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    Grand Central
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    jspl
    jspl

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 août 2013
    On se demande si certains critiques ont vraiment vu le même film... Pas crédibles les critiques...
    Ce film est mauvais, rien à sauver !
    Laurent M.
    Laurent M.

    8 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 août 2013
    Très décevant. Je ne comprends pas les critiques aussi élogieuses de la presse. Il est peut être politiquement correct d'encenser ce genre de film...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 septembre 2013
    Voilà tout ce que j'aime détester dans le cinéma, des acteurs cautions, un scénario qui vise la séduction, un emballage promotionnel tonitruant qui galvaude et dégoutte plus qu'il ne donne envie de voir le film. Tahar Rahim à coup sur l'acteur le plus surestimé du moment mais pour combien de temps encore, Léa Seydoux la princesse héritière: du commerce bourgeois et rien d'autre.
    tixou0
    tixou0

    696 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2014
    Son épouvantable (il faut souvent deviner ce qui se dit - remarquez, il ne se dit pas grand chose de bien passionnant), cadre erratique, images moches, jeu des acteurs de l'affiche sans intérêt (Rahim/Seydoux) - Ménochet (Toni) et Gourmet (Gilles) faisant ce qu'ils peuvent...
    Quant à l'histoire... c'est un très banal cocuage (avant l'heure - le mariage se situant à la fin). Ici, chez les prolos, avec coïts champêtres. "Originalité", première et dernière : la scène est, côté boulot, dans une centrale nucléaire (où tous les personnages travaillent, aux basses besognes). Peut intéresser celui qui voudrait se documenter avant de se faire embaucher en ce sens (avantages - fort peu, même au niveau paye ; inconvénients : ceux de la "dose", qui menace en permanence). Où "Gary" risque de jouer les "dames aux camélias" au masculin, quand "Karole" se bovaryse, avant même de convoler avec Toni. Rebecca Zlotowski, la réalisatrice (et ses 3 collaborateurs à l'écriture...), plaquent des arrière-pensées auteuristes sur un produit sans aucune saveur.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 septembre 2013
    Film désolant, d'un ennui profond. Pas d'histoire (ou tellement sans intérêt), musique glauque et envahissante, personnages creux... Mise en scène invraisemblable. Même le jeu des acteurs est médiocre. J'aurais quitté la salle si je n'avais pas été accompagné... Que dire de plus ? Passez votre chemin...
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    très très décevant... à quoi ben tourner un film dans une centrale nucléaire si ce n'est que pour parler de "doses" ... de quoi ? DE RADIOACTIVITEEE eh oui, mes chères auteures, il faut le dire, sinon réaliser un film dans une usine chimique, pas la peine d'exploiter le sujet du nucléaire pour décrire une amourette à l'eau de rose dont on se fiche royalement, déjà vue 20000 fois ! et que dire de cette vision de la virilité masculine archaïque digne d'un film des années 1950, genre des abrutis machos, des fier à bras incapables d'aligner 2 mots en français ? bref, déprimant sur toute la ligne !
    willycopresto
    willycopresto

    130 abonnés 1 352 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 juin 2016
    "Grand central" (2013) France 3 le 19.05.2016

    Comme si elle en avait un peu honte, la chaîne France 3 n'avait inscrit dans ses programmes ce navet qu'à 23h40, presque en douce (Merci Dana Hastier !) Il n'aura fait aucune étincelle lors de sa sortie : que 220 000 entrées en salles et il en aura vite été retiré. C'est ce qu'on appelle un court-circuit. Bide prévisible : cette histoire de coup de foudre dans une centrale nucléaire ne ressemble qu'à un pétard mouillé et comble du comble, elle manque singulièrement de réalisme autant que d'énergie. Ca se comprend : ce n'est que sa deuxième réalisation et Zlotowski a aussi voulu se mêler du scénario. Tout est mauvais. Comble de l'originalité : un des protagonistes se nomme "tcherno" ! Tordant non ? Bref, ne gâchez pas vos belles énergies (la vôtre et l'électricité) à regarder ce navet !
    willycopresto
    adicte
    adicte

