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Dupieux refuse l’appel du "film de la maturité" mais construit de plus en plus solidement son domaine nonsensique. Ne faisant rien pour améliorer son cas, il mérite qu’on lui redouble tous nos encouragements.
Le mélange est lourd, indigeste, mais c'est bien ce qui donne son génie à cet aberrant machin: l'étrangeté elle-même y est bipolaire, désaccordée, survolant une frontière floue entre rire et cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Adepte de l'absurde, Dupieux imagine un polar dégénéré, au diapason de la musique électro qu'il compose sous le pseudonyme de Mr Oizo (...). "Wrong Cops" est à l'image de ses compositions : grinçant et obsédant. Sous la drôlerie apparente, le film est terriblement anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Derrière l’apparente gratuité du film, son côté cirque freak, Quentin Dupieux raconte en fait son angoisse d’une normalité effrayante, qu’incarne à lui seul le contre-emploi drôle et assez émouvant de Marilyn Manson.
C'est un hilarant petit théâtre de l'absurde que ficelle ce cinéaste branché mais insolent (...), avec le relâchement nécessaire et la finesse ad hoc pour que l'exercice ne sombre pas dans une complaisance stérile ou un ennuyeux formatage.
Autrefois cantonné à la périphérie du globe, ou aux chemins de traverse de son propre entre-monde, le satellite Dupieux amorce avec ce grand foutoir policier un délicieux retour vers ses contemporains.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
On ne peut s'empêcher de trouver émouvant un Eric Judor borgne qui s'acharne à composer un tube technoïde stupide et entêtant, secondé par un demi-cadavre mélomane. Quant aux apparitions d'un Marilyn Manson sans maquillage, pitoyable victime d'un flic pervers, on s'en délecte coupablement.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Tout entier traversé de figures d'américanité - dont il fait le creuset d'un récit cohérent, la fois drôle et inquiet - ,"Wrong Cops" ne souffre que de son second degré systématique.
Il émane de "Wrong Cops" une sorte de désinvolture, presque une paresse d’écriture bullshit, qui provoque autant la déception que la bonne surprise. Mais, après tout, qui a dit qu’un film devait être bon du début à la fin ?
La critique complète est disponible sur le site Libération
Abandonnant les récits entremêlés et les réalités parallèles, le cinéaste s'y contente d'enfiler des vignettes à la Buñuel, qui se succèdent avec une fluidité absurde dans des décors de banlieue américaine volontairement anonymes.
Ce monde absurde sans foi ni loi suinte la frustration, l'ennui et l'angoisse. Il réserve aussi des plaisirs inattendus, autour de la création musicale, de son langage, du lien social qu'elle favorise.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dans "Wrong Cops", pointe l’intuition désagréable que le caviardage ostentatoire des scènes relève d’une pure volonté de maîtrise, d’un caprice de créateur-bidouilleur qui fait de l’absurde parce que tel est son bon plaisir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dommage car Dupieux avait des choses à dire à ses débuts ("Steak", "Non Film"). Désormais, il adopte la posture de l'européen qui récite complaisamment toute une sous-culture américaine et doit revenir à ce qu'il sait faire de mieux : se mettre en danger.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
"Wrong Cops", se plaisant à épuiser ses personnages et ses spectateurs, ressemble alors trop à une mécanique certes bien huilée, mais qui tourne à vide.
Cahiers du Cinéma
Dupieux refuse l’appel du "film de la maturité" mais construit de plus en plus solidement son domaine nonsensique. Ne faisant rien pour améliorer son cas, il mérite qu’on lui redouble tous nos encouragements.
Chronic'art.com
Le mélange est lourd, indigeste, mais c'est bien ce qui donne son génie à cet aberrant machin: l'étrangeté elle-même y est bipolaire, désaccordée, survolant une frontière floue entre rire et cauchemar.
Ecran Large
"Wrong Cops" agit sur le cerveau du spectateur comme une grenade à fragmentation, un appel au bordel généralisé difficile à ignorer.
Le Figaroscope
Psychopathes ou abrutis, ou les deux à la fois, les personnages de Dupieux font désespérer de l'humanité. Mais pas d'un cinéma libre et déjanté.
Le Monde
Adepte de l'absurde, Dupieux imagine un polar dégénéré, au diapason de la musique électro qu'il compose sous le pseudonyme de Mr Oizo (...). "Wrong Cops" est à l'image de ses compositions : grinçant et obsédant. Sous la drôlerie apparente, le film est terriblement anxiogène.
Les Inrockuptibles
Derrière l’apparente gratuité du film, son côté cirque freak, Quentin Dupieux raconte en fait son angoisse d’une normalité effrayante, qu’incarne à lui seul le contre-emploi drôle et assez émouvant de Marilyn Manson.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
C'est un hilarant petit théâtre de l'absurde que ficelle ce cinéaste branché mais insolent (...), avec le relâchement nécessaire et la finesse ad hoc pour que l'exercice ne sombre pas dans une complaisance stérile ou un ennuyeux formatage.
aVoir-aLire.com
Autrefois cantonné à la périphérie du globe, ou aux chemins de traverse de son propre entre-monde, le satellite Dupieux amorce avec ce grand foutoir policier un délicieux retour vers ses contemporains.
Elle
On ne peut s'empêcher de trouver émouvant un Eric Judor borgne qui s'acharne à composer un tube technoïde stupide et entêtant, secondé par un demi-cadavre mélomane. Quant aux apparitions d'un Marilyn Manson sans maquillage, pitoyable victime d'un flic pervers, on s'en délecte coupablement.
Les Fiches du Cinéma
Tout entier traversé de figures d'américanité - dont il fait le creuset d'un récit cohérent, la fois drôle et inquiet - ,"Wrong Cops" ne souffre que de son second degré systématique.
Libération
Il émane de "Wrong Cops" une sorte de désinvolture, presque une paresse d’écriture bullshit, qui provoque autant la déception que la bonne surprise. Mais, après tout, qui a dit qu’un film devait être bon du début à la fin ?
Mad Movies
Abandonnant les récits entremêlés et les réalités parallèles, le cinéaste s'y contente d'enfiler des vignettes à la Buñuel, qui se succèdent avec une fluidité absurde dans des décors de banlieue américaine volontairement anonymes.
Télérama
Ce monde absurde sans foi ni loi suinte la frustration, l'ennui et l'angoisse. Il réserve aussi des plaisirs inattendus, autour de la création musicale, de son langage, du lien social qu'elle favorise.
CinemaTeaser
Ça tourne malheureusement en rond.
Critikat.com
Dans "Wrong Cops", pointe l’intuition désagréable que le caviardage ostentatoire des scènes relève d’une pure volonté de maîtrise, d’un caprice de créateur-bidouilleur qui fait de l’absurde parce que tel est son bon plaisir.
Première
Avec ce nouveau film moins dada et plus narratif, Dupieux touche ses limites.
TF1 News
Dommage car Dupieux avait des choses à dire à ses débuts ("Steak", "Non Film"). Désormais, il adopte la posture de l'européen qui récite complaisamment toute une sous-culture américaine et doit revenir à ce qu'il sait faire de mieux : se mettre en danger.
Transfuge
"Wrong Cops", se plaisant à épuiser ses personnages et ses spectateurs, ressemble alors trop à une mécanique certes bien huilée, mais qui tourne à vide.
Positif
Rien dans le film ne suscite l'intérêt. (...) par comparaison, Les Ripoux paraissent un chef d'oeuvre. Aucune maîtrise.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.