Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Critikat.com
par Axel Scoffier
Adapté du roman de 1932 de Lewis Grassic Gibbon, "Sunset Song" est un mélodrame remarquable de subtilité, languissant et sombre, parsemé de véritables moments de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Autant dire que ce chant d’amour, cette ode au courage des femmes, aux mystères de l’existence ne manque ni de souffle ni de grandeur. Et Terence Davies de signer-là un bel hymne à la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Thomas Sotinel
Elégie pour les paysans d’Ecosse par un enfant de Liverpool.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
par William Lurson
On ne peut que constater la grande cohérence de la filmographie de Davies, qui, entre ses premiers films et ses adaptations très soignées, ne cesse d'amplifier un même geste de cinéma, bien plus audacieux que sa surface ne le laisse paraître. Le cinéma d'un grand et subtil styliste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le cinéaste peut compter ici sur la rayonnante Agyness Deyn, presque débutante, qui illumine de sa sensibilité et de sa beauté un film qui doit beaucoup à la splendeur des images captées tant en Ecosse qu’en Nouvelle-Zélande, où certaines séquences ont été filmées de telle sorte que le cours de "Sunset Song" épouse le rythme des saisons.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le beau portrait d’une femme de courage dans un film dont le romanesque exalte la beauté de la nature tout en brossant une vision sociale âpre et intense.
Positif
par Eithne O'Neill
Au-delà d'un air patriotique, c'est pour toutes les victimes de notre trop humaine folie que se lève l'élégie.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Davies fait rimer romanesque et classique avec bonheur.
Télérama
par Pierre Murat
(...) il trouve des accents déchirants. Il invente, pour elles, des plans-séquences sublimes qui mêlent, en une harmonie mystérieuse, la beauté, l'épure et l'intensité. Et grâce à elles, il consent à oublier, un court instant, l'évidence qui parcourt pourtant toute son oeuvre : « Seuls les fous aiment la vie »..
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Cette œuvre épique et intime, s’appuyant sur un portrait de femme attachant, nous conte avec délicatesse le douloureux changement d’une époque bouleversée par la première guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Le film n’appartient en rien à notre époque, s’inscrivant dans une tradition britannique qui n’a plus court (Jarman, Douglas, Greenaway) et créant des images un peu trop précieuses, un peu trop sèches, un peu trop calmes. Mais on aurait tort de s’arrêter à ce « un peu » et n’y voir qu’un classicisme triomphant et/ou suranné.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Le nouveau film de Terence Davies conjugue classicisme compassé et poussées de sensualité, ampleur du propos et intimisme de l'approche. Un peu longuet, mais assurément curieux.
Libération
par Clémentine Gallot
Pour que ce plaisir coupable l’emporte totalement, encore faut-il céder aux sirènes des grandes fresques historiques ravagées par les bourrasques et la cornemuse (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
La somptueuse lumière de Michael McDonough (...) rehausse la beauté des blés caressants, des ciels furieux. De l’innocence à sa fin, l’interprétation d’Agyness Deyn et de Kevin Guthrie, deux acteurs à suivre, est d’une douloureuse intensité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
Adapté du roman de 1932 de Lewis Grassic Gibbon, "Sunset Song" est un mélodrame remarquable de subtilité, languissant et sombre, parsemé de véritables moments de grâce.
La Voix du Nord
Autant dire que ce chant d’amour, cette ode au courage des femmes, aux mystères de l’existence ne manque ni de souffle ni de grandeur. Et Terence Davies de signer-là un bel hymne à la vie.
Le Monde
Elégie pour les paysans d’Ecosse par un enfant de Liverpool.
Culturopoing.com
On ne peut que constater la grande cohérence de la filmographie de Davies, qui, entre ses premiers films et ses adaptations très soignées, ne cesse d'amplifier un même geste de cinéma, bien plus audacieux que sa surface ne le laisse paraître. Le cinéma d'un grand et subtil styliste.
L'Obs
Le cinéaste peut compter ici sur la rayonnante Agyness Deyn, presque débutante, qui illumine de sa sensibilité et de sa beauté un film qui doit beaucoup à la splendeur des images captées tant en Ecosse qu’en Nouvelle-Zélande, où certaines séquences ont été filmées de telle sorte que le cours de "Sunset Song" épouse le rythme des saisons.
Le Dauphiné Libéré
Le beau portrait d’une femme de courage dans un film dont le romanesque exalte la beauté de la nature tout en brossant une vision sociale âpre et intense.
Positif
Au-delà d'un air patriotique, c'est pour toutes les victimes de notre trop humaine folie que se lève l'élégie.
Studio Ciné Live
Davies fait rimer romanesque et classique avec bonheur.
Télérama
(...) il trouve des accents déchirants. Il invente, pour elles, des plans-séquences sublimes qui mêlent, en une harmonie mystérieuse, la beauté, l'épure et l'intensité. Et grâce à elles, il consent à oublier, un court instant, l'évidence qui parcourt pourtant toute son oeuvre : « Seuls les fous aiment la vie »..
aVoir-aLire.com
Cette œuvre épique et intime, s’appuyant sur un portrait de femme attachant, nous conte avec délicatesse le douloureux changement d’une époque bouleversée par la première guerre mondiale.
Cahiers du Cinéma
Le film n’appartient en rien à notre époque, s’inscrivant dans une tradition britannique qui n’a plus court (Jarman, Douglas, Greenaway) et créant des images un peu trop précieuses, un peu trop sèches, un peu trop calmes. Mais on aurait tort de s’arrêter à ce « un peu » et n’y voir qu’un classicisme triomphant et/ou suranné.
Les Fiches du Cinéma
Le nouveau film de Terence Davies conjugue classicisme compassé et poussées de sensualité, ampleur du propos et intimisme de l'approche. Un peu longuet, mais assurément curieux.
Libération
Pour que ce plaisir coupable l’emporte totalement, encore faut-il céder aux sirènes des grandes fresques historiques ravagées par les bourrasques et la cornemuse (...).
Première
La somptueuse lumière de Michael McDonough (...) rehausse la beauté des blés caressants, des ciels furieux. De l’innocence à sa fin, l’interprétation d’Agyness Deyn et de Kevin Guthrie, deux acteurs à suivre, est d’une douloureuse intensité.