Avis : The Raid 2 - Page 9

Et c'est reparti pour un nouveau carnage ! A coups de poings, de marteaux, de battes de baseball, de sabres ou bien entendu de flingues. Comme "The raid", ce film ne fait pas dans la dentelle. Mais il passe ici la surmultipliée et nous offre un spectacle certes toujours plus violent, mais carrément encore plus excitant et plus jouissif. On sent que "The raid 2" a été tourné avec des moyens, ce qui donne lieu à des scènes incroyables autant qu'haletantes. Même si l'histoire est somme toute classique et quelque peu bavarde dans la première partie, c'est du pur délire au niveau action. Et au final, on s'en prend plein la tronche. Prostituée, c'est bon quand même.

The Raid avait complètement retourné le cinéma d'action en 2012 : un pitch sobre mais hypnotique, des séquences d'action réalistes ahurissantes, une violence graphique sans retenue et un sens aiguisé de la mise en scène avaient conquis un public las des produits hollywoodiens au même titre que Ong-Bak dix ans auparavant. Deux ans plus tard, toute l'équipe menée par le prodigieux Gareth Evans se retrouve pour une suite foncièrement très différente du premier opus où cette fois-ci le héros Rama s'infiltre dans un puissant gang pour mieux le démanteler. Un choix judicieux qui évite de nous ramener devant un vulgaire copié-collé... The Raid 2 s'éloigne donc de son prédécesseur mais n'en demeure pas moins surprenant, aussi bien dans ses scènes d'action toujours plus impressionnantes que dans sa tournure scénaristique ici fortement influencée par les grands polars de John Woo, Andy Lau ou encore Michael Mann. Organisation criminelle en costards-cravates, flic infiltré se prenant un peu trop au jeu des gangsters ("Berandal", le titre original, veut dire "Voyou"), conspirations multiples, traîtres en pagaille... Le long-métrage ne nous laisse aucun répit et apporte un vent de nouveauté en la présence de personnages inédits encore plus marquants que le précédent (mention spéciale aux tueurs Hammer Girl, son frère Baseball Bat Man et celui nommé L'Assassin, d'une froideur sans pareille). On pourra peut-être regretter un trop-plein de personnages et plusieurs sous-intrigues pas toujours efficaces mais dans l'ensemble, l'histoire tient agréablement bien la route et reste dynamique d'un bout à l'autre de ces quelques 2h30 de bobine. Plus violent, plus sanglant, plus dramatique mais aussi plus travaillé (aussi bien dans les dialogues que dans les décors et les chorégraphies), The Raid 2 rejoint les classiques du cinéma d'action des années 80/90 en multipliant les moments forts, les diverses séquences d'action avec course-poursuite en voiture, fusillades et combats mano a mano ou à l'arme blanche, égalisant sans peine son prédécesseur. Ne manque au film qu'un ou deux plans-séquences bien ébouriffants (Evans en est capable), histoire d'enfoncer le clou plus profondément. Mais ne pinaillons pas trop, cette séquelle étant une nouvelle claque dont on ne sort pas indemne, faisant oublier les scènes les plus fortes du précédent film avec de nouvelles séquences inoubliables telles que le gigantesque combat dans la boue d'une prison, la tuerie dans le métro par la glaciale Hammer Girl ou encore tout simplement le combat final dans la cuisine, d'une intensité et d'une violence laissant sans voix. Encore une fois : chapeau bas.

Supérieur à son prédécesseur, The raid 2 passe la seconde pour nous livrer un film sans concession sur sa violence et la puissance de ses combats.
On suit un flic infiltré prêt à faire tomber les assassins de son frère et ses collègues corrompus par des mafieux.
Plus ouvert, plus violent, mieux écrit, The raid 2 mérite largement un visionnage.