    58 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 août 2014
    Alors il semblerait qu'il suffirait de tenir une caméra pour faire un film non? En tout cas, c'est bien ce que prouve ce "chef d’œuvre" (sic) insipide et stupide qui ne transmet qu'un ennui absolu et une antipathie totale pour les coupables de pareille aberration: du Audiard sans la complexité, sans les dialogues, sans la lumière, et surtout, sans le talent. C'est quoi cette histoire d'amour à la noix où aucune chaleur ne passe, où les dialogues tiennent sur une feuille A4 et où les interprètes n'ont qu'une seule et unique chemise à se mettre sur le dos? C'est ridicule, et comme toujours, à vouloir intellectualiser toute chose sans faire montre d'émotion, ineptie dont le cinéma français qui se veut indépendant est trop friand, c'est prétentieux, très mal accompagné musicalement et c'est une daube majuscule. Seul Tahar Rahim et l'aperçu des conditions de travail des ouvriers de la centrale ont retenu mon attention, mais prenez garde, le sommeil va vous guetter...
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    111 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 mai 2014
    Si vous pensiez qu'il n'y avait que les politicards véreux capables de mépriser les petites gens tout en feignant de prendre en considération l'expression de leurs souffrances, c'est que vous n'avez jamais vu Grand Central de Rebecca Zlotowski, dont le regard sur les classes populaires est ce que le fist fucking est à l'amour!
    Comment ne pas halluciner devant ce monument de bêtise pétrie d'ignorance crasse, d'une réalisatrice se rêvant profonde en transposant sa problématique de petite Parisienne snobinarde chez des Prolos fantasmés au possible, mi roms mi cassos (qui ne changent jamais de vêtements!) version bouseux incultes Yankees (faut voir les soirées d'enfer qu'ils passent!) dont l'existence misérable évolue autour d'une centrale Nucléaire comme jadis les corons autour de la mine (c'est dire le niveau sociologique de l'affaire)
    Interprété par la nouvelle coqueluche du cinéma "d'auteur" Français (mon cul sur la commode) Tahar Rahim et son physique de vendeur d'épicerie Sidi Brahim et l'impudique Léa Seydoux abonnée aux rôles de pauvres frivoles (pour une "fille de" c'est quand même un comble!) le film est d'une telle indigence thématique qu'il ferait presque passer la série "Julie lescaut" pour un reportage en immersion dans les locaux de la PJ Parisienne.
    Alors ouais on a compris le parallèle entre les radiations de l'usine et l'amour que Gary porte pour Karole qui, à l'instar du réacteur nucléaire, aime indifféremment celui qui saura lui frotter le mieux la carcasse au péril de sa vie, pas de problème on a pigé.
    Ce qui soulève encore une fois la question du financement systématique par le contribuable d'un cinéma visiblement incappable de raconter autre chose que les vicissitudes d'une petite élite déconnectée du réel, tout juste bonne à camoufler l'étendue de son imposture sous un déluge de pathos, comme pour mieux narguer les petites gens de pouvoir leur chier à la gueule avec leur propre argent!
    Et au regard du travail fourni par le chef opérateur, on réalise à quel point l'arnaque est totale!
    Des tonnes d'arrogance par mètre de pellicule, amplifiée de manière grotesque par une musique envahissante et chiante au possible.
    On n'avait pas vu pareille condescendance depuis "de Rouille et d'os" d'Audiard!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2013
    chiant ! Tahar Rahim très bien Lea Sedoux nulle et froide je ne comprends pas les critiques dithyrambiques
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 septembre 2013
    Quelle honte !

    Le sujet paraissait pourtant intéressant, mais en fait le film, du genre "tranche de vie de gens sans importance, et surtout sans intérêt", se borne à un (mauvais) documentaire larmoyant sur la vie des sous-traitants qui risquent leur santé et leur peau pour entretenir les centrales nucléaires françaises, sur fond de coucherie et de misérabilisme. Perdre presque deux heures pour voir Léa Seydoux, affublée d'un brushing à 120 € (tellement vraisemblable), à poil dans l'herbe pendant 10 secondes, c'est beaucoup trop. Quant à invoquer la gare centrale de New York dans le titre, c'est carrément de la publicité mensongère.
    Allez plutôt voir un blockbuster "made in Hollywood", ça ne pisse pas plus loin mais au moins il y a du spectacle.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 septembre 2013
    J’ignore pourquoi ce titre est au masculin, alors qu’il s’agit d’UNE centrale nucléaire. Ce qui est certain, c’est que les films français sur les avantages et les inconvénients des centrales nucléaires, sujet pas tout à fait anodin, n’a jamais fait l’objet d’aucun film, ni en France, ni à l’étranger. On va donc le voir en espérant apprendre quelque chose. Mais non, presque rien. Et le seul intérêt du film est la présence de trois bons acteurs, Olivier Gourmet, Johan Libéreau et Tahar Rahim.

    Et la vedette féminine, Léa Seydoux ? Mais son personnage ne sert à rien, elle incarne simplement la nana de l’histoire, sans doute parce que, promue vedette, sa présence (et une scène de nu racoleuse et inutile) permet de financer le tournage. Ici, elle est une fille volage, ce qui permet un parallèle facile ente la contamination par l’amour et par les radiations nucléaires. Mais où la réalisatrice va-t-elle chercher une trouvaille aussi originale ? Il faut bien reconnaître que toutes les scènes où paraît Léa Seydoux nous écartent du sujet, qui est l’entretien et la protection des centrales nucléaires. De sorte que, sans cesse éloigné de ce pour quoi il est venu voir le film, le spectateur s’ennuie et regrette son dérangement.

