Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Elle
par Emilie Rivenq
Les biopics se suivent et... ô surprise, ne se ressemblent pas ! (...) Michael Winterbottom livre une comédie délicieusement pop et subversive.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par François Forestier
Le film est stylé, le sujet sordide, les filles ravissantes, et la nuit avale tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ecran Large
par Perrine Quennesson
Un biopic sur Paul Raymond, un parfait inconnu chez nous et l’alter-ego de Larry Flint au Royaume-Uni. Michael Winterbottom retrouve Steve Coogan qui porte littéralement le film sur ses épaules.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le versatile et prolifique Winterbottom fait étalage de son savoir-faire avec cette biopic pop et graphique (...). Mais hormis le volet tragique sur la fille de Raymond, on ne sort guère du décoratif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Michael Winterbottom met en scène une plongée dans le swinging London à travers le destin d’un homme à femmes à l’humour so british. Dommage que le réalisateur anglais donne l’avantage à l’extravagance plutôt qu’à la psychologie de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Pierre-Simon Gutman
Steeve Coogan et Michael Winterbottom refont équipe dans un film plus classique que leurs précédentes collaborations, sauvé par la prestation roublarde et opaque de Coogan.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Si la réalisation gadget de Michael Winterbottom ne brille pas par sa personnalité, "A Very Englishman" (...) a pour lui d’éviter l’écueil moralisateur de son sujet pour s’attacher au portrait désenchanté d’un homme accro à l’empire d’hédonisme qu’il s’est créé.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Winterbottom déroule ce biopic avec son efficacité habituelle, d'abord en noir et blanc (...) puis en couleur (...), en prenant un malin plaisir à filmer le plus d'orgies possible (...). Mais, une fois l'ivresse retombée, le film se laisse vite oublier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Moins un film raté qu’une œuvre mineure dans la filmographie de Winterbottom, "A very Englishman" est difficilement conseillable pour nous, Français, qui préfèrerons, au rayon des monuments culturels, nous tourner vers les 70 piges de notre Johnny Hallyday national. C’est moins sulfureux (quoique), mais au final presque plus rock’n’roll.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Pamela Pianezza
"A Very Englishman" est un mauvais biopic mais un très bon "Steve Coogan movie", désormais un genre en soi.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Positif
par Fabien Baumann
A very englishman n'a rien de désagréable, entendons-nous. Mais (...) on était en droit d'attendre autre chose que le portrait lisse d'un personnage toujours superficiel.
Première
par Frédéric Foubert
A force de surjouer la tragédie, le réalisateur finit par jeter un voile sinistre et puritain sur une histoire qui fonctionne beaucoup mieux quand elle s'abandonne aux charmes de l'hédonisme cool.
Le Monde
par Sandrine Marques
Film juke-box, criard et égrillard, sans profondeur ni vrai relief, "A Very Englishman" agite, sans grande inspiration, les chromos d'une époque.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Elle
Les biopics se suivent et... ô surprise, ne se ressemblent pas ! (...) Michael Winterbottom livre une comédie délicieusement pop et subversive.
L'Obs
Le film est stylé, le sujet sordide, les filles ravissantes, et la nuit avale tout.
Ecran Large
Un biopic sur Paul Raymond, un parfait inconnu chez nous et l’alter-ego de Larry Flint au Royaume-Uni. Michael Winterbottom retrouve Steve Coogan qui porte littéralement le film sur ses épaules.
L'Express
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L'Humanité
Le versatile et prolifique Winterbottom fait étalage de son savoir-faire avec cette biopic pop et graphique (...). Mais hormis le volet tragique sur la fille de Raymond, on ne sort guère du décoratif.
Le Journal du Dimanche
Michael Winterbottom met en scène une plongée dans le swinging London à travers le destin d’un homme à femmes à l’humour so british. Dommage que le réalisateur anglais donne l’avantage à l’extravagance plutôt qu’à la psychologie de ses personnages.
Les Fiches du Cinéma
Steeve Coogan et Michael Winterbottom refont équipe dans un film plus classique que leurs précédentes collaborations, sauvé par la prestation roublarde et opaque de Coogan.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Si la réalisation gadget de Michael Winterbottom ne brille pas par sa personnalité, "A Very Englishman" (...) a pour lui d’éviter l’écueil moralisateur de son sujet pour s’attacher au portrait désenchanté d’un homme accro à l’empire d’hédonisme qu’il s’est créé.
Télérama
Winterbottom déroule ce biopic avec son efficacité habituelle, d'abord en noir et blanc (...) puis en couleur (...), en prenant un malin plaisir à filmer le plus d'orgies possible (...). Mais, une fois l'ivresse retombée, le film se laisse vite oublier.
aVoir-aLire.com
Moins un film raté qu’une œuvre mineure dans la filmographie de Winterbottom, "A very Englishman" est difficilement conseillable pour nous, Français, qui préfèrerons, au rayon des monuments culturels, nous tourner vers les 70 piges de notre Johnny Hallyday national. C’est moins sulfureux (quoique), mais au final presque plus rock’n’roll.
CinemaTeaser
"A Very Englishman" est un mauvais biopic mais un très bon "Steve Coogan movie", désormais un genre en soi.
Positif
A very englishman n'a rien de désagréable, entendons-nous. Mais (...) on était en droit d'attendre autre chose que le portrait lisse d'un personnage toujours superficiel.
Première
A force de surjouer la tragédie, le réalisateur finit par jeter un voile sinistre et puritain sur une histoire qui fonctionne beaucoup mieux quand elle s'abandonne aux charmes de l'hédonisme cool.
Le Monde
Film juke-box, criard et égrillard, sans profondeur ni vrai relief, "A Very Englishman" agite, sans grande inspiration, les chromos d'une époque.