Le succès rencontré par l’explosion de bourrinage décérébré qu’était The Raid rendait prévisible de voir une suite poindre le bout de son nez. C’est donc en toute logique que, deux ans après le premier film, Gareth Evans a réuni une nouvelle équipe, ne gardant que trois des acteurs du premier opus qui a vu la large majorité de ses personnages se faire massacrer, pour filmer une série de combats au Pencak Silat chorégraphiés avec brio. Mais cette fois, le réalisateur gallois expatrié en Indonésie ne s’est pas contenté de cumuler les scènes de baston en s’alignant, comme précédemment, sur un schéma hérité d’un vieux jeu de plateforme puisqu’il a eu les moyens de ressortir de ses tiroirs un véritable scénario écrit plusieurs années plus tôt. Sans qu’il s’agisse d’un polar écrit de façon approfondie, cette suite réussit à installer, non sans un minimum d’humour au second degré, un semblant d’intrigue, utilisant tous les poncifs de base du film de mafieux, pour justifier la violence sans limite qui la ponctue. En plus de ces combats, aussi bien à bien à mains nues qu’à coups d’armes saugrenues, qu’Evans a monté avec un panache éblouissant, la scène de course-poursuite en voiture dont jouit le film est particulièrement réussie. Nettement plus abouti que son prédécesseur, The raid 2 est un sacré défouloir qui, lui, n'aura pas démérité une réputation, quoique surclassée, de petite révolution dans le cinéma d’action.

Époustouflant ! La suite du célèbre "The raid" est tout simplement incroyable. Contrairement à son ainé , l'histoire est captivante, intéressante avec ses intrigues, ses rebondissements, tout est là. On ne voit pas passer les 2h20 de cet explosif épisode. Le personnage principale a survécu au terrible raid orchestré par son supérieur verreu ou une vingtaine de policiers ont tous succombé lors de l'assaut d'un immeuble remplies de gangsters. On le retrouve donc maintenant infiltré dans une famille au beau milieu d'une guerre de gangs. Extrêmement brutale, la violence des combat n'est pas à mettre devant tous les yeux. Certains combats sont très gore mais d'une qualité exceptionnelle. Certains acteurs du premier volet se retrouvent dans ce film , dommage quand on sait qu'ils sont théoriquement mort. Un chef d’œuvre du cinéma d'action, sans conteste.

The Raid 2 est dans la continuité du premier volet même si il est plus long en terme de durée , ce qui fait le charme de ce film ce sont les combats qui sont nombreux et il y en a beaucoup mais tous ces combats sont extraordinaire et je trouve qu'il est encore meilleur que le premier même si The Raid 1 est très bien , Gareth Evans est resté dans la continuité du premier avec dans ce volet des combats qui sont plus sanglants et plus brutal , tous les acteurs du film sont très bon dans leur rôle et dans ce film , le dénouement est ultra-violent , dans ce film il y a pas de temps morts et on est dans le film du début a la fin
Pour moi ce film est un des meilleurs films d'action et d'arts martiaux

Gareth Evans dirige sa caméra d’un bout à l’autre comme un véritable expert, on sent les références du cinéaste, et pas uniquement dans le domaine des arts martiaux, on y trouverait presque un style à la Kubrick dans la qualité de ses plans. Une des rares fois où je vois des asiatiques jouer aussi bien, dans un cinéma violent qui se veut réaliste, du moins dans ses effets. "The raid 2" fera partie des rares suites à surpasser son premier volet. L’unique reproche que l’on pourrait lui faire, c’est d’être un poil trop long ; en effet 2h30 pour un film de baston non-stop, c’est assez inhabituel, mais ça nous permettra d'avoir notre dose pour l’année. Ce long-métrage n’oubliera pas non plus de mettre nos précédentes expériences cinématographiques dans ce registre à la traîne, grâce à ses chorégraphies millimétrées et bourrées de bonnes idées, pour faire de ce film une révolution dans le genre. De la violence à l’état brut ! Et Dieu sait qu’on aime ça, surtout quand c’est aussi bien maitrisé sur tous les plans. Riche et complet, propre et soigné, "The raid 2" s'offre un véritable statut de modèle !

Suite directe du premier opus, "The Raid 2" reprend les mêmes bases pour la même réussite avec des scènes d'actions d'autant plus époustouflantes et une violence extrêmement réaliste. C'est pourquoi, la réalistation est vraiment réussie offrant une mise en scène impressionnante. Quant au scénario, il suit l'histoire du premier film avec justesse. Les acteurs sont eux aussi très convaincants. Ainsi, le film est explosif, captivant et maîtrisé !

