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Il y a de l'humour, de la tendresse et une élégance remarquable dans ce poème qui donne l'impression de s'envoler. N'hésitez pas à déployer vos ailes avec ces oiseaux-là.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le film demande peut-être au spectateur de compléter lui-même le propos qu’il esquisse avec une vraie élégance : un nouvel "éloge de la fuite" à destination d’une humanité en perpétuel transit. Mais le charme du film est aussi de laisser ses idées flotter pour qu’on puisse les reprendre, au vol.
Pascale Ferran décompose le mouvement de l’oiseau et fige l’image pour faire voisiner un récit sur la modernité des moyens de communication avec le rappel de l’étymologie du terme cinématographe : écrire le mouvement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Pascale Ferran a l'œil singulier. Ses longs plans ont une intensité documentaire. Une fois son univers installé, elle le dynamite. Le film bascule alors vers le conte, la poésie.
Ainsi est né un drame social d'une sensibilité rare et d'une lucidité impitoyable. Malgré la mélancolie qui imprègne un récit résolument métaphorique, Pascale Ferran insiste sur sa dimension positive.
Admirable témoignage sur l'époque, "Bird People" dresse le portrait d'individus qui décrochent, à l'heure précisément, de la prolifération des connexions. C'est la conquête de cette liberté que met en scène Pascale Ferran, avec une grande acuité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pascale Ferran était attendue depuis "Lady Chatterley", déjà huit ans (...). Elle signe un très beau retour avec ce film en deux chapitres qui mêle réalisme et fantastique. Un film doublement coupé en deux.
On attendait Pascale Ferran depuis sa "Lady Chatterley" (...) Elle revient avec "Bird People", et dans son audacieuse métaphore du ras-le-bol quotidien, la grâce est avec elle.
Après une première moitié réaliste et concrète, "Bird People" change radicalement de ton et se mue ainsi en conte d’apprentissage poétique et fantastique en s’accrochant aux ailes d’un volatile.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Avec Anaïs Demoustier, Josh Charles, Roschdy Zem. On embarque avec eux, touché par cette exploration poétique du mal-vivre où on reste à quai d'une histoire candide.
La rupture, la possibilité d'une transformation sont au centre du film. Le scénario se jette dans le fantastique, mais la mise en scène reste ancrée dans le réalisme. Pas d'effets spéciaux (...), ni de sorcellerie mystérieuse (...) Une fiction ambitieuse.
Ferran trouve des moyens simples, des idées naïves peut-être, ingénues sans doute, pour faire de la pensée un moteur de transfiguration du réel et d'évasion cinématographique. Elle aura tenté et réussi, notamment dans sa deuxième partie, le pari d'un film français d'un registre inédit. Spirituel et volatil.
"Bird People" papillonne beaucoup, avec style et brio, touchant à l’intimité profonde de l’être pour atteindre une forme d’universalité poignante. Une oeuvre remarquable dans une filmographie décidément inébranlable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Huit ans après "Lady Chatterley", la cinéaste revient avec un film audacieux et déconcertant, sur le thème très contemporain de l'accélération du temps. Un film singulièrement libre et attachant, empreint de gravité et de fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L'essentiel se déroule dans un hôtel de Roissy, où les banals tourments d'un chef d'entreprise américain et les questionnements naïfs d'une femme de chambre ne parviennent pas à fournir une épine dorsale à cette chronique aéroportuaire fort volatile.
Elle
Puissant comme un avion, léger comme un moineau, ce film est un cadeau.
Les Fiches du Cinéma
Un film en même temps conceptuel et fantaisiste, bourré tout à la fois de connexions intelligentes et d'imprévisibles élans humains.
Télérama
Ce que tente Pascale Ferran est très périlleux. Mais elle triomphe de toutes les difficultés avec une grâce mêlée de générosité.
20 Minutes
Il y a de l'humour, de la tendresse et une élégance remarquable dans ce poème qui donne l'impression de s'envoler. N'hésitez pas à déployer vos ailes avec ces oiseaux-là.