    Naturellement, la publicité a raconté une fois de plus que la vedette masculine avait accepté de tourner le film « avant même d’en avoir lu le scénario ». Ce bobard revient de façon récurrente, quasiment à chaque film. Traduction : le monde du cinéma est tellement merveilleux que tout le monde s’y fait confiance. Ben voyons.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 septembre 2013
    Quelques impressions après avoir vu ce film. D’abord l'image, de mauvaise qualité, avec des plans qui souvent manquent de netteté ou dont la mise au point n’accompagne pas le regard. Le cadrage lui-même est très approximatif, avec des visages fréquemment coupés (sauf la tête de Léa, sans doute parce que tous normalien sait confusément au fond de lui qu’il vaut mieux ne faut pas couper la tête au grand capital). Il n’y a pas de travail sur la couleur, la photographie n’a pas de signification, pas de sensualité, pas de violence, pas de naturalisme non plus, pas de vide non plus, pas de platitude non plus, pas de sens non plus, non, c’est une photographie sans propos, sans forme. Sans pour autant que le moindre indice laisse à penser que ce manque de forme et de propos soit voulu. Et si ce n’est pas voulu, alors c’est que c’est raté. Les artifices de l’éclairage, eux, sont maladroitement visibles, jusqu’à afficher des conflits entre les ombres naturelles et celles des réflecteurs. Erreurs de débutants ? Rapidement, on s’interroge. Est-ce vraiment un film fait par des professionnels ? La prise de son – tellement mauvaise, la pire de tous les films que j’ai vu au point que je me demande encore s’il ne s’agit-il pas d’un problème d’enceintes propre à la salle de cinéma – cette prise de son est atterrante. Plus que confuse, elle est négative : les dialogues sont inaudibles (sauf lorsque Léa parle, sans doute parce qu’il ne faut pas faire taire le grand capital). En dehors du travail raté sur le bruit des hommes, il ne semble pas non plus y avoir de travail sur les bruits de la nature, ni sur les bruits de la centrale. En fait, il n’y a pas de travail audible sur la dimension sonore. Manquerait-il des sens - la vue, le son - à la réalisatrice ? Le montage et le découpage des scènes achèvent de tuer le film. Il n’y a que très peu de scènes nécessaires et qui apportent un propos. C’est surtout du remplissage, un déferlement de micro séquences globalement interchangeables les unes avec les autres. On s’imagine sans peine pouvoir intervertir des scènes sans que cela ne change rien au film, ni en mieux ni en pire, on a là une soupe sans structure car sans lien d’évidence avec rien, ni avec la narration, ni avec l’idée. Enfin, mention spéciale à l’actrice principale qui montre, comme dans tous ses films, ses seins et son bas ventre. Ce sont maintenant ses lieux communs. On se demande ingénument pourquoi les montrer. Ou bien pourquoi pas, car c’est joli après tout. Mais d’autres font ça tellement mieux, dans la réalité, ou bien sur internet, ou bien lorsqu’ils relancent les magazines germanopratins. Au final, il y aurait eu beaucoup à faire avec ce film, car l’idée est là, propice à un chef d’œuvre. Mais cette potentialité n’est pas exploitée. Le scénario est trop ambitieux pour les capacités réelles de fabrication. Nul doute cependant que dans le microcosme franco-français du cinéma ce film reçoive un excellent accueil, mais pour des raisons de personnes, des raisons sans lien avec les réelles caractéristiques de l’objet.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 août 2013
    Grand central = (le salaire de la peur) plus (Mud) plus (L'inconnu du lac)....
    Même si c'est bien écrit, bien joué, bien mis en scène, ce film est loin d'être un inoubliable chef d'œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 septembre 2013
    Même pas peur !
    Une centrale nucléaire où de pauvres bougres risquent leur vie à chaque instant... hé bien, non, ça ne marche pas et ça ressemble plutôt à un reportage chiant financé par des anti-nucléaire.
    Même pas une larme !
    L' histoire d'amour plate, insipide, digne de la série harlequin, ça laisse totalement froid. On n'éprouve rien, aucun frisson, aucun sentiment si ce n'est de l'ennui et l'envie que le film se termine très vite afin de ne plus supporter la musique (ou plutôt le bruit) assourdissant.
    Alors vraiment y en a marre de ces critiques qui veulent être dans l'air du temps en montant en épingle des films qui n'ont aucun intérêt. Encenser des acteurs qui sont loin de soulever l'admiration générale mais juste capables de jouer une petite série TV... là on pousse le bouchon un peu loin.
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