Le premier volet m’avait littéralement scotché, par son enchaînement de combats violents et fusillades démentielles. Ce second volet, d’une durée nettement plus longue, explore davantage l’univers de The Raid, où corruption, et trahison, pimentent l’histoire. Un scénario solide, bétonné d’une violence esthétique, en enchaînant une nouvelle fois, combats spectaculaires, poursuites en voiture ( rarement aussi bien filmées ), et fusillades sanglantes. Se finalisant dans un bain de sang purement jouissif. Un grand film d’action. Mais j’ai toutefois préféré le premier. Vivement le 3...

Une claque monumentale, et un gigantesque iceberg : voilà ce qu’est Berandal, suite tant attendue du fameux The Raid, qui n’était au bout du compte qu’une mise en bouche, son sommet visible. Son succès mérité aura en tout cas servi à merveille de tremplin à Gareth Evans, lui permettant de réaliser son projet originel, alors métamorphosé en The Raid 2. Et quel pied, bon sang quelle démonstration de force ! Tout ce qui faisait la force du premier opus, Berandal le transcende avec un brio dément, tout en explorant un univers mafieux ne demandant qu’à l’être ; il y a donc une réelle avancée en terme d’intrigue, et si celle-ci n’est pas exempte de tout reproche, car notamment très fouillis et quelquefois confuse, elle s’avère aussi dense que captivante. Ce monde tortueux se révèle à nous pour notre plus grand plaisir donc, et l’on peut dire que celui-ci recèle bon nombre de figures charismatiques, souvent improbables mais foutrement marquantes (marteaux & baseball) ; on peut toutefois regretter une carence d’approfondissement concernant certains de ces protagonistes, mais les faits sont là : Berandal arbore une trame bien plus travaillée que ce que les films du genre ont à proposer d’ordinaire, aussi je lui pardonne volontiers ces petites approximations. Dans le fond le long-métrage s’en sort donc plutôt bien, et c’est sans surprise sa forme qui nous subjugue avant tout : de celui-ci je retiens donc une mise en scène de Gareth Evans ayant grandement progressé, et qui couplée à un budget plus confortable donne lieu à une pléiade de plans vraiment réussis, pour ne pas dire géniaux. La photographie n’est également pas en reste, tandis que le rythme prenant fait preuve d’une tension allant croissante, alors parfaitement alliée à une BO une fois encore percutante… cet ensemble délectable sert ainsi pour le mieux la mise en place de scènes d’affrontements toutes, je dis bien toutes, ahurissantes, tant elles sont dantesque à n’en plus finir. Et l’on avait beau savoir que Berandal ne prendrait pas de gants, qu’il serait au moins au niveau de son prédécesseur sur ce point, on est ni plus ni moins estomaqué, abasourdi, médusé devant un tel déferlement de violence chorégraphiée à la perfection, voire avec grâce ; le film ne manque d’ailleurs pas de nous faire penser à un certain Kill Bill, tant il atteint des pics de brutalité vertigineux, parfois même en feignant de continuer à n’en plus finir… excessif ? Non, rien de redondant, on est tout bonnement happé au sein de cette spirale de violence étourdissante, énorme, presque insensée tant les personnages repoussent sans cesse les limites du possibles, et Berandal nous réserve par la même occasion une myriade de dommages physiques au réalisme (notamment sonore) incroyable… on se tort plus d’une fois sur son siège en somme ! Bref, The Raid 2 est déjà plus culte que le premier du nom, tant il le dépasse sur tous les plans, fort de séquences d’action mémorables (toutes mériteraient d’être mentionnées, à commencer par l’affrontement général dans la cour de prison, et le face à face final en cuisine) ; le scénario correctement travaillé est également satisfaisant, dotant Berandal d’une complexité narrative inédite pour un divertissement de cet acabit, alors parfait visuellement parlant. Une claque vous disais-je. Vivement le troisième et dernier volet… mais Gareth Evans sera-t-il en mesure de faire mieux ?