Cahiers du Cinéma
Le film demande peut-être au spectateur de compléter lui-même le propos qu’il esquisse avec une vraie élégance : un nouvel "éloge de la fuite" à destination d’une humanité en perpétuel transit. Mais le charme du film est aussi de laisser ses idées flotter pour qu’on puisse les reprendre, au vol.
CinemaTeaser
Un film insaisissable à la beauté folle.
Critikat.com
Pascale Ferran décompose le mouvement de l’oiseau et fige l’image pour faire voisiner un récit sur la modernité des moyens de communication avec le rappel de l’étymologie du terme cinématographe : écrire le mouvement.
Franceinfo Culture
Pascale Ferran a l'œil singulier. Ses longs plans ont une intensité documentaire. Une fois son univers installé, elle le dynamite. Le film bascule alors vers le conte, la poésie.
Le Dauphiné Libéré
Un film sur le temps présent, d’une audace surprenante. Qui va diviser…
Le Journal du Dimanche
Ainsi est né un drame social d'une sensibilité rare et d'une lucidité impitoyable. Malgré la mélancolie qui imprègne un récit résolument métaphorique, Pascale Ferran insiste sur sa dimension positive.
Le Monde
Admirable témoignage sur l'époque, "Bird People" dresse le portrait d'individus qui décrochent, à l'heure précisément, de la prolifération des connexions. C'est la conquête de cette liberté que met en scène Pascale Ferran, avec une grande acuité.
Les Inrockuptibles
Pascale Ferran était attendue depuis "Lady Chatterley", déjà huit ans (...). Elle signe un très beau retour avec ce film en deux chapitres qui mêle réalisme et fantastique. Un film doublement coupé en deux.
Libération
Le film à thèse est intégralement pulvérisé en son cœur pour devenir pure figure, simple respiration.
Marianne
On attendait Pascale Ferran depuis sa "Lady Chatterley" (...) Elle revient avec "Bird People", et dans son audacieuse métaphore du ras-le-bol quotidien, la grâce est avec elle.
Metro
Après une première moitié réaliste et concrète, "Bird People" change radicalement de ton et se mue ainsi en conte d’apprentissage poétique et fantastique en s’accrochant aux ailes d’un volatile.
Ouest France
Avec Anaïs Demoustier, Josh Charles, Roschdy Zem. On embarque avec eux, touché par cette exploration poétique du mal-vivre où on reste à quai d'une histoire candide.
Positif
La rupture, la possibilité d'une transformation sont au centre du film. Le scénario se jette dans le fantastique, mais la mise en scène reste ancrée dans le réalisme. Pas d'effets spéciaux (...), ni de sorcellerie mystérieuse (...) Une fiction ambitieuse.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
Ferran trouve des moyens simples, des idées naïves peut-être, ingénues sans doute, pour faire de la pensée un moteur de transfiguration du réel et d'évasion cinématographique. Elle aura tenté et réussi, notamment dans sa deuxième partie, le pari d'un film français d'un registre inédit. Spirituel et volatil.
aVoir-aLire.com
"Bird People" papillonne beaucoup, avec style et brio, touchant à l’intimité profonde de l’être pour atteindre une forme d’universalité poignante. Une oeuvre remarquable dans une filmographie décidément inébranlable.
La Croix
Huit ans après "Lady Chatterley", la cinéaste revient avec un film audacieux et déconcertant, sur le thème très contemporain de l'accélération du temps. Un film singulièrement libre et attachant, empreint de gravité et de fantaisie.
Paris Match
Pascale Ferran réussit là un tour de magie qui nous laisse amoureux de la vie et d’Anaïs Demoustier, le sourire aux lèvres, sifflotant du David Bowie…
Première
C’est là que le film emprunte un chemin de traverse fantastique qui peut laisser sur le carreau ou faire pousser des ailes.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
L'essentiel se déroule dans un hôtel de Roissy, où les banals tourments d'un chef d'entreprise américain et les questionnements naïfs d'une femme de chambre ne parviennent pas à fournir une épine dorsale à cette chronique aéroportuaire fort volatile.
Chronic'art.com
Le moindre poncif y est un El Dorado : c'est une symphonie de l'étonnement, élevée sur un océan de platitudes.