Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il s’agit là de divertissement pur du meilleur cru. Le duo Jamie Foxx/Channing Tatum apporte des touches d’humour bienvenues au milieu d’un feu d'artifice qui donne envie de crier «encore baboum!»
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Roland Emmerich déploie l'artillerie lourde dans ce film d'action spectaculaire, trépidant et jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Roland Emmerich s'amuse avec cette série B surpuissante, à la fois sûre d'elle et à la limite de la parodie. Un plaisir coupable et plus malin qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Prenant la forme d’un "Piège de cristal" présidentiel (...) "White House Down" s’investit de la façon la plus sincère qui soit dans un dynamisme de l’écriture qu’on croyait révolu dans le blockbuster moderne (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
(...) les références à la saga "Die Hard" sont évidentes. La supériorité de "White House Down" sur son concurrent tient à son ancrage résolument moderne (le président est noir et cool ; l’ennemi vient de l’intérieur, comme dans la série Homeland), à son casting cinq étoiles, à son second degré totalement assumé et à ses moyens décuplés.
Télérama
par Nicolas Didier
Une agréable surprise, qui rappelle les blockbusters des années 1990.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
"White house down" est un remake fort sympathique de Die Hard, ramené dans le giron emmerichien du patriotisme acrobatique – comme il y a du ski ou de la gym acrobatique
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Roland Emmerich convoque sans s'excuser les 80's pour livrer un actionner jouant clairement la carte parodique et où le duo Tatum / Foxx excelle.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Vincent Avenel
Roland Emmerich aurait-il été, comme tout le monde, atterré par la qualité du dernier Die Hard, et voulait-il donner son Die Hard à lui ? Dans ce cas, c’est réussi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Blockbuster (n.m.) : film 100% spectaculaire et décérébré, qui dépasse son côté bourrin assumé grâce à une avalanche d’action aussi absurde que palpitante. Prière de considérer le produit uniquement pour ce qu’il est.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Paris Match
par Yannick Vely
"White House Down" est tellement second degré qu’il tient du plaisir coupable, à condition de débrancher son cerveau et de ne jamais réfléchir aux motivations des méchants. (...) Le film reste néanmoins réjouissant dans ses détails abusés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Fabien Baumann
(...) divertissement respectable, filmé sans honte ni dérision.
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Si l’on apprécie l’humilité professionnelle d’Emmerich, son respect absolu du spectateur de multiplexe, son manque patent de virtuosité désamorce en grande partie les enjeux cauchemardesque du film et confère à celui-ci un sentiment d'inachevé. Il n'empêche qu'on reste tout de même preneur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
TF1 News
par Romain Le Vern
C'est divertissant, pour sûr, mais inconséquent et dépassé aussi.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
On ne saurait que trop recommander à Roland Emmerich de s’essayer à l’auto-dérision. Le réalisateur échapperait sans doute un peu aux sarcasmes de la presse et des spectateurs, las de voir sans-cesse les caricatures de film et d’idées foisonnant partout.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) Roland Emmerich réalise toujours le même film et, fait remarquable, n'a pas progressé d'un iota en quinze ans.
Le Monde
par Sandrine Marques
Scènes d'action souvent grotesques n'exploitant que peu le potentiel du décor offert au réalisateur, blagues lourdingues (...), ce film consternant s'achève là où l'obsession de Roland Emmerich pour la Maison Blanche avait commencé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Il s’agit là de divertissement pur du meilleur cru. Le duo Jamie Foxx/Channing Tatum apporte des touches d’humour bienvenues au milieu d’un feu d'artifice qui donne envie de crier «encore baboum!»
Le Journal du Dimanche
Roland Emmerich déploie l'artillerie lourde dans ce film d'action spectaculaire, trépidant et jouissif.
Les Fiches du Cinéma
Roland Emmerich s'amuse avec cette série B surpuissante, à la fois sûre d'elle et à la limite de la parodie. Un plaisir coupable et plus malin qu'il n'y paraît.
Les Inrockuptibles
Prenant la forme d’un "Piège de cristal" présidentiel (...) "White House Down" s’investit de la façon la plus sincère qui soit dans un dynamisme de l’écriture qu’on croyait révolu dans le blockbuster moderne (...)
Première
(...) les références à la saga "Die Hard" sont évidentes. La supériorité de "White House Down" sur son concurrent tient à son ancrage résolument moderne (le président est noir et cool ; l’ennemi vient de l’intérieur, comme dans la série Homeland), à son casting cinq étoiles, à son second degré totalement assumé et à ses moyens décuplés.
Télérama
Une agréable surprise, qui rappelle les blockbusters des années 1990.
Chronic'art.com
"White house down" est un remake fort sympathique de Die Hard, ramené dans le giron emmerichien du patriotisme acrobatique – comme il y a du ski ou de la gym acrobatique
CinemaTeaser
Roland Emmerich convoque sans s'excuser les 80's pour livrer un actionner jouant clairement la carte parodique et où le duo Tatum / Foxx excelle.
Critikat.com
Roland Emmerich aurait-il été, comme tout le monde, atterré par la qualité du dernier Die Hard, et voulait-il donner son Die Hard à lui ? Dans ce cas, c’est réussi.
Ecran Large
Blockbuster (n.m.) : film 100% spectaculaire et décérébré, qui dépasse son côté bourrin assumé grâce à une avalanche d’action aussi absurde que palpitante. Prière de considérer le produit uniquement pour ce qu’il est.
Paris Match
"White House Down" est tellement second degré qu’il tient du plaisir coupable, à condition de débrancher son cerveau et de ne jamais réfléchir aux motivations des méchants. (...) Le film reste néanmoins réjouissant dans ses détails abusés.
Positif
(...) divertissement respectable, filmé sans honte ni dérision.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Si l’on apprécie l’humilité professionnelle d’Emmerich, son respect absolu du spectateur de multiplexe, son manque patent de virtuosité désamorce en grande partie les enjeux cauchemardesque du film et confère à celui-ci un sentiment d'inachevé. Il n'empêche qu'on reste tout de même preneur.
L'Express
Voir le site de L'Express.
TF1 News
C'est divertissant, pour sûr, mais inconséquent et dépassé aussi.
aVoir-aLire.com
On ne saurait que trop recommander à Roland Emmerich de s’essayer à l’auto-dérision. Le réalisateur échapperait sans doute un peu aux sarcasmes de la presse et des spectateurs, las de voir sans-cesse les caricatures de film et d’idées foisonnant partout.
Charlie Hebdo
(...) Roland Emmerich réalise toujours le même film et, fait remarquable, n'a pas progressé d'un iota en quinze ans.
Le Monde
Scènes d'action souvent grotesques n'exploitant que peu le potentiel du décor offert au réalisateur, blagues lourdingues (...), ce film consternant s'achève là où l'obsession de Roland Emmerich pour la Maison Blanche avait commencé.