Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Gilles Bourdos (...) redonne vie à Auguste et à Jean Renoir. Michel Bouquet (...) crée un personnage qui se place au point de rencontre du modèle et de l'interprète, de même que le président qu'il incarna dans "Le Promeneur du Champ-de-Mars" devait au moins autant à Bouquet qu'à Mitterrand.
Télérama
par Pierre Murat
(...) avec un brio qui allie intelligence et sensualité (...) le cinéaste multiplie les mouvements de caméra, que leur élégance et leur fluidité rendent presque invisibles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
(...) Chronique d'un moment révolu où le bonheur eut à affronter la douleur et la rivalité (...). Une belle histoire qui nous rappelle que le cinéma, contrairement à la peinture, est un art du récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
"Renoir" est un film sur la beauté ensorcelante des paysages du Sud écrasés de soleil ou bleutés par les ombres au crépuscule (...) Michel Bouquet, le visage mangé par une barbe de patriarche (...) est tout simplement admirable face au Jean élégant et fragile de Vincent Rottiers.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce "Renoir" servi par la lumière de Mark Ping Bing Lee, qui créa les atmosphères d'"In the Mood for Love", n'est pas académique, mais classique, rugueux, ce qu'il faut.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par La rédaction
L'argument du film de Gilles Bourdos est à la fois passionnant et délicat, et il parvient souvent, par la seule grâce de sa mise en scène, à lui donner une force.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Marilyne Letertre
Loin du biopic terne et ronflant, Gilles Bourdos signe un épisode biographique lumineux et passionné.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Jean A. Gili
Dans un portrait tout en nuances qui n'efface pas les côtés désagréables du personnage, Michel Bouquet donne une image saisissante d'un vieil homme qui, malgré son grand âge, continue à peindre pour se perfectionner encore.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ecran Large
par Stéphane Argentin
Amours, déchirements, beauté picturale et horreurs de la guerre sont abordés avec sensibilité dans ce très beau portrait de la famille Renoir.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Noémie Luciani
Magnifiquement éclairé, puisant dans quelques décors d'extérieurs idylliques une palette éclatante, alternant les cadres et les lignes avec une imagination rigoureuse, le film ravit les yeux (...) pour le reste, ce n'est pas toujours simple, et parfois même un peu brouillon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Gilles Bourdos propose un portrait croisé qui ne manque pas de charme, porté par une belle photographie et la puissance de Vincent Rottiers.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Gilles Bourdos filme cette relation triangulaire sans idéaliser les Renoir, mais sans toujours parvenir à dépasser une certaine imagerie picturale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
(...) On attendait un film beau comme une toile. C'est le cas, par le soin délicat et travaillé de la mise en scène. Mais le sujet n'est pas totalement exploité. La rivalité amoureuse et la sensibilité artistique auraient peut-être pu donner une consistance plus travaillée à ce beau livre d'images.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Bernard Achour
(...) [un film] à l'élégance bucolique charmeuse mais assez vaine.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Frédéric Mercier
Il y a du romantisme anglais dans cette vision de la maison Renoir, battue par les vents. [Gilles Bourdos] réussit même à s'affranchir de la reconstitution en laissant l'artiste en vase clos. Jusque-là, le film est réussi. Mais l'édifice sensualiste s'écroule dès le retour du fils Jean. Sa liaison avec Dédé est prétexte à un théâtre vieillot autour du thème convenu de la transmission.
Elle
par Françoise Delbecq
Vincent Rottiers en fils et futur grand cinéaste fait le poids face à un Michel Bouquet formidable en génie de la peinture. Du beau travail d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
"Moi, il me faut du vivant", martèle Auguste... Nous aussi, pourrait-on rétorquer devant cette débauche inutile de paysages provençaux et de peaux laiteuses.
L'Obs
Gilles Bourdos (...) redonne vie à Auguste et à Jean Renoir. Michel Bouquet (...) crée un personnage qui se place au point de rencontre du modèle et de l'interprète, de même que le président qu'il incarna dans "Le Promeneur du Champ-de-Mars" devait au moins autant à Bouquet qu'à Mitterrand.
Télérama
(...) avec un brio qui allie intelligence et sensualité (...) le cinéaste multiplie les mouvements de caméra, que leur élégance et leur fluidité rendent presque invisibles.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Humanité
(...) Chronique d'un moment révolu où le bonheur eut à affronter la douleur et la rivalité (...). Une belle histoire qui nous rappelle que le cinéma, contrairement à la peinture, est un art du récit.
La Croix
"Renoir" est un film sur la beauté ensorcelante des paysages du Sud écrasés de soleil ou bleutés par les ombres au crépuscule (...) Michel Bouquet, le visage mangé par une barbe de patriarche (...) est tout simplement admirable face au Jean élégant et fragile de Vincent Rottiers.
Le Parisien
Ce "Renoir" servi par la lumière de Mark Ping Bing Lee, qui créa les atmosphères d'"In the Mood for Love", n'est pas académique, mais classique, rugueux, ce qu'il faut.
Libération
L'argument du film de Gilles Bourdos est à la fois passionnant et délicat, et il parvient souvent, par la seule grâce de sa mise en scène, à lui donner une force.
Metro
Loin du biopic terne et ronflant, Gilles Bourdos signe un épisode biographique lumineux et passionné.
Positif
Dans un portrait tout en nuances qui n'efface pas les côtés désagréables du personnage, Michel Bouquet donne une image saisissante d'un vieil homme qui, malgré son grand âge, continue à peindre pour se perfectionner encore.
Ecran Large
Amours, déchirements, beauté picturale et horreurs de la guerre sont abordés avec sensibilité dans ce très beau portrait de la famille Renoir.
Le Monde
Magnifiquement éclairé, puisant dans quelques décors d'extérieurs idylliques une palette éclatante, alternant les cadres et les lignes avec une imagination rigoureuse, le film ravit les yeux (...) pour le reste, ce n'est pas toujours simple, et parfois même un peu brouillon.
Les Fiches du Cinéma
Gilles Bourdos propose un portrait croisé qui ne manque pas de charme, porté par une belle photographie et la puissance de Vincent Rottiers.
Les Inrockuptibles
Gilles Bourdos filme cette relation triangulaire sans idéaliser les Renoir, mais sans toujours parvenir à dépasser une certaine imagerie picturale.
Ouest France
(...) On attendait un film beau comme une toile. C'est le cas, par le soin délicat et travaillé de la mise en scène. Mais le sujet n'est pas totalement exploité. La rivalité amoureuse et la sensibilité artistique auraient peut-être pu donner une consistance plus travaillée à ce beau livre d'images.
Première
(...) [un film] à l'élégance bucolique charmeuse mais assez vaine.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Transfuge
Il y a du romantisme anglais dans cette vision de la maison Renoir, battue par les vents. [Gilles Bourdos] réussit même à s'affranchir de la reconstitution en laissant l'artiste en vase clos. Jusque-là, le film est réussi. Mais l'édifice sensualiste s'écroule dès le retour du fils Jean. Sa liaison avec Dédé est prétexte à un théâtre vieillot autour du thème convenu de la transmission.
Elle
Vincent Rottiers en fils et futur grand cinéaste fait le poids face à un Michel Bouquet formidable en génie de la peinture. Du beau travail d'acteurs.
Cahiers du Cinéma
"Moi, il me faut du vivant", martèle Auguste... Nous aussi, pourrait-on rétorquer devant cette débauche inutile de paysages provençaux et de peaux laiteuses.