The Raid 2 : Berandal est une suite hallucinante, du début jusqu’à l’hilarante dernière réplique. Prenez The Raid et jetez-le à la poubelle. Prenez tous les meilleurs films d’arts martiaux, L’Honneur du dragon compris, et descendez-les d’un cran du podium. Il y a un nouveau Numéro Un en ville…

Lisez la critique complète sur le blog de Marvelll.

Un film d'action de la même lignée que le précédent et très spectaculaire. Il ne faut pas vraiment faire attention au scénario qui n'est pas le point fort du film. Un acteur principal très physique pour les scènes d'action et qui passe bien la baraque. Les reste du casting asiatique ne ne montre pas aussi convaincant et montre peu d'émotions, cela gâche un peu le film. Les scènes de combat, absolument rien à dire. C'est fluide, dynamique, violent, bien chorégraphiée et surtout bien cadré pour bien en profiter. Quelque chose m'a peu gêné dans ce film. Deux possibilités, soit son scénario ou soit le film est trop longue car on perd un peu de tension contrairement au premier. Des décors et des costumes normaux. Malgré ce défaut, le film reste un excellent film d'action avec des scènes de combat rarement vu même si je ne cache pas que j'ai une préférence du premier.

Super jeux d'acteurs des scènes de combats à couper le souffle
Les combats sont très bien filmé nous ressentons le stress avant le combat
Aller voir ce film pour les acteurs

Soyons clairs : The Raid premier du nom était une petite pépite en matière de surprise inattendue. Acclamé par de nombreux festivals, il avait su, par l'utilisation de son cadre et son action effrénée, réinventé les codes du cinéma d'action, à l'instar d'un John Mctiernan 30 ans auparavant avec son Piège de Cristal. En ressortait un film étourdissant, surprenant de rythme et d'ultraviolence. Une claque! Une claque certes...mais qui apparaît désormais comme mineure face à sa suite!Le film commence dix minutes après les évènements du 1er opus. Rama, le héros, doit à nouveau se confronter aux dangers du terrain, non pas en montant un commando, mais en infiltrant cette fois-ci le milieu de la pègre responsable de la mort de son frère. Il devra maintenir un dangereux équilibre entre sa relation avec les truands et sa mission pour la police, sensée porter un coup fatal à l'empire du crime. Les dégâts n'en seront malheureusement que trop grands!Le réalisateur Gareth Evans, pour tout fan de films d'actions qui se respecte, est un nom à entourer. A retenir, à encadrer d'un feutre rouge sang, tant son cinéma transpire la passion, la sincérité envers son propos et son public, les nombreuses références auquel il rend bien plus qu'un simple hommage! En effet, en construisant un véritable scénario digne des plus grandes tragédies mafieuses hong-kongaises (Les Syndicat du Crime et les Election en tête!), il s'inspire à la fois des plus grands Johnnie To, John Woo et consort! Cela se ressent également au plan technique, où sa mise en scène atteint une précision folle : la caméra virevolte, tournoie, se déplace en plan séquence, donnant à certains plans une qualité esthétique irréprochable! Et surtout un plaisir coupable démentiel lors des séquences d'action!Et là, le public est servi. Même si ce sont majoritairement des scènes de combat, tout l'arsenal y passe : flingues, matraques, battes de base-ball, balais, marteau, serpes, couteau, grill... Une ultraviolence décuplée, choquante mais diablement efficace, exécutée par des artistes martiaux au talent indéniable, renvoyant aux oubliettes les scènes de combat de bon nombre blockbusters hollywoodiens. A titre d'information, la scène de combat final a quand même nécessité six semaines de préparation : le cliffangher qui en résulte fera dresser le poil de n'importe quel spectateur. C'est indéniable : The Raid 2 est tout simplement le meilleur film de 2014 à ce jour, et probablement un des meilleurs films d'action de la décenie. Plus qu'un coup de coeur : un véritable KO!

Grand Amateur de Film de Fight c'est peut être même ce que je préfère mais ceux la j'ai jamais accrocher 1et 2 tout simplement parce que s'est Mal filmé,j'aime voir ce qui se passe pendant l'action et non apercevoir bien trop épileptique avec camera qui bouge dans tout les sens dommage
Apprenez a cadré