story éthérée, mélancolique et bouleversante. Il offre à Joaquin Phoenix un personnage passionnant, strié de multiples failles. Scarlett Johansson obtient pour sa part le meilleur rôle de sa carrière.
Paris Match
Peu de cinéastes parviennent comme lui à nous faire croire l’impossible en quelques scènes, à nous plonger dans un univers à la fois insolite et si prégnant. Sa comédie romantique 2.0 est à la fois euphorisante et déprimante, tendre et désespérée.
Première
Pourquoi aime-t-on instantanément ce héros et donc ce film ? Peut-être parce que personne ne joue mieux la cristallisation amoureuse que Joaquin Phoenix.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
aVoir-aLire.com
Spike Jonze pose sa réflexion sur les rapports amoureux dans un univers de science-fiction fascinant de beauté verticale qui exalte et émeut, et finalement confine à l’universalité des sentiments.
Chronic'art.com
Côté pile : un beau film d'amour simplet, qui touche parfois juste et émeut bel et bien. Côté face : une mignardise générationnelle sonorisée au ukulélé, impuissante à susciter plus qu'une vague envie d'acheter des bougies parfumées.
Filmsactu
Dystopie crédible, romance qui manque de souffle, "Her" vaut avant tout pour l'impressionnante performance de Scarlett Johansson.
L'Obs
Dans "Her", étrange film à la fois émouvant, fascinant et un tantinet trop long, Jonze invente le futur : tout fonctionne en gigabytes.
Transfuge
Bâti sur un concept graphique, "Her" prend tout juste le pouls de notre humaine solitude à l'heure du smartphone ; un film en forme d'application.
Télérama
Un vrai défi de cinéma, que Spike Jonze relève avec un certain brio. (...) Dommage que l'histoire d'amour, puisque c'en est une, soit assez conventionnelle.
Cahiers du Cinéma
Ce qui commence comme une variation contemporaine sur le mélancolique "I Love You" de Marco Ferreri se transforme en sucrerie qui pourrait servir de clip à "Deeper Understanding", une vieille chanson de Kate Bush racontant la même histoire.
Critikat.com
Hélas, comme souvent chez Spike Jonze, le pitch est roi, et le récit finit par ne devenir que l’extension d’un concept choc et clinquant : "Boy meets Computer".
Le Figaroscope
Her nous donne une vision du monde fausse et lointaine. Comme une étoile. C'est très joli, mais déjà éteint.
Libération
Or, malgré une bonne volonté manifeste à tordre les codes surannés de la comédie sentimentale, Jonze échoue à mettre dans le mille. C’est même un euphémisme puisque l’image n’est ici, à de rares exceptions près, que le support faiblard d’une relation qui trouve son expression seulement dans le dialogue.